Wikipédia :
Rodolphe François Charles Joseph de Habsbourg-Lorraine (Rudolf Franz Karl Joseph von Habsburg-Lothringen) (Laxenbourg, 21 août 1858 – Mayerling, 30 janvier 1889) était archiduc d’Autriche et prince héritier de l’Empire austro-hongrois, mort dans des circonstances mystérieuses au pavillon de chasse de Mayerling(...)Il multiplie les conquêtes, et prend pour principale maîtresse Mizzi Caspar dès 1886.
Suite à ses nombreuses relations extra-conjugales, le prince héritier finit par attraper une forme de blennorragie très grave. Il contamine alors son épouse, qui en conséquence ne peut plus avoir d'enfants. Rodolphe "se soigne" alors par de la morphine, de la cocaïne et de l'alcool, afin de surmonter son impuissance. Sujet à des états de dépression et d'anxiété, il se sait incurable, et tente par tous les moyens de cacher son mauvais état à son père.
Durant l'été 1888, dans un état physique et psychologique très inquiétant, il propose à sa maîtresse Mizzi Caspar de se suicider avec lui. Après le refus de celle-ci, Rodolphe rencontre au début de l'automne 1888 (par l'intermédiaire de sa cousine la comtesse Marie-Louise Larisch) Marie, la plus jeune fille de la baronne Hélène Vetsera. Une relation intime se noue entre eux, et il semble que Marie Vetsera ait été enceinte de quatre ou cinq mois au moment de sa mort.
Mort et enterrement
Le 26 janvier 1889, le prince Rodolphe a une violente dispute avec son père, mais on ne sait pas si l'empereur était en colère parce que Rodolphe a demandé au pape l'annulation de son mariage ou s'il a exigé que son fils rompe avec Marie Vetsera.(...)
Le 28 janvier, Marie Vetsera et Rodolphe quittent chacun de leur côté Vienne pour se rendre au pavillon de chasse de Mayerling, où le prince héritier doit chasser avec le comte Hoyos et le prince Philippe de Cobourg. Rodolphe envoie des lettres d'adieux à ses proches et écrit au chef de section au ministère des Affaires étrangères d'ouvrir seul son bureau et de détruire toutes les lettres de la comtesse Larisch et de Marie Vetsera.
Le 29 janvier, les deux invités, le comte Hoyos et le prince Philippe de Saxe-Cobourg (beau-frère de Stéphanie), arrivent à Mayerling. Ceux-ci ne soupçonnent pas la présence de Marie Vetsera.
Rodolphe et Marie sont retrouvés morts au matin du 30 janvier 1889 dans le pavillon de chasse, tués par balles. Un suicide organisé par Rodolphe et sa maîtresse ou un attentat politique ? Le prince héritier est enterré le 5 février dans la Crypte impériale de l’Église des Capucins à Vienne. Le voile reste épais concernant les circonstances de sa mort.
=======================
il est intéressant de voir la situation des personnes en question : il semblerait bien que la période critique septennale des 28 ans de Rodolphe soit en cause...
Rodolphe est né le 21/08/1858 et mort le 30/01/1889.
30 janvier 1889 :
Sa 26 E(1)
Di 27
Lu 28
Ma 29
Me 30 P(12)
Je 31 I(1)
c'est un jour critique physique P12 à 30 ans et 5 mois. (à cinq mois de l'anniversaire) le jour critique physique n'est pas un jour du suicide. (c'est plutôt le jour critique émotionnel, que nous retrouvons d'ailleurs ci-dessous) par contre la survenance du jour critique intellectuel i1 pourrait avoir joué un rôle.
période neutre mais une dépression septennale peut se prolonger s'il y a de sérieux soucis : on ne sort pas de la dépression - on y reste ou on s'y enfonce encore plus, ce qui pourrait aussi avoir été le cas ici.
Rodolphe est entré dans sa période critique septennale des 28 ans en février 1886. (on y entre autour de 27 ans et demi) et c'est apparemment le début de sa "descente" : maîtresse, suivi de maladie et d'envie de suicide en 1888...
la violente altercation avec son père, le 26 janvier 1889 correspond effectivement au jour critique émotionnel de Rodolphe : c'est son jour de colère. (E1 est le jour le plus "fort" des quatre jours critiques du cycle de 28 jours)
Marie Vetsera qui avait 17 ans et 10 mois et se trouvait dans un jour critique physique P19 le 30 janvier 1889. (équivalent du jour critique émotionnel donc possible jour de dépression) le lendemain du jour critique intellectuel i26.
30 janvier 1889 : (19/03/1871)
Sa 26
Di 27 E(1)
Lu 28
Ma 29 P(18) I(26)
Me 30 P(19)
Je 31
du point de vue des naissances (21 août et 19 mars, les deux personnes sont à cinq mois l'une de l'autre)
(mis à jour 2/08/2015)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
vendredi 31 juillet 2009
Gaston Bonnier
Wikipédia :
Gaston Bonnier est un botaniste français, né le 2 janvier 1853 à Paris et mort le 2 janvier 1922.
Janvier 1922
Di 1 E(1)
Lu 2
Ma 3 P(18)
Me 4
=======================
Gaston Bonnier est décédé le jour de son 69ème anniversaire, et entre deux jours critiques (E1) (P18).
(dates anniversaires, mais surtout jours et périodes critiques sont, selon moi, des "portails" pour "partir au moment propice".)
Gaston Bonnier est un botaniste français, né le 2 janvier 1853 à Paris et mort le 2 janvier 1922.
Janvier 1922
Di 1 E(1)
Lu 2
Ma 3 P(18)
Me 4
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Gaston Bonnier est décédé le jour de son 69ème anniversaire, et entre deux jours critiques (E1) (P18).
(dates anniversaires, mais surtout jours et périodes critiques sont, selon moi, des "portails" pour "partir au moment propice".)
L'Abbé H. Coste
novembre 1924 (20/12/1858)
Sa 22
Di 23
Lu 24 E(1)
Ma 25 P(1)
Me 26 I(26)
le grand botaniste est décédé son jour critique émotionnel E1 et la veille d'un jour critique physique P1.
à un mois de ses 66 ans.
================
L’abbé H. Coste
Article suivi de la liste des travaux publiés de l’abbé H. Coste
Par Ch. Flahault
Notre confrère, l’abbé Coste, est mort le 24 novembre 1924. Son départ a fait dans le monde des botanistes un grand vide et dans les rangs des botanistes français voués aux études floristiques un de ces vides qui ne se comblent pas de longtemps. Il a donné pendant près de quarante ans le dévouement le plus actif à la Société botanique de France; il est juste qu’elle veuille garder et perpétuer son souvenir.
Sa vie fut simple d’ailleurs. Elle mérite qu’on la connaisse; elle peut être proposée comme un exemple et un modèle.
Né dans un village du département de l’Aveyron, à Balaguier - Saint-Sernin, le 20 décembre 1858, Hippolyte-Jacques Coste étudia d’abord à l’école du village; mais il aimait l’étude;
suite : http://les.journees.coste.free.fr/1925.pdf
Sa 22
Di 23
Lu 24 E(1)
Ma 25 P(1)
Me 26 I(26)
le grand botaniste est décédé son jour critique émotionnel E1 et la veille d'un jour critique physique P1.
à un mois de ses 66 ans.
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L’abbé H. Coste
Article suivi de la liste des travaux publiés de l’abbé H. Coste
Par Ch. Flahault
Notre confrère, l’abbé Coste, est mort le 24 novembre 1924. Son départ a fait dans le monde des botanistes un grand vide et dans les rangs des botanistes français voués aux études floristiques un de ces vides qui ne se comblent pas de longtemps. Il a donné pendant près de quarante ans le dévouement le plus actif à la Société botanique de France; il est juste qu’elle veuille garder et perpétuer son souvenir.
Sa vie fut simple d’ailleurs. Elle mérite qu’on la connaisse; elle peut être proposée comme un exemple et un modèle.
Né dans un village du département de l’Aveyron, à Balaguier - Saint-Sernin, le 20 décembre 1858, Hippolyte-Jacques Coste étudia d’abord à l’école du village; mais il aimait l’étude;
suite : http://les.journees.coste.free.fr/1925.pdf
Auguste Renoir
Wikipédia :
Auguste Renoir (Limoges 25 février 1841 - Cagnes-sur-Mer 3 décembre 1919),
........
réalise son chef-d'œuvre : le Bal du moulin de la Galette, à Montmartre, en 1877
----------
"C'est l'impressionnisme, dont il pose les principes en 1869, à 28 ans, qui va libérer Auguste Renoir de l'influence de Bazille et de Courbet...
(Téléobs)
===========
1869 c'est, comme dit, la période critique septennale des 28 ans alors que 1877 c'est celle des 35 ans.
Renoir est décédé une période critique, entre un jour critique physique P19 et un jour critique émotionnel E15...
il a 78 ans et 9 mois.
Décembre 1919
Lu 1 P(18)
Ma 2 P(19) I(26)
Me 3
Je 4 E(15)
Ve 5
Auguste Renoir (Limoges 25 février 1841 - Cagnes-sur-Mer 3 décembre 1919),
........
réalise son chef-d'œuvre : le Bal du moulin de la Galette, à Montmartre, en 1877
----------
"C'est l'impressionnisme, dont il pose les principes en 1869, à 28 ans, qui va libérer Auguste Renoir de l'influence de Bazille et de Courbet...
(Téléobs)
===========
1869 c'est, comme dit, la période critique septennale des 28 ans alors que 1877 c'est celle des 35 ans.
Renoir est décédé une période critique, entre un jour critique physique P19 et un jour critique émotionnel E15...
il a 78 ans et 9 mois.
Décembre 1919
Lu 1 P(18)
Ma 2 P(19) I(26)
Me 3
Je 4 E(15)
Ve 5
mardi 28 juillet 2009
Ivan Illich
Wikipédia :
Ivan Illich (4 septembre 1926 à Vienne en Autriche - 2 décembre 2002 à Brême en Allemagne) est un penseur de l'écologie politique et une figure importante de la critique de la société industrielle.
..........
Il décède en 2002 des suites d'une tumeur qu'il a volontairement choisi d'assumer jusqu'au bout sans vouloir l'opérer et qu'il garda 20 ans.
============
son décès en décembre 2002 a lieu à 76 ans et 3 mois quasiment au moment de l'entrée dans la période critique septennale des 77 ans.
en outre il est décédé son jour critique physique P19 :
Décembre 2002
Di 1 P(18)
Lu 2 P(19)
Ma 3
Ivan Illich (4 septembre 1926 à Vienne en Autriche - 2 décembre 2002 à Brême en Allemagne) est un penseur de l'écologie politique et une figure importante de la critique de la société industrielle.
..........
Il décède en 2002 des suites d'une tumeur qu'il a volontairement choisi d'assumer jusqu'au bout sans vouloir l'opérer et qu'il garda 20 ans.
============
son décès en décembre 2002 a lieu à 76 ans et 3 mois quasiment au moment de l'entrée dans la période critique septennale des 77 ans.
en outre il est décédé son jour critique physique P19 :
Décembre 2002
Di 1 P(18)
Lu 2 P(19)
Ma 3
Adolf Hitler
un autre élément intéressant, encore :
http://membres.lycos.fr/coll3/troisieme ... itler.html
<<>>
or
"""
wikipédia :
Klara Hitler (* 12. August 1860 als Klara Pölzl (falsche Schreibweise: Pelzel) in Spital/Weitra; 21. Dezember 1907 in Linz) war eine österreichische Hausfrau und die Mutter Adolf Hitlers."""
sa mère est décédée un samedi... jour critique émotionnel de Hitler, puisque né un samedi...
ceci explique cela...
(le jour critique émotionnel peut être un jour des excès) en tous cas un jour de grosse déprime voire dépression...
http://membres.lycos.fr/coll3/troisieme ... itler.html
<<
or
"""
wikipédia :
Klara Hitler (* 12. August 1860 als Klara Pölzl (falsche Schreibweise: Pelzel) in Spital/Weitra; 21. Dezember 1907 in Linz) war eine österreichische Hausfrau und die Mutter Adolf Hitlers."""
sa mère est décédée un samedi... jour critique émotionnel de Hitler, puisque né un samedi...
ceci explique cela...
(le jour critique émotionnel peut être un jour des excès) en tous cas un jour de grosse déprime voire dépression...
Adolf Hitler
Wikipédia USA au sujet de Geli Raubal confirme apparemment un passage à l'acte la nuit du 18 au 19 donc bien au moment le plus fort du jour critique émotionnel de Adolf Hitler :
Death
Raubal was found dead by members of Hitler's staff from a gunshot wound to the lung in her room in Hitler's Munich apartment on the morning of September 19, 1931, at the age of 23.[1] The official cause of death was listed as suicide. It cannot be known how objective the Munich police were in the investigation though, as Hitler already had considerable influence with them. The finding of suicide resulted from her door being locked from the inside, and no autopsy was conducted, although a doctor estimated her death had occurred the previous day, September 18.[1] There were many rumours. Since she was killed by a bullet fired from his gun, a Walther, it was whispered that Hitler shot her (or ordered her to be shot) for infidelity or other reasons. As these rumors circulated, Hitler himself released a statement to the Munchener Post reading: "It is untrue that I and my niece had a quarrel on Friday 18 September; it is untrue that I was violently opposed to my niece going to Vienna; it is untrue that my niece was engaged to someone in Vienna and I forbade it."[3]
Her death occurred on a night when the entire Hitler household help was off duty except for a deaf worker, Frau Dachs, and it is said that it was a rare occurrence for Hitler to leave behind his gun.[1] By all accounts they argued intensely in the days leading to her death. Her brother Leo said that she had been happy at Berchtesgaden in the days preceding the beginning of her visit to Munich, on September 17.[1] She left a note behind, addressed to a friend in Vienna that read: "When I come to Vienna-- hopefully very soon-- we'll drive to Semmering, an..." The note was left unfinished.[3]
Ernst Hanfstaengl maintained that Raubal killed herself following a "flaming row" with Hitler, who had discovered she was pregnant by a Jewish art teacher in Linz.[3] Other reports claim that Raubal had requested permission to continue her voice studies in Vienna, and Hitler refused to allow her to go, causing their fight of September 18.[5][9]
Geli Raubal is buried in Vienna's Central Cemetery (Zentralfriedhof).
Effects on Hitler
Hitler had left town the previous afternoon for a speaking tour and returned from Nuremburg on hearing the news.[1] Hitler would later threaten to commit suicide while in seclusion at Tegern Lake. He had made similar threats during past moments of personal crisis or defeat, most notably after the failed Beer Hall Putsch. Hitler would keep a bust or portrait of Raubal in each of his bedrooms, and his entourage was instructed not to say her name.[3] Official Nazi photographer Heinrich Hoffmann said of Raubal's death, "That was when the seeds of inhumanity began to grow inside Hitler."[10]
Some historians have found that Raubal's death inspired Hitler to become a vegetarian, although other historians dispute this assertion. For example, historian Thomas Fuchs reports that Hitler's experiments with vegetarianism as a young adult were "far from absolute in... adherence... in September 1931, he manifested an active loathing for meat" which followed the suicide of Raubal, "the niece with whom Hitler had been in love."[11]
American author and historian John Toland mentions that after Raubal's death Hitler became a near-vegetarian and "he meant it. From that moment on, she [Frau Hess] said, Hitler never ate another piece of meat except for liver dumplings. 'Suddenly! He ate meat before that. It is very difficult to understand or explain.'" Biographies by the German journalist Joachim Fest and British historian Ian Kershaw also state that Hitler became a near-vegetarian after Raubal's 1931 death. Food writer Bee Wilson writes that after Raubal's suicide Hitler's diet was "free of flesh," describes his strict vegetarian regime and notes, "It amused him to spoil carnivorous guests' appetites... As they put their forks down in disgust, he would harangue them for hypocrisy. 'That shows how cowardly people are,' he would say. 'They can't face doing certain horrible things themselves, but they enjoy the benefits without a pang of conscience.'"
Death
Raubal was found dead by members of Hitler's staff from a gunshot wound to the lung in her room in Hitler's Munich apartment on the morning of September 19, 1931, at the age of 23.[1] The official cause of death was listed as suicide. It cannot be known how objective the Munich police were in the investigation though, as Hitler already had considerable influence with them. The finding of suicide resulted from her door being locked from the inside, and no autopsy was conducted, although a doctor estimated her death had occurred the previous day, September 18.[1] There were many rumours. Since she was killed by a bullet fired from his gun, a Walther, it was whispered that Hitler shot her (or ordered her to be shot) for infidelity or other reasons. As these rumors circulated, Hitler himself released a statement to the Munchener Post reading: "It is untrue that I and my niece had a quarrel on Friday 18 September; it is untrue that I was violently opposed to my niece going to Vienna; it is untrue that my niece was engaged to someone in Vienna and I forbade it."[3]
Her death occurred on a night when the entire Hitler household help was off duty except for a deaf worker, Frau Dachs, and it is said that it was a rare occurrence for Hitler to leave behind his gun.[1] By all accounts they argued intensely in the days leading to her death. Her brother Leo said that she had been happy at Berchtesgaden in the days preceding the beginning of her visit to Munich, on September 17.[1] She left a note behind, addressed to a friend in Vienna that read: "When I come to Vienna-- hopefully very soon-- we'll drive to Semmering, an..." The note was left unfinished.[3]
Ernst Hanfstaengl maintained that Raubal killed herself following a "flaming row" with Hitler, who had discovered she was pregnant by a Jewish art teacher in Linz.[3] Other reports claim that Raubal had requested permission to continue her voice studies in Vienna, and Hitler refused to allow her to go, causing their fight of September 18.[5][9]
Geli Raubal is buried in Vienna's Central Cemetery (Zentralfriedhof).
Effects on Hitler
Hitler had left town the previous afternoon for a speaking tour and returned from Nuremburg on hearing the news.[1] Hitler would later threaten to commit suicide while in seclusion at Tegern Lake. He had made similar threats during past moments of personal crisis or defeat, most notably after the failed Beer Hall Putsch. Hitler would keep a bust or portrait of Raubal in each of his bedrooms, and his entourage was instructed not to say her name.[3] Official Nazi photographer Heinrich Hoffmann said of Raubal's death, "That was when the seeds of inhumanity began to grow inside Hitler."[10]
Some historians have found that Raubal's death inspired Hitler to become a vegetarian, although other historians dispute this assertion. For example, historian Thomas Fuchs reports that Hitler's experiments with vegetarianism as a young adult were "far from absolute in... adherence... in September 1931, he manifested an active loathing for meat" which followed the suicide of Raubal, "the niece with whom Hitler had been in love."[11]
American author and historian John Toland mentions that after Raubal's death Hitler became a near-vegetarian and "he meant it. From that moment on, she [Frau Hess] said, Hitler never ate another piece of meat except for liver dumplings. 'Suddenly! He ate meat before that. It is very difficult to understand or explain.'" Biographies by the German journalist Joachim Fest and British historian Ian Kershaw also state that Hitler became a near-vegetarian after Raubal's 1931 death. Food writer Bee Wilson writes that after Raubal's suicide Hitler's diet was "free of flesh," describes his strict vegetarian regime and notes, "It amused him to spoil carnivorous guests' appetites... As they put their forks down in disgust, he would harangue them for hypocrisy. 'That shows how cowardly people are,' he would say. 'They can't face doing certain horrible things themselves, but they enjoy the benefits without a pang of conscience.'"
Adolf Hitler
wikipédia :
Geli Raubal
Angela « Geli » Raubal (4 juin 1908, 18 septembre 1931) était la fille de la demi-sœur d'Adolf Hitler. Il est largement répandu que Hitler avait des relations intimes, voire incestueuses avec Geli.
Hitler a toujours essayé de contrôler sa nièce en lui empêchant par exemple d'avoir librement des amis et a essayé de toujours la faire accompagner par l'un de ses hommes de confiance. Malgré les efforts d'Hitler pour contrôler Geli, elle parvient à conserver une certaine indépendance d'esprit et à faire ce qu'elle aimait dès que c'était possible.
Elle a été retrouvée morte d'une balle de pistolet au cœur dans les appartements d'Hitler à Munich le 18 septembre 1931 à l'âge de 23 ans. La cause officielle de son décès était le suicide mais comme à cette période Hitler avait une influence sur la police bavaroise, personne ne peut dire si cette affirmation est objective. Plusieurs rumeurs circulent, dont l'une que Hitler lui même aurait tué Geli pour cause d'infidélité. Mais la plupart des historiens s'accordent à dire que sa mort est réellement due à un suicide de Geli, qui, perturbée par la relation qu'elle avait avec Hitler et ne pouvant s'échapper de son emprise, mit fin à ses jours.
Après sa mort, Hitler changea radicalement de comportement. Il tenta de se suicider lui même, puis devint de plus en plus négatif. Il devient aussi végétarien à cette période car il a déclaré que la viande lui rappelait le corps de Geli.
et aussi :
http://www.spartacus.schoolnet.co.uk/GERraubal.htm
Geli Raubal, the daughter of Leo Raubal and Angela Raubal, was born in Linz on 4th June, 1908. When Adolf Hitler rented a house in Obersalzberg he asked his half-sister, Angela Raubal, now a widow, to be his housekeeper. She agreed and in August 1928 brought Geli with her to stay with Hitler.
Hitler, who had now turned forty, became infatuated with Geli and rumours soon spread that he was having an affair with his young niece. Hitler became extremely possessive and Emil Maurice, his chauffeur, who also showed interest in Geli, was sacked.
The couple lived together for over two years. The relationship with Geli was stormy and they began to accuse each other of being unfaithful. Geli was particularly concerned about Eva Braun, a seventeen-year-old girl who Hitler took for rides in his Mercedes car.
Geli also complained about the way Hitler controlled her life. On September 8, 1931, Hitler left for Hamburg after having a blazing row with Geli over her desire to spend some time in Vienna. Hitler was heard to shout at Geli as he was about to get into his car: "For the last time, no!" After he left Geli shot herself through the heart with a revolver.
When he heard the news Hitler threatened to take his own life but was talked out of it by senior members of the Nazi Party. One consequence of Geli's suicide was that Hitler became a vegetarian. He claimed that meat now reminded him of Geli's corpse.
Rumours about Geli's death spread quickly amongst Hitler's enemies. It was said that Geli had been badly beaten up by Hitler before she shot herself. Another story involved Geli committing suicide because she was expecting Hitler's child. Some people claimed she was murdered by Heinrich Himmler because she was threatening to blackmail Hitler. Little evidence has been provided to support these suggestions and the reasons for her death remain a mystery.
===================================================
l'analyse de la situation biorythmique dit des choses extrêmement intéressantes :
Geli est née le 4 juin 1908, un jeudi, qui devient donc son jour critique émotionnel.
Elle est morte le 18 septembre 1931, un vendredi (la date du 8 septembre dans l'article ci-dessus n'est pas juste) suicide par balle de révolver dans le coeur... suicide discuté à mon avis peu probable car :
- elle n'était pas dans un jour critique émotionnel
- elle n'était pas dans une période critique septennale
- une femme peut-elle se tirer une balle dans le coeur pour se suicider ?
par contre
Adolf Hitler est né le 20 avril 1889, soit un samedi, qui est donc son jour critique émotionnel.
au moment du "suicide" de Geli Adolf Hitler est à la veille de son jour critique émotionnel (*) et il a 42 ans et 5 mois, donc se trouve en pleine période critique du cycle psychique et émotionnel septennal (*)
S'il y a eu dispute, suivie de coup de feu j'ai tendance à le mettre sur le compte de la situation doublement critique de Aldolf Hitler : entrée dans le jour critique émotionnel et période critique septennale.
Et c'est le fait qu'il se trouve à ce moment là dans sa période critique qui fait qu'il a des envies de meurtre, des envies suicidaires, qu'il "change" au point de "devenir végétarien"... et plus "négatif"... et pas l'inverse : ce n'est pas la mort de Geli qui l'a transformé mais il est transformé A CAUSE DE sa période critique septennale... et il a tiré sur Geli également pour cette raison...(surtout qu'il est question d'une dispute entre les deux)...
(*) le jour critique émotionnel est à l'origine de nombreux comportements, et il est entre autres le jour prédominant pour les "passages à l'acte" en matière de suicide, ou "coups de folie" divers.(Pour son fonctionnement, ce jour étant hebdomadaire, voir les autres explications dans les rubriques en question)
la période critique du cycle septennal est elle aussi une période de passage à l'acte pour de grands changements, mais là aussi ce peut être de réelles métamorphoses définitives ou le plus souvent le temps de la période (environ un an et demi autour des années de la table de 7), du Dr Jekkyl en Mr Hyde. (idem pour le jour critique émotionnel, d'ailleurs qui se superpose sur cette période.)
Un jour critique émotionnel situé à l'intérieur d'une période critique septennale sera donc particulièrement "efficace".
édit 25/12/2013 :
j'ai regardé encore une fois (quatre ans après et donc plus d'expérience :-) la situation de Geli Raubal (4/06/1908) le 18 septembre 1931 :
Ve 11
Sa 12
Di 13
Lu 14
Ma 15
Me 16 P(18)
Je 17 P(19) E(22)
Ve 18 I(26)
Sa 19
Di 20
Lu 21
il s'agit effectivement du passage dans un épisode triplement critique le vendredi étant un jour critique intellectuel i26 le lendemain du jour critique émotionnel E22 et critique physique P19, donc effectivement suicide possible. 23 ans et 4 mois donc année critique P1.
Geli Raubal
Angela « Geli » Raubal (4 juin 1908, 18 septembre 1931) était la fille de la demi-sœur d'Adolf Hitler. Il est largement répandu que Hitler avait des relations intimes, voire incestueuses avec Geli.
Hitler a toujours essayé de contrôler sa nièce en lui empêchant par exemple d'avoir librement des amis et a essayé de toujours la faire accompagner par l'un de ses hommes de confiance. Malgré les efforts d'Hitler pour contrôler Geli, elle parvient à conserver une certaine indépendance d'esprit et à faire ce qu'elle aimait dès que c'était possible.
Elle a été retrouvée morte d'une balle de pistolet au cœur dans les appartements d'Hitler à Munich le 18 septembre 1931 à l'âge de 23 ans. La cause officielle de son décès était le suicide mais comme à cette période Hitler avait une influence sur la police bavaroise, personne ne peut dire si cette affirmation est objective. Plusieurs rumeurs circulent, dont l'une que Hitler lui même aurait tué Geli pour cause d'infidélité. Mais la plupart des historiens s'accordent à dire que sa mort est réellement due à un suicide de Geli, qui, perturbée par la relation qu'elle avait avec Hitler et ne pouvant s'échapper de son emprise, mit fin à ses jours.
Après sa mort, Hitler changea radicalement de comportement. Il tenta de se suicider lui même, puis devint de plus en plus négatif. Il devient aussi végétarien à cette période car il a déclaré que la viande lui rappelait le corps de Geli.
et aussi :
http://www.spartacus.schoolnet.co.uk/GERraubal.htm
Geli Raubal, the daughter of Leo Raubal and Angela Raubal, was born in Linz on 4th June, 1908. When Adolf Hitler rented a house in Obersalzberg he asked his half-sister, Angela Raubal, now a widow, to be his housekeeper. She agreed and in August 1928 brought Geli with her to stay with Hitler.
Hitler, who had now turned forty, became infatuated with Geli and rumours soon spread that he was having an affair with his young niece. Hitler became extremely possessive and Emil Maurice, his chauffeur, who also showed interest in Geli, was sacked.
The couple lived together for over two years. The relationship with Geli was stormy and they began to accuse each other of being unfaithful. Geli was particularly concerned about Eva Braun, a seventeen-year-old girl who Hitler took for rides in his Mercedes car.
Geli also complained about the way Hitler controlled her life. On September 8, 1931, Hitler left for Hamburg after having a blazing row with Geli over her desire to spend some time in Vienna. Hitler was heard to shout at Geli as he was about to get into his car: "For the last time, no!" After he left Geli shot herself through the heart with a revolver.
When he heard the news Hitler threatened to take his own life but was talked out of it by senior members of the Nazi Party. One consequence of Geli's suicide was that Hitler became a vegetarian. He claimed that meat now reminded him of Geli's corpse.
Rumours about Geli's death spread quickly amongst Hitler's enemies. It was said that Geli had been badly beaten up by Hitler before she shot herself. Another story involved Geli committing suicide because she was expecting Hitler's child. Some people claimed she was murdered by Heinrich Himmler because she was threatening to blackmail Hitler. Little evidence has been provided to support these suggestions and the reasons for her death remain a mystery.
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l'analyse de la situation biorythmique dit des choses extrêmement intéressantes :
Geli est née le 4 juin 1908, un jeudi, qui devient donc son jour critique émotionnel.
Elle est morte le 18 septembre 1931, un vendredi (la date du 8 septembre dans l'article ci-dessus n'est pas juste) suicide par balle de révolver dans le coeur... suicide discuté à mon avis peu probable car :
- elle n'était pas dans un jour critique émotionnel
- elle n'était pas dans une période critique septennale
- une femme peut-elle se tirer une balle dans le coeur pour se suicider ?
par contre
Adolf Hitler est né le 20 avril 1889, soit un samedi, qui est donc son jour critique émotionnel.
au moment du "suicide" de Geli Adolf Hitler est à la veille de son jour critique émotionnel (*) et il a 42 ans et 5 mois, donc se trouve en pleine période critique du cycle psychique et émotionnel septennal (*)
S'il y a eu dispute, suivie de coup de feu j'ai tendance à le mettre sur le compte de la situation doublement critique de Aldolf Hitler : entrée dans le jour critique émotionnel et période critique septennale.
Et c'est le fait qu'il se trouve à ce moment là dans sa période critique qui fait qu'il a des envies de meurtre, des envies suicidaires, qu'il "change" au point de "devenir végétarien"... et plus "négatif"... et pas l'inverse : ce n'est pas la mort de Geli qui l'a transformé mais il est transformé A CAUSE DE sa période critique septennale... et il a tiré sur Geli également pour cette raison...(surtout qu'il est question d'une dispute entre les deux)...
(*) le jour critique émotionnel est à l'origine de nombreux comportements, et il est entre autres le jour prédominant pour les "passages à l'acte" en matière de suicide, ou "coups de folie" divers.(Pour son fonctionnement, ce jour étant hebdomadaire, voir les autres explications dans les rubriques en question)
la période critique du cycle septennal est elle aussi une période de passage à l'acte pour de grands changements, mais là aussi ce peut être de réelles métamorphoses définitives ou le plus souvent le temps de la période (environ un an et demi autour des années de la table de 7), du Dr Jekkyl en Mr Hyde. (idem pour le jour critique émotionnel, d'ailleurs qui se superpose sur cette période.)
Un jour critique émotionnel situé à l'intérieur d'une période critique septennale sera donc particulièrement "efficace".
édit 25/12/2013 :
j'ai regardé encore une fois (quatre ans après et donc plus d'expérience :-) la situation de Geli Raubal (4/06/1908) le 18 septembre 1931 :
Ve 11
Sa 12
Di 13
Lu 14
Ma 15
Me 16 P(18)
Je 17 P(19) E(22)
Ve 18 I(26)
Sa 19
Di 20
Lu 21
il s'agit effectivement du passage dans un épisode triplement critique le vendredi étant un jour critique intellectuel i26 le lendemain du jour critique émotionnel E22 et critique physique P19, donc effectivement suicide possible. 23 ans et 4 mois donc année critique P1.
Adolf Hitler
Adolf Hitler (20/04/1889 - 30/04/1945)
"Mein Kampf (Mon Combat en français) est un ouvrage rédigé par Adolf Hitler entre 1923 et 1924 pendant sa détention à la prison de Landsberg am Lech, détention consécutive au putsch de la brasserie, coup d'État manqué. Il prétend contenir des éléments autobiographiques ainsi qu'une présentation de l'idéologie politique du nazisme."
(Wikipedia)
1923/1924 Hitler a 35 ans. et Mein Kampf est une oeuvre issue de cette période critique septennale.
Je n'ai pas encore investigué pour voir s'il y a un lien avec d'autres dates septennales :
28 ans en 1917
42 ans en 1931 (voir le post suivant au sujet de la mort de Geli)
49 ans en 1938
56 ans en 1945
tiens 39/45 c'est juste un septennat ?
Wikipedia :
"La défaite finale et la mort
Les ordres de Hitler à ses troupes deviennent de plus en plus irréalistes compte tenu de l’écrasante supériorité de l’Armée rouge et des Alliés. Les réunions entre Hitler et son chef d’état-major (depuis juillet 1944) Heinz Guderian sont de plus en plus houleuses et ce dernier finit par être renvoyé le 28 mars. Devant ses proches, Hitler déclare que les « armes miracles » (dont les V1, V2 et les premiers chasseurs à réaction Messerschmitt Me 262) vont renverser la situation, ou que les Alliés arrêteront de combattre le Troisième Reich pour s’attaquer à l’URSS.
Dans les derniers mois du conflit, Hitler, dont la santé décline rapidement, n’apparaît plus en public et reste la plupart du temps à Berlin. C’est Joseph Goebbels, le chef de la propagande, par ailleurs commissaire à la défense de Berlin et responsable de la Volksturm, qui se charge d’exhorter les troupes et les foules.
Convaincu que l’Allemagne ne pourra survivre à une défaite devenue inéluctable, Hitler ordonne le 19 mars 1945 la destruction des industries, des installations militaires, des magasins et des moyens de transport et de communications. Cet ordre ne sera pas respecté. Albert Speer, ministre de l’armement et architecte du Reich, a prétendu devant le tribunal de Nuremberg qu’il avait pris les mesures nécessaires pour que les directives de Hitler ne soient pas accomplies par les gauleiters.
Le 30 avril 1945, alors que l’Armée rouge encercle Berlin, Adolf Hitler se suicide en compagnie d’Eva Braun qu’il venait d’épouser, dans le Führerbunker. Ils commettent leur acte en avalant une capsule de poison pleine de cyanure de potassium. Dans son testament politique, il écarte Hermann Göring et Heinrich Himmler, qu’il accuse de trahison. Le premier est accusé d’avoir tenté de le renverser et le second d’avoir négocié en secret avec les Alliés. Pour Himmler cependant, de récentes recherches amènent à penser qu’il aurait négocié avec les alliés sur ordre d’Hitler lui-même. Il désigne l’amiral Karl Dönitz comme successeur. Son corps est incinéré par son chauffeur Erich Kempka et son aide de camp Otto Günsche, dans un cratère de bombe près du bunker."
=================================
Hitler a eu des idées délirantes et des envies de suicide collectif sur la fin, puisqu'il avait 56 ans...
Il a d'ailleurs commencé sa guerre à l'occasion de la période critique septennale précédent celle de sa défaite et de sa mort : en 1938 il avait 49 ans...
en outre il est autrichien et non allemand...
"Mein Kampf (Mon Combat en français) est un ouvrage rédigé par Adolf Hitler entre 1923 et 1924 pendant sa détention à la prison de Landsberg am Lech, détention consécutive au putsch de la brasserie, coup d'État manqué. Il prétend contenir des éléments autobiographiques ainsi qu'une présentation de l'idéologie politique du nazisme."
(Wikipedia)
1923/1924 Hitler a 35 ans. et Mein Kampf est une oeuvre issue de cette période critique septennale.
Je n'ai pas encore investigué pour voir s'il y a un lien avec d'autres dates septennales :
28 ans en 1917
42 ans en 1931 (voir le post suivant au sujet de la mort de Geli)
49 ans en 1938
56 ans en 1945
tiens 39/45 c'est juste un septennat ?
Wikipedia :
"La défaite finale et la mort
Les ordres de Hitler à ses troupes deviennent de plus en plus irréalistes compte tenu de l’écrasante supériorité de l’Armée rouge et des Alliés. Les réunions entre Hitler et son chef d’état-major (depuis juillet 1944) Heinz Guderian sont de plus en plus houleuses et ce dernier finit par être renvoyé le 28 mars. Devant ses proches, Hitler déclare que les « armes miracles » (dont les V1, V2 et les premiers chasseurs à réaction Messerschmitt Me 262) vont renverser la situation, ou que les Alliés arrêteront de combattre le Troisième Reich pour s’attaquer à l’URSS.
Dans les derniers mois du conflit, Hitler, dont la santé décline rapidement, n’apparaît plus en public et reste la plupart du temps à Berlin. C’est Joseph Goebbels, le chef de la propagande, par ailleurs commissaire à la défense de Berlin et responsable de la Volksturm, qui se charge d’exhorter les troupes et les foules.
Convaincu que l’Allemagne ne pourra survivre à une défaite devenue inéluctable, Hitler ordonne le 19 mars 1945 la destruction des industries, des installations militaires, des magasins et des moyens de transport et de communications. Cet ordre ne sera pas respecté. Albert Speer, ministre de l’armement et architecte du Reich, a prétendu devant le tribunal de Nuremberg qu’il avait pris les mesures nécessaires pour que les directives de Hitler ne soient pas accomplies par les gauleiters.
Le 30 avril 1945, alors que l’Armée rouge encercle Berlin, Adolf Hitler se suicide en compagnie d’Eva Braun qu’il venait d’épouser, dans le Führerbunker. Ils commettent leur acte en avalant une capsule de poison pleine de cyanure de potassium. Dans son testament politique, il écarte Hermann Göring et Heinrich Himmler, qu’il accuse de trahison. Le premier est accusé d’avoir tenté de le renverser et le second d’avoir négocié en secret avec les Alliés. Pour Himmler cependant, de récentes recherches amènent à penser qu’il aurait négocié avec les alliés sur ordre d’Hitler lui-même. Il désigne l’amiral Karl Dönitz comme successeur. Son corps est incinéré par son chauffeur Erich Kempka et son aide de camp Otto Günsche, dans un cratère de bombe près du bunker."
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Hitler a eu des idées délirantes et des envies de suicide collectif sur la fin, puisqu'il avait 56 ans...
Il a d'ailleurs commencé sa guerre à l'occasion de la période critique septennale précédent celle de sa défaite et de sa mort : en 1938 il avait 49 ans...
en outre il est autrichien et non allemand...
mardi 21 juillet 2009
Aloïs Alzheimer
wikipédia :
Aloïs Alzheimer (14 juin 1864 à Marktbreit - 19 décembre 1915 à Breslau (aujourd'hui Wrocław) est un médecin psychiatre, neurologue et neuropathologiste allemand connu pour sa description de la maladie qui porte son nom.
.........
Le cas Auguste D.
Auguste D.Cette patiente, de 51 ans, est admise à l'hôpital de Francfort le 25 novembre 1901, atteinte d'une démence. Elle est suivie par le Dr. Alzheimer jusqu'à sa mort le 8 avril 1906. Il en examine alors le cerveau, y découvrant les anomalies des fibrilles caractéristiques de la maladie d'Alzheimer.
Il décrit pour la première fois les symptômes et l'analyse histologique du cerveau en 1906, lors de la 37e Conférence des psychiatres allemands. Par la suite, plusieurs autres médecins (Fisher en 1907, Bonfiglio en 1908, Perusini en 1909 qui réétudie le cerveau d'Auguste D.) vont confirmer sa découverte. Alzheimer publie un deuxième cas identique en 1911.
C'est le psychiatre renommé Emil Kraepelin, qui est à l'époque responsable de la chaire de psychiatrie de Munich, qui propose par la suite de désigner ce type de démence par le nom de son collègue.
===================
je n'ai pas trouvé la date du début de la maladie de Auguste D. née le 16 mai 1850 et décédée le 8 avril 1906.
mais : Gedächtnisverlust war ein Rätsel
Am 25. November 1901 wird Auguste Deter, damals 51 Jahre alt, in die Frankfurter Klinik eingeliefert. "Fünf Jahre vor ihrer Einlieferung hatten bei ihr Wahnvorstellungen und Eifersuchtsideen begonnen", erläutert der Mediziner Sven Rahming, der gerade eine Doktorarbeit über Auguste Deter erstellt. Nach seinen Erkenntnissen veranlasste der gescholtene Ehemann, dem seine Frau diverse Verhältnisse unterstellte, eine Untersuchung beim Hausarzt - dieser wies die Frau prompt in die Irrenanstalt ein.
In dieser "Irrenschloss" genannten stattlichen Villa in einem Park in der Frankfurter Innenstadt praktiziert der gebürtige Unterfranke Alzheimer seit 1888. Der Fall der Eisenbahnkanzlistenfrau Auguste Deter interessiert ihn brennend: Dem Mediziner ist der Gedächtnisverlust der noch relativ jungen Frau ein Rätsel - bis dahin war sie völlig gesund, sie ist weder erblich vorbelastet noch traumatisiert.
Dennoch schreit sie manchmal stundenlang "mit grässlicher Stimme", dann wieder ist sie vollkommen apathisch. Auf Fragen antwortet sie meist zusammenhanglos und unverständlich. An Einzelheiten ihres Lebens kann sie sich kaum noch erinnern. In einem der wenigen klareren Momente fasst sie ihre Hilflosigkeit in erstaunlich präzise Worte: "Ich habe mich sozusagen verloren."
Die Symptome sind dem Neurologen keineswegs unbekannt, aber nie zuvor hat er sie bei einer so relativ jungen Person gesehen. Daher vermutet er, dass für diese Form des Schwachsinns keineswegs das Alter verantwortlich ist. Die Vermutung bestätigt sich, als Auguste Deter fünf Jahre nach ihrer Einlieferung, am 8. April 1906 "um 3/4 6 Uhr morgens", an einer Blutvergiftung als Folge eines Druckgeschwürs stirbt.
http://www.stern.de/wissenschaft/medizin/:Alzheimer-Patientin-Auguste-Deter-Ich/559141.html
===============
les "changements" ont démarré cinq ans avant que Aguste Deter ne soit hospitalisée chez Alzheimer : c'était donc vers novembre 1896.
à ce moment là Auguste Deter avait 46 ans et 6 mois...
on entre dans la période critique septennale des 49 ans à 48 ans et demi : Auguste Deter n'y est pas encore... il faudrait cependant que l'on soit sûr du moment de démarrage des troubles... car je suspecte que la "maladie" de Auguste Deter soit liée à la période critique septennale des 49 ans.
on a déjà vu que certains malades célèbres de Freud y sont allés parce qu'ils se trouvaient en période critique - et donc en dépression septennale - et il ne m'étonnerait pas que Auguste Deter soit de la partie également.
ceci donc sous réserve de trouver d'autres renseignements. le second pas décrit en 1911 par exemple serait intéressant aussi... quel âge le malade ?
intéressant... j'ai trouvé çà :
:In 1911, Alois Alzheimer published a detailed report (Zbl. ges. Neurol. Psych. 4: 356-385) on a peculiar case of the disease that had been named after him by Emil Kraepelin in 1910. Alzheimer describes a 56-year-old male patient (Johann F.) who suffered from presenile dementia and who was hospitalized in Kraepelin's clinic for more than 3 years. Post-mortem examination of the patient's brain revealed numerous amyloid plaques but no neurofibrillary tangles in the cerebral cortex, corresponding to a less common form of Alzheimer disease which may be referred to as 'plaque only'. We have identified well-preserved histological sections of this case and performed mutational screening of exon 17 of the amyloid precursor protein gene and genotyping for apolipoprotein E alleles. The patient was shown to be homozygous for apolipoprotein allele epsilon3 and lacked APP mutations at codons 692, 693, 713 and 717. This case is of historical importance as it may have convinced Kraepelin to name the disease after his co-worker, Alois Alzheimer.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10735278
================
l'intéressé est soigné à 56 ans mais est malade depuis trois ans semble-t-il...
çà ne colle donc pas vraiment à la période critique septennale... bien qu'il serait intéssant de savoir quand et comment la maladie a commencé et quelle est la situation justement à 56 ans...
sinon on peut encore noter que :
Auguste Deter est décédée en période critique septennale des 56 ans, un jour neutre. un mois avant son 56ème anniversaire et la période critique suivant celle de l'irruption nde sa maladie qui aura probablement duré un septennat.
Aloïs Alzheimer n'est pas devenu bien vieux, puisque décédé à 51 ans (une année critique physique équivalente de P6), son jour critique physique P1.
décembre 1915.
Je 16
Ve 17
Sa 18
Di 19 P(1)
Lu 20
Aloïs Alzheimer (14 juin 1864 à Marktbreit - 19 décembre 1915 à Breslau (aujourd'hui Wrocław) est un médecin psychiatre, neurologue et neuropathologiste allemand connu pour sa description de la maladie qui porte son nom.
.........
Le cas Auguste D.
Auguste D.Cette patiente, de 51 ans, est admise à l'hôpital de Francfort le 25 novembre 1901, atteinte d'une démence. Elle est suivie par le Dr. Alzheimer jusqu'à sa mort le 8 avril 1906. Il en examine alors le cerveau, y découvrant les anomalies des fibrilles caractéristiques de la maladie d'Alzheimer.
Il décrit pour la première fois les symptômes et l'analyse histologique du cerveau en 1906, lors de la 37e Conférence des psychiatres allemands. Par la suite, plusieurs autres médecins (Fisher en 1907, Bonfiglio en 1908, Perusini en 1909 qui réétudie le cerveau d'Auguste D.) vont confirmer sa découverte. Alzheimer publie un deuxième cas identique en 1911.
C'est le psychiatre renommé Emil Kraepelin, qui est à l'époque responsable de la chaire de psychiatrie de Munich, qui propose par la suite de désigner ce type de démence par le nom de son collègue.
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je n'ai pas trouvé la date du début de la maladie de Auguste D. née le 16 mai 1850 et décédée le 8 avril 1906.
mais : Gedächtnisverlust war ein Rätsel
Am 25. November 1901 wird Auguste Deter, damals 51 Jahre alt, in die Frankfurter Klinik eingeliefert. "Fünf Jahre vor ihrer Einlieferung hatten bei ihr Wahnvorstellungen und Eifersuchtsideen begonnen", erläutert der Mediziner Sven Rahming, der gerade eine Doktorarbeit über Auguste Deter erstellt. Nach seinen Erkenntnissen veranlasste der gescholtene Ehemann, dem seine Frau diverse Verhältnisse unterstellte, eine Untersuchung beim Hausarzt - dieser wies die Frau prompt in die Irrenanstalt ein.
In dieser "Irrenschloss" genannten stattlichen Villa in einem Park in der Frankfurter Innenstadt praktiziert der gebürtige Unterfranke Alzheimer seit 1888. Der Fall der Eisenbahnkanzlistenfrau Auguste Deter interessiert ihn brennend: Dem Mediziner ist der Gedächtnisverlust der noch relativ jungen Frau ein Rätsel - bis dahin war sie völlig gesund, sie ist weder erblich vorbelastet noch traumatisiert.
Dennoch schreit sie manchmal stundenlang "mit grässlicher Stimme", dann wieder ist sie vollkommen apathisch. Auf Fragen antwortet sie meist zusammenhanglos und unverständlich. An Einzelheiten ihres Lebens kann sie sich kaum noch erinnern. In einem der wenigen klareren Momente fasst sie ihre Hilflosigkeit in erstaunlich präzise Worte: "Ich habe mich sozusagen verloren."
Die Symptome sind dem Neurologen keineswegs unbekannt, aber nie zuvor hat er sie bei einer so relativ jungen Person gesehen. Daher vermutet er, dass für diese Form des Schwachsinns keineswegs das Alter verantwortlich ist. Die Vermutung bestätigt sich, als Auguste Deter fünf Jahre nach ihrer Einlieferung, am 8. April 1906 "um 3/4 6 Uhr morgens", an einer Blutvergiftung als Folge eines Druckgeschwürs stirbt.
http://www.stern.de/wissenschaft/medizin/:Alzheimer-Patientin-Auguste-Deter-Ich/559141.html
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les "changements" ont démarré cinq ans avant que Aguste Deter ne soit hospitalisée chez Alzheimer : c'était donc vers novembre 1896.
à ce moment là Auguste Deter avait 46 ans et 6 mois...
on entre dans la période critique septennale des 49 ans à 48 ans et demi : Auguste Deter n'y est pas encore... il faudrait cependant que l'on soit sûr du moment de démarrage des troubles... car je suspecte que la "maladie" de Auguste Deter soit liée à la période critique septennale des 49 ans.
on a déjà vu que certains malades célèbres de Freud y sont allés parce qu'ils se trouvaient en période critique - et donc en dépression septennale - et il ne m'étonnerait pas que Auguste Deter soit de la partie également.
ceci donc sous réserve de trouver d'autres renseignements. le second pas décrit en 1911 par exemple serait intéressant aussi... quel âge le malade ?
intéressant... j'ai trouvé çà :
:In 1911, Alois Alzheimer published a detailed report (Zbl. ges. Neurol. Psych. 4: 356-385) on a peculiar case of the disease that had been named after him by Emil Kraepelin in 1910. Alzheimer describes a 56-year-old male patient (Johann F.) who suffered from presenile dementia and who was hospitalized in Kraepelin's clinic for more than 3 years. Post-mortem examination of the patient's brain revealed numerous amyloid plaques but no neurofibrillary tangles in the cerebral cortex, corresponding to a less common form of Alzheimer disease which may be referred to as 'plaque only'. We have identified well-preserved histological sections of this case and performed mutational screening of exon 17 of the amyloid precursor protein gene and genotyping for apolipoprotein E alleles. The patient was shown to be homozygous for apolipoprotein allele epsilon3 and lacked APP mutations at codons 692, 693, 713 and 717. This case is of historical importance as it may have convinced Kraepelin to name the disease after his co-worker, Alois Alzheimer.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10735278
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l'intéressé est soigné à 56 ans mais est malade depuis trois ans semble-t-il...
çà ne colle donc pas vraiment à la période critique septennale... bien qu'il serait intéssant de savoir quand et comment la maladie a commencé et quelle est la situation justement à 56 ans...
sinon on peut encore noter que :
Auguste Deter est décédée en période critique septennale des 56 ans, un jour neutre. un mois avant son 56ème anniversaire et la période critique suivant celle de l'irruption nde sa maladie qui aura probablement duré un septennat.
Aloïs Alzheimer n'est pas devenu bien vieux, puisque décédé à 51 ans (une année critique physique équivalente de P6), son jour critique physique P1.
décembre 1915.
Je 16
Ve 17
Sa 18
Di 19 P(1)
Lu 20
samedi 18 juillet 2009
Sri Aurobindo
wikipédia :
Aurobindo Ghose ou Sri Aurobindo (15 août 1872 à Calcutta - 5 décembre 1950 à Pondichéry) est un des fondateurs principaux du mouvement militant indépendantiste indien, un philosophe, poète et écrivain spiritualiste. Il a développé une approche nouvelle du yoga, le yoga intégral.
............
En 1909, il sort de la prison où il a passé un an pour ses activités indépendantistes.
Décembre 1950
Ve 1
Sa 2
Di 3
Lu 4
Ma 5 P(12)
Me 6
================
pas trouvé de lien flagrant hormis les activités indépendantistes qui l'ont conduit en prison vers 35 ans et son décès son jour critique émotionnel P12.
édit 21/05/09 :
"Sri Aurobindo quitte le Gujérat et s'installe en 1906 à Calcutta pour se lancer ouvertement dans le combat politique qui lui tient à cœur. Il commence parallèlement sa recherche intérieure, non pour s'évader dans les sphères supérieures, mais comme un pouvoir d'action dans ses activités révolutionnaires contre l'occupant anglais."
http://www.ire-miraditi.org/ire/sa.html
1906 c'est bien l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans...
Aurobindo Ghose ou Sri Aurobindo (15 août 1872 à Calcutta - 5 décembre 1950 à Pondichéry) est un des fondateurs principaux du mouvement militant indépendantiste indien, un philosophe, poète et écrivain spiritualiste. Il a développé une approche nouvelle du yoga, le yoga intégral.
............
En 1909, il sort de la prison où il a passé un an pour ses activités indépendantistes.
Décembre 1950
Ve 1
Sa 2
Di 3
Lu 4
Ma 5 P(12)
Me 6
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pas trouvé de lien flagrant hormis les activités indépendantistes qui l'ont conduit en prison vers 35 ans et son décès son jour critique émotionnel P12.
édit 21/05/09 :
"Sri Aurobindo quitte le Gujérat et s'installe en 1906 à Calcutta pour se lancer ouvertement dans le combat politique qui lui tient à cœur. Il commence parallèlement sa recherche intérieure, non pour s'évader dans les sphères supérieures, mais comme un pouvoir d'action dans ses activités révolutionnaires contre l'occupant anglais."
http://www.ire-miraditi.org/ire/sa.html
1906 c'est bien l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans...
Mirra Alfassa
wikipédia :
Mirra Alfassa (Paris le 21 février 1878 - 17 novembre 1973 à Pondichéry) aussi surnommée Douce Mère ou la Mère a pour identité Mirra Richard. Elle est connue pour son parcours spirituel et ses écrits et pour être à l'origine de la cité d'Auroville en Inde avec Sri Aurobindo.
...........
Elle effectue un séjour à Tlemcen de 1905 à 1906, puis fonde sa première association : Idea.
..............
revient définitivement près de Sri Aurobindo en 1920.
novembre 1973
Je 15 E(22)
Ve 16 P(7)
Sa 17
Di 18
==============
Mirra Alfassa décède le lendemain d'un jour critique physique P7.
création de l'association Idea à 28 ans ; rencontre Sri Aurobindo à 29 ans et retour définitif chez Sri Aurobindo à 42 ans.
Mirra Alfassa (Paris le 21 février 1878 - 17 novembre 1973 à Pondichéry) aussi surnommée Douce Mère ou la Mère a pour identité Mirra Richard. Elle est connue pour son parcours spirituel et ses écrits et pour être à l'origine de la cité d'Auroville en Inde avec Sri Aurobindo.
...........
Elle effectue un séjour à Tlemcen de 1905 à 1906, puis fonde sa première association : Idea.
..............
revient définitivement près de Sri Aurobindo en 1920.
novembre 1973
Je 15 E(22)
Ve 16 P(7)
Sa 17
Di 18
==============
Mirra Alfassa décède le lendemain d'un jour critique physique P7.
création de l'association Idea à 28 ans ; rencontre Sri Aurobindo à 29 ans et retour définitif chez Sri Aurobindo à 42 ans.
dimanche 12 juillet 2009
Thérèse Neumann
http://voiemystique.free.fr/therese_neumann_1.htm
je vais reprendre dès que possible l'essentiel des données de ce site car beaucoup d'entre elles concordent de façon étonnante avec les rythmes et cycles qui m'intéressent...
je vais reprendre dès que possible l'essentiel des données de ce site car beaucoup d'entre elles concordent de façon étonnante avec les rythmes et cycles qui m'intéressent...
samedi 11 juillet 2009
Ed Gein
Ed Gein (27/08/1906 - 26/07/1984)
Edward Gein tueur et nécrophile aurait démarré ses méfaits à 48 ans : début d'une période du cycle septennal. (ss réserve de vérification car j'ai trouvé des dates controversées)
Edward Gein tueur et nécrophile aurait démarré ses méfaits à 48 ans : début d'une période du cycle septennal. (ss réserve de vérification car j'ai trouvé des dates controversées)
Richard Chase
Richard Chase (23/05/1950 - 26/12/1980)
Richard Chase est devenu Serial Killer et a commis la plupart de ses crimes dans sa 28ème année (1978) ... donc un Killer du cycle émotionnel septennal...
Richard Chase est devenu Serial Killer et a commis la plupart de ses crimes dans sa 28ème année (1978) ... donc un Killer du cycle émotionnel septennal...
Grégory
je reprends des données auxquelles je m'étais déjà intéressé :
Grégory est né le dimanche 24 août 1980 et a été tué le mardi 16 octobre 1984. Il a disparu vers 17H.
sa mère, Christine Villemin est née le mercredi 13 juillet 1960
et avait au moment du drame 24 ans et 3 mois.
le 16 octobre 1984 elle est en P7 et la veille de E15.(jour critique émotionnel)
(c'est la même situation que Bernard Laroche, pour ce qui est de l'entrée dans le jour critique émotionnel le soir du crime à 18H)
son père Jean-Marie Villemin est né le mardi 30 septembre 1958
et avait au moment du drame 26 ans et quinze jours.
il est dans son jour critique émotionnel E22 le jour du meurtre. mais ce jour critique émotionnel s'arrête à 18h.
il y a une proximité de la date anniversaire mais la période sensible se situe plutôt les quatre semaines précédant l'anniversaire.
Bernard Laroche est né mercredi le 23 mars 1955
et avait au moment du drame 29 ans et 6 mois.
(la 30ème année de vie - dans laquelle il se trouve - est une année critique physique.(période critique d'un cycle physique sextennal)
pas de période critique septennale (sauf l'année et demie qui vient de s'écouler, puisqu'il est sorti de sa période critique des 28 ans avec son 29ème anniversaire)
mais
le soir du meurtre était pour lui veille de son jour critique émotionnel E22.
(il y entre à 18H ce soir là - c'est la même situation que Christine Villemin)
(Bernard Laroche, cousin germain de Jean-Marie Villemin, est dénoncé par Muriel, sa belle-sœur de quinze ans, mais elle se rétracte ensuite).
le vendredi 29 mars 1985 il est abattu par Jean-Marie Villemin. (qui est en P18 et i9 ce jour là)
Muriel Bolle est née le dimanche 15 juin 1969 et avait alors
15 ans et 4 mois. (i26 le jour du crime)
(Murielle Bolle, belle soeur de Bernard Laroche, 15 ans à l'époque qui "craque" et "avoue" le vendredi 2 novembre 1984
réitère devant le Juge le lundi 5 novembre 1984
mais se rétracte définitivement le lendemain 6 novembre)
le problème des natifs du dimanche c'est qu'ils sont rarement devant la justice ou interrogés leur "jour de vérité" qu'est le jour critique émotionnel... puisque c'est un dimanche et que ce jour là ... est férié...
une lettre anonyme arrive chez les parents Villemin le lendemain du crime, le mercredi 17 octobre 1984... sait-on quand elle a été écrite ?
alors sont en situation "à risque" d'après leur situation biorythmique :
- Christine Villemin qui se trouve à la veille de son jour critique émotionnel au moment du drame.
native du mercredi son jour critique émotionnel est le mercredi mais il démarre mardi soir aux alentours de 18 heures. (une journée biorythmique court toujours de 18H la veille à 18H le lendemain)
- Jean-Pierre Villemin qui se trouve dans son jour critique émotionnel le jour même du drame, étant né un mardi.
natif du mardi son jour critique émotionnel est le mardi... mais il se termine le mardi soir vers 18 heures. (son jour critique va de lundi 18H à mardi 18H).
- Bernard Laroche qui se trouve dans la même situation que Christine Villemin, la veille de son jour critique émotionnel le soir du drame.
natif du mercredi il se trouve tout comme Christine Villemin à la veille de son jour critique émotionnel : il y entre le mardi soir aux alentours de 18 heures.
il se trouve en outre dans une année critique physique sextennale.
Il n'y a pas vraiment d'autre période critique : Christine Villemin est sortie de sa période critique sextennale avec son 24ème anniversaire et Bernard Laroche est sorti de sa période critique septennale avec son 29ème anniversaire. Pour Jean-Pierre Villemin c'est neutre.
les moments clés à risque maximum de "passage à l'acte" en raison des pulsions survenant à ce moment là, et liés à nos cycles psychiques et émotionnels se situent à l'entrée dans la période critique septennale (donc rien ici)
et à l'entrée dans son jour critique émotionnel. ce qui est ici le cas pour la mère Christine Villemin et pour Bernard Laroche.
Le crime a en effet eu lieu pratiquement à ce moment là.
la situation de Bernard Laroche en période critique sextenale est un autre indice à retenir : chez certaines peronnes ces périodes peuvent donner lieu à de graves problèmes et elles sont alors équivalentes aux conséquences d'une période critique septennale. d'après mon expérience - pas encore consistante pour ce qui est de ce cycle physique - ce sont des personnes plus primaires qui sont influencées et influençables à ce moment là. (pulsions)
il s'agit ici d'indices ou indications et on est "susceptible d'avoir pu faire quelque chose ou avoir un certain comportement" ; reste ensuite à regarder de près avec tous les autres moyens et données éventuels ce que çà donne, car nous entrons tous dans notre jour critique émotionnel personnel chaque semaine au même moment. mais si c'est le cas, c'est à ce moment là qu'il est plus probable que nous passions à l'acte pour faire quelque chose que nous mijotons depuis longtemps ou encore pour un coup de tête ou coup de folie : c'est en effet un moment où les pulsions sont renforcées et les inhibitions faiblies. Pour Bernard Laroche s'ajoute la période de dépression sextennale.
autres indices que l'on pourrait regarder dans cette affaire :
- très nombreux coups de téléphone du "corbeau" : on pourrait voir quel jour de la semaine ont eu lieu le plus grand nombre d'appels, et si possible même à quelle heure ; on a tendance à parler, téléphoner, écrire, passer à l'acte, son jour critique émotionnel, plus précisément au moment de l'entrée dans ce jour donc la veille aux alentours de 18 heures environ. cela peut éventuellement permettre de faire le rapport avec le jour de naissance d'une personne.
- lettres : idem...
Grégory est né le dimanche 24 août 1980 et a été tué le mardi 16 octobre 1984. Il a disparu vers 17H.
sa mère, Christine Villemin est née le mercredi 13 juillet 1960
et avait au moment du drame 24 ans et 3 mois.
le 16 octobre 1984 elle est en P7 et la veille de E15.(jour critique émotionnel)
(c'est la même situation que Bernard Laroche, pour ce qui est de l'entrée dans le jour critique émotionnel le soir du crime à 18H)
son père Jean-Marie Villemin est né le mardi 30 septembre 1958
et avait au moment du drame 26 ans et quinze jours.
il est dans son jour critique émotionnel E22 le jour du meurtre. mais ce jour critique émotionnel s'arrête à 18h.
il y a une proximité de la date anniversaire mais la période sensible se situe plutôt les quatre semaines précédant l'anniversaire.
Bernard Laroche est né mercredi le 23 mars 1955
et avait au moment du drame 29 ans et 6 mois.
(la 30ème année de vie - dans laquelle il se trouve - est une année critique physique.(période critique d'un cycle physique sextennal)
pas de période critique septennale (sauf l'année et demie qui vient de s'écouler, puisqu'il est sorti de sa période critique des 28 ans avec son 29ème anniversaire)
mais
le soir du meurtre était pour lui veille de son jour critique émotionnel E22.
(il y entre à 18H ce soir là - c'est la même situation que Christine Villemin)
(Bernard Laroche, cousin germain de Jean-Marie Villemin, est dénoncé par Muriel, sa belle-sœur de quinze ans, mais elle se rétracte ensuite).
le vendredi 29 mars 1985 il est abattu par Jean-Marie Villemin. (qui est en P18 et i9 ce jour là)
Muriel Bolle est née le dimanche 15 juin 1969 et avait alors
15 ans et 4 mois. (i26 le jour du crime)
(Murielle Bolle, belle soeur de Bernard Laroche, 15 ans à l'époque qui "craque" et "avoue" le vendredi 2 novembre 1984
réitère devant le Juge le lundi 5 novembre 1984
mais se rétracte définitivement le lendemain 6 novembre)
le problème des natifs du dimanche c'est qu'ils sont rarement devant la justice ou interrogés leur "jour de vérité" qu'est le jour critique émotionnel... puisque c'est un dimanche et que ce jour là ... est férié...
une lettre anonyme arrive chez les parents Villemin le lendemain du crime, le mercredi 17 octobre 1984... sait-on quand elle a été écrite ?
alors sont en situation "à risque" d'après leur situation biorythmique :
- Christine Villemin qui se trouve à la veille de son jour critique émotionnel au moment du drame.
native du mercredi son jour critique émotionnel est le mercredi mais il démarre mardi soir aux alentours de 18 heures. (une journée biorythmique court toujours de 18H la veille à 18H le lendemain)
- Jean-Pierre Villemin qui se trouve dans son jour critique émotionnel le jour même du drame, étant né un mardi.
natif du mardi son jour critique émotionnel est le mardi... mais il se termine le mardi soir vers 18 heures. (son jour critique va de lundi 18H à mardi 18H).
- Bernard Laroche qui se trouve dans la même situation que Christine Villemin, la veille de son jour critique émotionnel le soir du drame.
natif du mercredi il se trouve tout comme Christine Villemin à la veille de son jour critique émotionnel : il y entre le mardi soir aux alentours de 18 heures.
il se trouve en outre dans une année critique physique sextennale.
Il n'y a pas vraiment d'autre période critique : Christine Villemin est sortie de sa période critique sextennale avec son 24ème anniversaire et Bernard Laroche est sorti de sa période critique septennale avec son 29ème anniversaire. Pour Jean-Pierre Villemin c'est neutre.
les moments clés à risque maximum de "passage à l'acte" en raison des pulsions survenant à ce moment là, et liés à nos cycles psychiques et émotionnels se situent à l'entrée dans la période critique septennale (donc rien ici)
et à l'entrée dans son jour critique émotionnel. ce qui est ici le cas pour la mère Christine Villemin et pour Bernard Laroche.
Le crime a en effet eu lieu pratiquement à ce moment là.
la situation de Bernard Laroche en période critique sextenale est un autre indice à retenir : chez certaines peronnes ces périodes peuvent donner lieu à de graves problèmes et elles sont alors équivalentes aux conséquences d'une période critique septennale. d'après mon expérience - pas encore consistante pour ce qui est de ce cycle physique - ce sont des personnes plus primaires qui sont influencées et influençables à ce moment là. (pulsions)
il s'agit ici d'indices ou indications et on est "susceptible d'avoir pu faire quelque chose ou avoir un certain comportement" ; reste ensuite à regarder de près avec tous les autres moyens et données éventuels ce que çà donne, car nous entrons tous dans notre jour critique émotionnel personnel chaque semaine au même moment. mais si c'est le cas, c'est à ce moment là qu'il est plus probable que nous passions à l'acte pour faire quelque chose que nous mijotons depuis longtemps ou encore pour un coup de tête ou coup de folie : c'est en effet un moment où les pulsions sont renforcées et les inhibitions faiblies. Pour Bernard Laroche s'ajoute la période de dépression sextennale.
autres indices que l'on pourrait regarder dans cette affaire :
- très nombreux coups de téléphone du "corbeau" : on pourrait voir quel jour de la semaine ont eu lieu le plus grand nombre d'appels, et si possible même à quelle heure ; on a tendance à parler, téléphoner, écrire, passer à l'acte, son jour critique émotionnel, plus précisément au moment de l'entrée dans ce jour donc la veille aux alentours de 18 heures environ. cela peut éventuellement permettre de faire le rapport avec le jour de naissance d'une personne.
- lettres : idem...
Lucien Léger
Lucien Léger (30/03/1937)
Infirmier de l'hôpital psychiatrique de Villejuif condamné le 7 mai 1966 à la réclusion criminelle à perpétuité par la cour d'assises de Versailles pour l'assassinat du petit Luc Taron, un enfant de 11 ans, commis le 27 mai 1964 dans l'Essonne.
Après l'assassinat, il avait envoyé de nombreuses lettres anonymes revendiquant la mort de l'enfant, et donnant des détails précis sur les circonstances du meurtre. Il signait ces lettres "L'étrangleur n°1", et cherchait visiblement à faire la une des journaux.
Il est né un mardi - a agi un mercredi.
Il avait 27 ans et deux mois donc dans sa 28ème année : là aussi, entrée dans la période critique du cycle émotionnel septennal, période des 28 ans.
==================
edit : wikipédia dit que Luc Taron a disparu le 26 mai 1964 et a été retrouvé mort le 27.
Cela confirme bien que l'intéressé a probablement agit son jour critique émotionnel.
Naissance de Luc Taron ? pour voir s'il lui aussi a été influencé par son jour critique émotionnel lorsque après une dispute avec ses parents il s'est enfui de chez lui (j'avais remarqué que les fugues ont lieu de préférénce ce jour là... ce qui se comprend du fait que c'est le jour "nerfs à fleur de peau"...)
Il serait dans ce cas natif du mardi, puisqu'il a fugué ce jour là.
situation biorythmique de Lucien Léger :
le 26 mai 1964 est un jour doublement critique physique et émotionnel... (P7 et E8)
l'un ou l'autre de ces jours critiques sont souvent présents lors de crimes, car jours de pulsions : là nous avons les deux.
Di 24
Lu 25
Ma 26 P(7) E(8)
Me 27
Je 28
Infirmier de l'hôpital psychiatrique de Villejuif condamné le 7 mai 1966 à la réclusion criminelle à perpétuité par la cour d'assises de Versailles pour l'assassinat du petit Luc Taron, un enfant de 11 ans, commis le 27 mai 1964 dans l'Essonne.
Après l'assassinat, il avait envoyé de nombreuses lettres anonymes revendiquant la mort de l'enfant, et donnant des détails précis sur les circonstances du meurtre. Il signait ces lettres "L'étrangleur n°1", et cherchait visiblement à faire la une des journaux.
Il est né un mardi - a agi un mercredi.
Il avait 27 ans et deux mois donc dans sa 28ème année : là aussi, entrée dans la période critique du cycle émotionnel septennal, période des 28 ans.
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edit : wikipédia dit que Luc Taron a disparu le 26 mai 1964 et a été retrouvé mort le 27.
Cela confirme bien que l'intéressé a probablement agit son jour critique émotionnel.
Naissance de Luc Taron ? pour voir s'il lui aussi a été influencé par son jour critique émotionnel lorsque après une dispute avec ses parents il s'est enfui de chez lui (j'avais remarqué que les fugues ont lieu de préférénce ce jour là... ce qui se comprend du fait que c'est le jour "nerfs à fleur de peau"...)
Il serait dans ce cas natif du mardi, puisqu'il a fugué ce jour là.
situation biorythmique de Lucien Léger :
le 26 mai 1964 est un jour doublement critique physique et émotionnel... (P7 et E8)
l'un ou l'autre de ces jours critiques sont souvent présents lors de crimes, car jours de pulsions : là nous avons les deux.
Di 24
Lu 25
Ma 26 P(7) E(8)
Me 27
Je 28
Philippe Labro
merci philippe Labro d'avoir écrit un livre sur la dépression septennale !"Tomber sept fois, se relever huit". car c'est lui qui m'a "mis la puce à l'oreille..."
je n'ai pas lu le livre mais j'en avais découvert les commentaires, et il semble s'agir là d'une belle illustration de la dépression du cycle septennal.
Philippe Labro a eu 63 ans le 27 août 1999.
Philippe Labro raconte la dépression nerveuse dont il a souffert entre septembre 1999 et mai 2001. Dans un récit vécu, sans fard, sans concession, l'auteur raconte ce que signifie perdre le désir, l'énergie, la passion, l'estime de soi. Avec un style direct, intime, en termes simples et imagés, conduit pas le souci authentique de restituer 'cette tristesse sans larmes', il évoque les effets de 'la broyeuse' qui vous ronge le ventre.
.........................
...........................
"Personne n'est à l'abri de la dépression mais grâce à la médecine, à l'amour et à la volonté, on peut en sortir : tel est le message délivré par Philippe Labro dans 'Tomber sept fois, se relever huit'. L'auteur relate son incontrôlable glissade dans la dépression et sa longue traversée du tunnel avant la lente et progressive remontée vers la vie et vers les autres. C'est un récit évidemment très narcissique, le déprimé étant 'fondamentalement un égoïste, autocentré' qui 'ne s'intéresse qu'à sa maladie' et 'ne parle que de lui'. Mais le ton est juste et sincère et l'écriture sobre et efficace. Labro sait alterner la description des signes cliniques de la maladie et l'expression des sentiments qui l'oppressent. Il égratigne au passage les faux amis pour mieux souligner l'importance des affections vraies et distribue des conseils avisés et bien sentis. On touche du doigt la souffrance du malade et de ceux qui l'entourent.
Il paraît que la dépression touche une personne sur cinq, ce qui, avec les proches, finit par concerner pas mal de monde. Ceux-là apprendront probablement beaucoup du récit de Labro qui fait peut-être ainsi oeuvre de salubrité publique. Les autres (ceux que la dépression n'a encore touchés ni de près, ni de loin) n'y verront peut-être qu'une confession autobiographique de plus dans la somme de littérature-réalité qui nous est proposée. Mais nul ne pourra dénier à ce livre son authenticité, son humilité et la belle leçon de courage et d'espoir qu'il propose."
Dominique Beaumont
================
en fait, une personne sur cinq touchée çà se comprend mieux si l'on s'intéresse à une règle mathématique qui veut que tout le monde n'est pas touché systématiquement mais que tout le monde passe par une "période critique" donc période à risque... lors de chaque année septennale de sa vie : cela fait quand même pas mal...
si nous atteignons 80 ans nous avons derrière nous les périodes critiques septennales de l'enfance (7 ans), celle de l'adolescence (14 ans), celle de la majorité (21 ans) et ensuite toutes celles de l'âge adulte (28, 35, 42, 49, 56, 63, 70 et 77 ans...) il y a même des drames septennaux à 84 ans et 91 ans...
je n'ai pas lu le livre mais j'en avais découvert les commentaires, et il semble s'agir là d'une belle illustration de la dépression du cycle septennal.
Philippe Labro a eu 63 ans le 27 août 1999.
Philippe Labro raconte la dépression nerveuse dont il a souffert entre septembre 1999 et mai 2001. Dans un récit vécu, sans fard, sans concession, l'auteur raconte ce que signifie perdre le désir, l'énergie, la passion, l'estime de soi. Avec un style direct, intime, en termes simples et imagés, conduit pas le souci authentique de restituer 'cette tristesse sans larmes', il évoque les effets de 'la broyeuse' qui vous ronge le ventre.
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"Personne n'est à l'abri de la dépression mais grâce à la médecine, à l'amour et à la volonté, on peut en sortir : tel est le message délivré par Philippe Labro dans 'Tomber sept fois, se relever huit'. L'auteur relate son incontrôlable glissade dans la dépression et sa longue traversée du tunnel avant la lente et progressive remontée vers la vie et vers les autres. C'est un récit évidemment très narcissique, le déprimé étant 'fondamentalement un égoïste, autocentré' qui 'ne s'intéresse qu'à sa maladie' et 'ne parle que de lui'. Mais le ton est juste et sincère et l'écriture sobre et efficace. Labro sait alterner la description des signes cliniques de la maladie et l'expression des sentiments qui l'oppressent. Il égratigne au passage les faux amis pour mieux souligner l'importance des affections vraies et distribue des conseils avisés et bien sentis. On touche du doigt la souffrance du malade et de ceux qui l'entourent.
Il paraît que la dépression touche une personne sur cinq, ce qui, avec les proches, finit par concerner pas mal de monde. Ceux-là apprendront probablement beaucoup du récit de Labro qui fait peut-être ainsi oeuvre de salubrité publique. Les autres (ceux que la dépression n'a encore touchés ni de près, ni de loin) n'y verront peut-être qu'une confession autobiographique de plus dans la somme de littérature-réalité qui nous est proposée. Mais nul ne pourra dénier à ce livre son authenticité, son humilité et la belle leçon de courage et d'espoir qu'il propose."
Dominique Beaumont
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en fait, une personne sur cinq touchée çà se comprend mieux si l'on s'intéresse à une règle mathématique qui veut que tout le monde n'est pas touché systématiquement mais que tout le monde passe par une "période critique" donc période à risque... lors de chaque année septennale de sa vie : cela fait quand même pas mal...
si nous atteignons 80 ans nous avons derrière nous les périodes critiques septennales de l'enfance (7 ans), celle de l'adolescence (14 ans), celle de la majorité (21 ans) et ensuite toutes celles de l'âge adulte (28, 35, 42, 49, 56, 63, 70 et 77 ans...) il y a même des drames septennaux à 84 ans et 91 ans...
Sigmund Freud
Il est intéressant de mettre côte à côte les données (Wikipedia) concernant la vie de Freud... et ses cycles septennaux :
En 1877, il abrège son nom en Sigmund Freud 1877 (21 ans)
Déroulement des travaux de Freud :
Première phase (1883-1893) : de l'hypnose à la méthode cathartique (1883 = dans sa 28ème année)
Deuxième phase (1893-1905) : l'invention de la psychanalyse (il a eu 35 ans en 1891)
Troisième phase (1905-1920) : l'institution psychanalytique (il a 49 ans en 1905)
Quatrième phase (1920-1939) : extension de la psychanalyse (il a 64 ans en 1920)
Et il décède en 1939 dans sa 84ème année... (83 ans et 5 mois environ)
(RAS pour sa situation biorythmique au jour du décès)
=-=-=-=-----
ce qui est intéressant aussi, c'est que Freud soignait apparemment des malades... de dépressions septennales ou autres maux liés à la période critique septennale... sans le savoir, bien entendu... :
Emma Eckstein (1865 - 1924) was an early patient of Sigmund Freud who underwent disastrous nasal surgery, undertaken by Freud's friend and confidant, Wilhelm Fliess. She came from a prominent socialist family and was active in the Viennese women's movement.
When she was 27, she came to Freud seeking treatment for vague symptoms including stomach ailments and slight depression related to menstruation. Freud diagnosed Eckstein as suffering from trauma, secondary to childhood sexual abuse
>>>>
------------------
Bertha Pappenheim (1856 - 1936 ) est une femme militante, connue par les psychanalystes sous le pseudonyme de Anna O.
Psychanalyse
Anna O. est le premier cas d'hystérie exposé dans Études sur l'hystérie, par Sigmund Freud et Joseph Breuer.
Freud ne la suivit pas lui-même ; elle fut une patiente de Breuer qui influença beaucoup la pensée freudienne. Anna O. appelait les séances ramonage de cheminée et fut surtout l'inventrice du terme talking cure.
En effet, Anna O. souffrait de :
- depression nerveuse
- insomnie
- mutisme
- labilité de l'humeur
- hydrophobie
- cécité partielle
- paralysie du bras droit
- oublie de sa langue maternelle (l'autrichien)
- hallucinations de serpents
27 ans aussi si mes renseignements sont bons...
----------------
===========
Emmy von N. Fanny Moser... avait 41 ans et donc était entrée dans sa 42ème année.
------------------
Marie Bonaparte (2 juillet 1882 - 21 septembre 1962 à Saint Tropez), princesse d'Empire et écrivain est une pionnière de la psychanalyse en France.
a découvert son clitoris, la psychanalyse et est tombée sur le divan de Freud à l'occasion de sa période critique septennale des 42 ans
(voir wikipédia)
===========================
édit 25/12/2011
on peut aussi mettre en parallèle ses travaux et ses périodes critiques, en notant au passage que sujets et travaux sont plus "florissants" dans ces moments-là... (je tiens compte de l'année critique mais aussi de l'année précédente et de celle qui suit) cela fait trois années en tout. il reste alors quatre années non critiques qui semblent moins présentes dans les publications...
mais ce n'est pas sûr et ce serait à voir de plus près par des connaisseurs...
Sigmund Freud (1856 - 1939)
1856-1863-1870-1877
1884 - 28 ans
1891 - 35
1898 - 42
1905 - 49
1912 - 56
1919 - 63
1926 - 70
1933 - 77
1939 - 83
(Wikipédia :)
La première topique
Lettres à Wilhelm Fliess 1887-1904, PUF, 2006 (ISBN 2130549950)
L'Interprétation des rêves (1900), PUF, 2005 (ISBN 213052950X)
Sur le rêve (1900), Gallimard, coll. « Folio », 1990 (ISBN 2070325547)
Psychopathologie de la vie quotidienne (1904), Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2004 (ISBN 2228894028)
Trois essais sur la théorie sexuelle (1905), Gallimard, coll. « Folio », 1989 (ISBN 2070325393); PUF - Quadrige 2010, (ISBN 2130579531)
Le mot d'esprit et sa relation à l'inconscient (1905), Gallimard, Folio, 1992 (ISBN 978-2070327218)
Le délire et les rêves dans la Gradiva de Wilhelm Jensen (1906), PUF, 2007 (ISBN 2130548253)
La psychanalyse et l’établissement des faits en matière judiciaire par une méthode diagnostique (1906)
Sigmund Freud, Analyse d'une phobie d'un petit garçon de cinq ans : Le Petit Hans', Presses Universitaires de France (1re éd. 1909) (ISBN 2-13-051687-4)
Dora. Fragment d'une analyse d'hystérie (1905), Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2010 (ISBN 2228904961)
L'Homme aux rats : Journal d'une analyse (1909), PUF, 2000 (ISBN 2130511228)
Cinq leçons sur la psychanalyse (1909), Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2004 (ISBN 2228894087)
À propos de la psychanalyse dite « sauvage » (1910) réédité sous le titre : La question de l'analyse profane, Gallimard-poche, 1998 (ISBN 2-07-040490-0)
Un souvenir d'enfance de Léonard de Vinci (1910), Gallimard, Folio Bilingue, 2003 (ISBN 2070706656)
Le Président Schreber (1911), PUF, 2004 (ISBN 2130548288)
Cinq Psychanalyses (Dora, L'homme aux Loup, L'homme aux rats, le petit Hans, Président Schreber), traduction révisée, PUF Quadrige, 2008 (ISBN 2-13-056198-5)
Le Maniement de l'interprétation des rêves en psychanalyse, (1911) in La technique psychanalytique, Presses Universitaires de France, 2007, coll. « Quadrige Grands textes » (ISBN 2-13-056314-7)
La Dynamique du transfert (1912) in La technique psychanalytique, Presses Universitaires de France, 2007, coll. « Quadrige Grands textes » (ISBN 2-13-056314-7)
Conseils aux médecins sur le traitement psychanalytique (1912) in La technique psychanalytique, Presses Universitaires de France, 2007, coll. « Quadrige Grands textes » (ISBN 2-13-056314-7)
Totem et Tabou (1913), Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2004 (ISBN 2228894079)
......................
La seconde topique
Au-delà du principe de plaisir (1920) in Essais de psychanalyse, Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2004 (ISBN 2-228-89399-4)
Psychologie des masses et analyse du moi (1921), Ed.: PUF - Quadrige Grands textes, 2010, ISBN 2-13-058500-0
De quelques mécanismes névrotiques dans la jalousie, la paranoïa et l'homosexualité3, 4, 5 (1922)
Le Moi et le Ça (1923), Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2010
Le problème économique du masochisme (1924) in Œuvres complètes, tome XVII, 1923-1925, PUF (ISBN 2-13-044302-8)
Quelques conséquences psychiques de la différence anatomique entre les sexes (1925)
La négation (1925)
Inhibition, symptôme et angoisse (1926), PUF, 2005 (ISBN 2-13-054980-2)
L'avenir d'une illusion (1927), PUF, 2004 (ISBN 2-13-054702-8)
La question de l'analyse profane (1927), Folio - Gallimard, 1998 (ISBN 2-07-040490-0)
Malaise dans la civilisation (1929) in Le Malaise dans la Culture, PUF, 2004 (ISBN 2-13-054701-X)
Nouvelles conférences sur la psychanalyse (1932) in Nouvelles conférences d'introduction à la psychanalyse, Gallimard, 1989 (ISBN 2-07-032518-0)
Pourquoi la guerre ? (1933) en collaboration avec Albert Einstein, Rivages, 2005 (ISBN 2-7436-1364-5), en ligne[PDF]
Abrégé de psychanalyse (1938), PUF, 2001 (ISBN 2-13-044442-3)
Analyse terminée et analyse interminable (1937) in Oeuvres complètes - psychanalyse : volume 20 : 1937-1939, (OCF) Ed.: Presses Universitaires de France, 2010, (ISBN 2130565948)
Résultats, idées, problèmes, tome I (1890-1920), PUF, 1987 (ISBN 2-13-038595-8) ou in Oeuvres complètes - psychanalyse : volume 20 : 1937-1939, (OCF) Ed.: Presses Universitaires de France, 2010, (ISBN 2130565948)
Résultats, idées, problèmes, tome II (1921-1938), PUF, 2001 (ISBN 2-13-039973-8) ou in Oeuvres complètes - psychanalyse : volume 20 : 1937-1939, (OCF) Ed.: Presses Universitaires de France, 2010, (ISBN 2130565948)
Un mot à propos de l’antisémitisme (1938) in Oeuvres complètes - psychanalyse : volume 20 : 1937-1939, (OCF) Ed.: Presses Universitaires de France, 2010, (ISBN 2130565948)
Moïse et le monothéisme (1939) in L'homme Moïse et la religion monothéiste, Gallimard, 1993, (ISBN 2-07-032741-8) ou in Oeuvres complètes - psychanalyse : volume 20 : 1937-1939, (OCF) Ed.: Presses Universitaires de France, 2010, (ISBN 2130565948)
Mémoire, souvenirs, oublis, Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2010
En 1877, il abrège son nom en Sigmund Freud 1877 (21 ans)
Déroulement des travaux de Freud :
Première phase (1883-1893) : de l'hypnose à la méthode cathartique (1883 = dans sa 28ème année)
Deuxième phase (1893-1905) : l'invention de la psychanalyse (il a eu 35 ans en 1891)
Troisième phase (1905-1920) : l'institution psychanalytique (il a 49 ans en 1905)
Quatrième phase (1920-1939) : extension de la psychanalyse (il a 64 ans en 1920)
Et il décède en 1939 dans sa 84ème année... (83 ans et 5 mois environ)
(RAS pour sa situation biorythmique au jour du décès)
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ce qui est intéressant aussi, c'est que Freud soignait apparemment des malades... de dépressions septennales ou autres maux liés à la période critique septennale... sans le savoir, bien entendu... :
Emma Eckstein (1865 - 1924) was an early patient of Sigmund Freud who underwent disastrous nasal surgery, undertaken by Freud's friend and confidant, Wilhelm Fliess. She came from a prominent socialist family and was active in the Viennese women's movement.
When she was 27, she came to Freud seeking treatment for vague symptoms including stomach ailments and slight depression related to menstruation. Freud diagnosed Eckstein as suffering from trauma, secondary to childhood sexual abuse
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Bertha Pappenheim (1856 - 1936 ) est une femme militante, connue par les psychanalystes sous le pseudonyme de Anna O.
Psychanalyse
Anna O. est le premier cas d'hystérie exposé dans Études sur l'hystérie, par Sigmund Freud et Joseph Breuer.
Freud ne la suivit pas lui-même ; elle fut une patiente de Breuer qui influença beaucoup la pensée freudienne. Anna O. appelait les séances ramonage de cheminée et fut surtout l'inventrice du terme talking cure.
En effet, Anna O. souffrait de :
- depression nerveuse
- insomnie
- mutisme
- labilité de l'humeur
- hydrophobie
- cécité partielle
- paralysie du bras droit
- oublie de sa langue maternelle (l'autrichien)
- hallucinations de serpents
27 ans aussi si mes renseignements sont bons...
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Emmy von N. Fanny Moser... avait 41 ans et donc était entrée dans sa 42ème année.
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Marie Bonaparte (2 juillet 1882 - 21 septembre 1962 à Saint Tropez), princesse d'Empire et écrivain est une pionnière de la psychanalyse en France.
a découvert son clitoris, la psychanalyse et est tombée sur le divan de Freud à l'occasion de sa période critique septennale des 42 ans
(voir wikipédia)
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édit 25/12/2011
on peut aussi mettre en parallèle ses travaux et ses périodes critiques, en notant au passage que sujets et travaux sont plus "florissants" dans ces moments-là... (je tiens compte de l'année critique mais aussi de l'année précédente et de celle qui suit) cela fait trois années en tout. il reste alors quatre années non critiques qui semblent moins présentes dans les publications...
mais ce n'est pas sûr et ce serait à voir de plus près par des connaisseurs...
Sigmund Freud (1856 - 1939)
1856-1863-1870-1877
1884 - 28 ans
1891 - 35
1898 - 42
1905 - 49
1912 - 56
1919 - 63
1926 - 70
1933 - 77
1939 - 83
(Wikipédia :)
La première topique
Lettres à Wilhelm Fliess 1887-1904, PUF, 2006 (ISBN 2130549950)
L'Interprétation des rêves (1900), PUF, 2005 (ISBN 213052950X)
Sur le rêve (1900), Gallimard, coll. « Folio », 1990 (ISBN 2070325547)
Psychopathologie de la vie quotidienne (1904), Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2004 (ISBN 2228894028)
Trois essais sur la théorie sexuelle (1905), Gallimard, coll. « Folio », 1989 (ISBN 2070325393); PUF - Quadrige 2010, (ISBN 2130579531)
Le mot d'esprit et sa relation à l'inconscient (1905), Gallimard, Folio, 1992 (ISBN 978-2070327218)
Le délire et les rêves dans la Gradiva de Wilhelm Jensen (1906), PUF, 2007 (ISBN 2130548253)
La psychanalyse et l’établissement des faits en matière judiciaire par une méthode diagnostique (1906)
Sigmund Freud, Analyse d'une phobie d'un petit garçon de cinq ans : Le Petit Hans', Presses Universitaires de France (1re éd. 1909) (ISBN 2-13-051687-4)
Dora. Fragment d'une analyse d'hystérie (1905), Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2010 (ISBN 2228904961)
L'Homme aux rats : Journal d'une analyse (1909), PUF, 2000 (ISBN 2130511228)
Cinq leçons sur la psychanalyse (1909), Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2004 (ISBN 2228894087)
À propos de la psychanalyse dite « sauvage » (1910) réédité sous le titre : La question de l'analyse profane, Gallimard-poche, 1998 (ISBN 2-07-040490-0)
Un souvenir d'enfance de Léonard de Vinci (1910), Gallimard, Folio Bilingue, 2003 (ISBN 2070706656)
Le Président Schreber (1911), PUF, 2004 (ISBN 2130548288)
Cinq Psychanalyses (Dora, L'homme aux Loup, L'homme aux rats, le petit Hans, Président Schreber), traduction révisée, PUF Quadrige, 2008 (ISBN 2-13-056198-5)
Le Maniement de l'interprétation des rêves en psychanalyse, (1911) in La technique psychanalytique, Presses Universitaires de France, 2007, coll. « Quadrige Grands textes » (ISBN 2-13-056314-7)
La Dynamique du transfert (1912) in La technique psychanalytique, Presses Universitaires de France, 2007, coll. « Quadrige Grands textes » (ISBN 2-13-056314-7)
Conseils aux médecins sur le traitement psychanalytique (1912) in La technique psychanalytique, Presses Universitaires de France, 2007, coll. « Quadrige Grands textes » (ISBN 2-13-056314-7)
Totem et Tabou (1913), Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2004 (ISBN 2228894079)
......................
La seconde topique
Au-delà du principe de plaisir (1920) in Essais de psychanalyse, Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2004 (ISBN 2-228-89399-4)
Psychologie des masses et analyse du moi (1921), Ed.: PUF - Quadrige Grands textes, 2010, ISBN 2-13-058500-0
De quelques mécanismes névrotiques dans la jalousie, la paranoïa et l'homosexualité3, 4, 5 (1922)
Le Moi et le Ça (1923), Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2010
Le problème économique du masochisme (1924) in Œuvres complètes, tome XVII, 1923-1925, PUF (ISBN 2-13-044302-8)
Quelques conséquences psychiques de la différence anatomique entre les sexes (1925)
La négation (1925)
Inhibition, symptôme et angoisse (1926), PUF, 2005 (ISBN 2-13-054980-2)
L'avenir d'une illusion (1927), PUF, 2004 (ISBN 2-13-054702-8)
La question de l'analyse profane (1927), Folio - Gallimard, 1998 (ISBN 2-07-040490-0)
Malaise dans la civilisation (1929) in Le Malaise dans la Culture, PUF, 2004 (ISBN 2-13-054701-X)
Nouvelles conférences sur la psychanalyse (1932) in Nouvelles conférences d'introduction à la psychanalyse, Gallimard, 1989 (ISBN 2-07-032518-0)
Pourquoi la guerre ? (1933) en collaboration avec Albert Einstein, Rivages, 2005 (ISBN 2-7436-1364-5), en ligne[PDF]
Abrégé de psychanalyse (1938), PUF, 2001 (ISBN 2-13-044442-3)
Analyse terminée et analyse interminable (1937) in Oeuvres complètes - psychanalyse : volume 20 : 1937-1939, (OCF) Ed.: Presses Universitaires de France, 2010, (ISBN 2130565948)
Résultats, idées, problèmes, tome I (1890-1920), PUF, 1987 (ISBN 2-13-038595-8) ou in Oeuvres complètes - psychanalyse : volume 20 : 1937-1939, (OCF) Ed.: Presses Universitaires de France, 2010, (ISBN 2130565948)
Résultats, idées, problèmes, tome II (1921-1938), PUF, 2001 (ISBN 2-13-039973-8) ou in Oeuvres complètes - psychanalyse : volume 20 : 1937-1939, (OCF) Ed.: Presses Universitaires de France, 2010, (ISBN 2130565948)
Un mot à propos de l’antisémitisme (1938) in Oeuvres complètes - psychanalyse : volume 20 : 1937-1939, (OCF) Ed.: Presses Universitaires de France, 2010, (ISBN 2130565948)
Moïse et le monothéisme (1939) in L'homme Moïse et la religion monothéiste, Gallimard, 1993, (ISBN 2-07-032741-8) ou in Oeuvres complètes - psychanalyse : volume 20 : 1937-1939, (OCF) Ed.: Presses Universitaires de France, 2010, (ISBN 2130565948)
Mémoire, souvenirs, oublis, Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2010
jeudi 2 juillet 2009
Isabelle Eberhardt
wikipédia :
Isabelle Eberhardt (17 février 1877 à Genève - 21 octobre 1904 à Aïn-Sefra, Algérie) est un écrivain suisse d'origine russe, et française de par son mariage.
Le 21 octobre 1904, à Aïn-Sefra , l'oued se transforme en torrent furieux et la ville basse, où elle résidait seulement depuis la veille, est en partie submergée. Slimane est retrouvé vivant, mais Isabelle, affaiblie par le paludisme, n'avait pas pu fuir. Elle repose dans le petit cimetière de El Oued.
et en allemand çà donne :
Während sieben Jahren bereiste sie den Maghreb, also Algerien, Tunesien und Marokko. Über ihre Reisen schrieb sie Romane, Erzählungen und Reiseberichte. Sie starb 27-jährig in der Sahara, als ihre Behausung in einem ausgetrockneten Flussbett nach einem Wolkenbruch von einer Flutwelle fortgerissen wurde.
===================
ses voyages à travers le Maghreb ont duré sept années, démarrant lors de la période critique des 21 ans.
sa mort coïncide bizarrement avec l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans (elle a 27 ans et 8 mois) et la veille - donc l'entrée çà dépend de l'heure - d'un jour doublement critique physique et émotionnel (E1 et P12)...
octobre 1904
Me 19
Je 20 I(9)
Ve 21
Sa 22 P(12) E(1)
Di 23
Isabelle Eberhardt (17 février 1877 à Genève - 21 octobre 1904 à Aïn-Sefra, Algérie) est un écrivain suisse d'origine russe, et française de par son mariage.
Le 21 octobre 1904, à Aïn-Sefra , l'oued se transforme en torrent furieux et la ville basse, où elle résidait seulement depuis la veille, est en partie submergée. Slimane est retrouvé vivant, mais Isabelle, affaiblie par le paludisme, n'avait pas pu fuir. Elle repose dans le petit cimetière de El Oued.
et en allemand çà donne :
Während sieben Jahren bereiste sie den Maghreb, also Algerien, Tunesien und Marokko. Über ihre Reisen schrieb sie Romane, Erzählungen und Reiseberichte. Sie starb 27-jährig in der Sahara, als ihre Behausung in einem ausgetrockneten Flussbett nach einem Wolkenbruch von einer Flutwelle fortgerissen wurde.
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ses voyages à travers le Maghreb ont duré sept années, démarrant lors de la période critique des 21 ans.
sa mort coïncide bizarrement avec l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans (elle a 27 ans et 8 mois) et la veille - donc l'entrée çà dépend de l'heure - d'un jour doublement critique physique et émotionnel (E1 et P12)...
octobre 1904
Me 19
Je 20 I(9)
Ve 21
Sa 22 P(12) E(1)
Di 23
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