Wikipédia :
La barre de chocolat Milky Way a été créée en 1924 par Frank C. Mars et fut la première confiserie en barre remplie. Son goût était inspiré du milk-shake au chocolat-malt très populaire à l'époque.
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Franklin Clarence Mars (24 septembre 1882 – 8 avril 1934) est le fondateur du groupe américain Mars Incorporated.
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Milky Way, l'ancêtre de notre Mars actuel semble donc être une bonne idée septennale de Frank C. Mars, qui avait alors 42 ans...
ses trois tentatives précédentes de créer une confiserie se sont terminées par la faillite : la quatrième fut la bonne...
Franklin C. Mars ne devint apparemment pas bien vieux puisqu'il décède à 51 ans et 6 mois (année critique physique P6) son jour critique émotionnel E8...
vendredi 31 décembre 2010
bonne nuit les petits...
Wikipédia :
Bonne nuit les petits est une série télévisée française en noir et blanc, créée par Claude Laydu et diffusée à partir du 12 décembre 1962 sur la première chaîne de l'ORTF. 568 épisodes de 5 minutes et 5 émissions spéciales ont été réalisés entre 1962 et 1973.
....................
Claude Laydu (né le 10 mars 1927 à Bruxelles) est l'auteur et producteur de la série télévisée Bonne nuit les petits.
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c'est une bonne idée septennale de ses 35 ans :-)
Bonne nuit les petits est une série télévisée française en noir et blanc, créée par Claude Laydu et diffusée à partir du 12 décembre 1962 sur la première chaîne de l'ORTF. 568 épisodes de 5 minutes et 5 émissions spéciales ont été réalisés entre 1962 et 1973.
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Claude Laydu (né le 10 mars 1927 à Bruxelles) est l'auteur et producteur de la série télévisée Bonne nuit les petits.
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c'est une bonne idée septennale de ses 35 ans :-)
Arthur Rimbaud
Wikipédia :
Jean Nicolas Arthur Rimbaud est un poète français, né le 20 octobre 1854 à Charleville, mort le 10 novembre 1891 à Marseille.
...............
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c'est apparemment l'arrivée de la période critique septennale des 21 ans qui lui fit cesser de faire de la poésie... et partir en vadrouille...
il décède son jour critique physique P12.
ses périodes critiques septennales :
1854/55 naissance
1861/62
1868/69 14 ans
1875/76 21 ans
1882/83 28 ans
1889/90 35 ans
il est par ailleurs intéressant de comparer ses écrits à sa situation cyclique (souvent des jours critiques ou autour du jour critique émotionnel) car cela permet d'avoir une idée de l'état de la personne à ce moment-là, p.ex. (trouvé dans Wikipédia car autrement je ne connais rien de Rimbaud) :
- Rimbaud en vient à critiquer fortement la poésie des romantiques et des Parnassiens, et dans sa lettre à Izambard du 13 mai 1871, (P1 lendemain de E1) il affirme son rejet de la « poésie subjective ».
- Le 10 juin 1871, Rimbaud écrira à Demeny : « … brûlez tous les vers que je fus assez sot pour vous donner lors de mon séjour à Douai ». (lendemain de E1)
- Après la satisfaction des débuts, l’humeur devient maussade. Rimbaud s'ennuie. Il l’écrit à sa famille dans une lettre datée du 4 août 1888 : « Je m'ennuie beaucoup, toujours ; […] n’est-ce pas misérable, cette existence sans famille, sans occupation intellectuelle […] ? » (i 1 lendemain de E22)
- Il est seulement vrai qu'il demande à Ilg, dans une lettre datée du 20 décembre 1889, « deux garçons esclaves pour [son] service personnel ». (triple critique : P12 - E22 - i9)
- "En 1891 dans une lettre écrite le 20 février, Arthur demande à sa mère de lui faire parvenir un bas pour varices car il en souffre à la jambe droite depuis plusieurs semaines" (E1 et lendemain de P1)
Jean Nicolas Arthur Rimbaud est un poète français, né le 20 octobre 1854 à Charleville, mort le 10 novembre 1891 à Marseille.
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c'est apparemment l'arrivée de la période critique septennale des 21 ans qui lui fit cesser de faire de la poésie... et partir en vadrouille...
il décède son jour critique physique P12.
ses périodes critiques septennales :
1854/55 naissance
1861/62
1868/69 14 ans
1875/76 21 ans
1882/83 28 ans
1889/90 35 ans
il est par ailleurs intéressant de comparer ses écrits à sa situation cyclique (souvent des jours critiques ou autour du jour critique émotionnel) car cela permet d'avoir une idée de l'état de la personne à ce moment-là, p.ex. (trouvé dans Wikipédia car autrement je ne connais rien de Rimbaud) :
- Rimbaud en vient à critiquer fortement la poésie des romantiques et des Parnassiens, et dans sa lettre à Izambard du 13 mai 1871, (P1 lendemain de E1) il affirme son rejet de la « poésie subjective ».
- Le 10 juin 1871, Rimbaud écrira à Demeny : « … brûlez tous les vers que je fus assez sot pour vous donner lors de mon séjour à Douai ». (lendemain de E1)
- Après la satisfaction des débuts, l’humeur devient maussade. Rimbaud s'ennuie. Il l’écrit à sa famille dans une lettre datée du 4 août 1888 : « Je m'ennuie beaucoup, toujours ; […] n’est-ce pas misérable, cette existence sans famille, sans occupation intellectuelle […] ? » (i 1 lendemain de E22)
- Il est seulement vrai qu'il demande à Ilg, dans une lettre datée du 20 décembre 1889, « deux garçons esclaves pour [son] service personnel ». (triple critique : P12 - E22 - i9)
- "En 1891 dans une lettre écrite le 20 février, Arthur demande à sa mère de lui faire parvenir un bas pour varices car il en souffre à la jambe droite depuis plusieurs semaines" (E1 et lendemain de P1)
jeudi 30 décembre 2010
Thomas Savery
Wikipédia :
Thomas Savery (vers 1650 Shilstone, un manoir près de Modbury, Devon – 1715) est un mécanicien anglais, inventeur de différents procédés industriels lors de la Révolution financière britannique, puis constructeur de machines à vapeur.
En 1698, Thomas Savery dépose un brevet sur une pompe destinée à l'exploitation minière, fonctionnant à la vapeur, directement inspirée des travaux de Edward Somerset : il s'agit de la première machine à vapeur qui ait réellement fonctionné.
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en 1698 Thomas Savery entre ou se trouve dans sa période critique septennale des 49 ans.
Thomas Savery (vers 1650 Shilstone, un manoir près de Modbury, Devon – 1715) est un mécanicien anglais, inventeur de différents procédés industriels lors de la Révolution financière britannique, puis constructeur de machines à vapeur.
En 1698, Thomas Savery dépose un brevet sur une pompe destinée à l'exploitation minière, fonctionnant à la vapeur, directement inspirée des travaux de Edward Somerset : il s'agit de la première machine à vapeur qui ait réellement fonctionné.
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en 1698 Thomas Savery entre ou se trouve dans sa période critique septennale des 49 ans.
Thomas Newcomen
Wikipédia :
Thomas Newcomen est un mécanicien anglais, né le 24 février 1663 à Dartmouth (Devon, Angleterre), décédé le 5 août 1729.
La région du Devon était riche en étain et de nombreuses mines y étaient exploitées. L’évacuation des eaux d’infiltration constituait alors un problème majeur, et l’inondation des puits empêchait l’extraction du minerai à partir d’une certaine profondeur. L’apport de Newcomen fut de mettre au point une machine à vapeur utilisable pour l’exhaure.
................
Une première « machine à foyer »
Newcomen développa sa machine à vapeur avec son associé Thomas Savery en 1712. Savery avait proposé une « machine à foyer » fonctionnant comme une sorte de thermosiphon. Le dispositif comprenait un réservoir vide relié par un tuyau à un puisard au fond de la mine. De la vapeur à basse pression était admise dans le réservoir, puis condensée (par de l’eau froide pulvérisée) pour produire un vide aspirant l’eau du puisard. L’eau retenue dans le réservoir était évacuée, avant de répéter le processus. Cette « machine à foyer » n’était pas très efficace, et ne pouvait fonctionner qu’en dessous d’une faible profondeur.
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en 1712 Thomas Newcomen avait 49 ans lorsqu'il développa sa machine à vapeur...
Thomas Newcomen est un mécanicien anglais, né le 24 février 1663 à Dartmouth (Devon, Angleterre), décédé le 5 août 1729.
La région du Devon était riche en étain et de nombreuses mines y étaient exploitées. L’évacuation des eaux d’infiltration constituait alors un problème majeur, et l’inondation des puits empêchait l’extraction du minerai à partir d’une certaine profondeur. L’apport de Newcomen fut de mettre au point une machine à vapeur utilisable pour l’exhaure.
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Une première « machine à foyer »
Newcomen développa sa machine à vapeur avec son associé Thomas Savery en 1712. Savery avait proposé une « machine à foyer » fonctionnant comme une sorte de thermosiphon. Le dispositif comprenait un réservoir vide relié par un tuyau à un puisard au fond de la mine. De la vapeur à basse pression était admise dans le réservoir, puis condensée (par de l’eau froide pulvérisée) pour produire un vide aspirant l’eau du puisard. L’eau retenue dans le réservoir était évacuée, avant de répéter le processus. Cette « machine à foyer » n’était pas très efficace, et ne pouvait fonctionner qu’en dessous d’une faible profondeur.
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en 1712 Thomas Newcomen avait 49 ans lorsqu'il développa sa machine à vapeur...
Thelma Todd
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Death
On the morning of Monday, December 16, 1935, Thelma Todd was found dead in her car inside the garage of Jewel Carmen, a former actress and former wife of Todd's lover and business partner, Roland West. Carmen's house was approximately a block from the topmost side of Todd's restaurant. Her death was determined to have been caused by carbon monoxide poisoning. Todd had a wide circle of friends and associates as well as a busy social life; police investigations revealed that she had spent the last night of her life at the Trocadero, a popular Hollywood restaurant, at a party hosted by entertainer Stanley Lupino and his actress daughter, Ida. At the restaurant, she had had a brief but unpleasant exchange with her ex-husband, Pat DeCicco. However, her friends stated that she was in good spirits, and were aware of nothing unusual in her life that could suggest a reason for committing suicide.
The detectives of the LAPD concluded at first that Todd's death was accidental, the result of her either warming up the car to drive it or using the heater to keep herself warm. Other evidence, however, pointed to foul play. The Grand Jury ruled her death as suicide. Since her body was cremated, a second, more thorough autopsy could not be carried out. It was believed that she was the target of extortion, but refused to pay. It is also possible that she was locked in the garage by her assailant after she started the car. Blood from a wound was found on her face and dress, leading some to believe that she was knocked unconscious and placed in the car so that she would succumb to carbon monoxide poisoning.
Todd's death certificate states her cause of death as accidental carbon monoxide poisoning. She was cremated; after her mother's death, her remains were placed in her mother's casket and buried in Bellevue Cemetery in her home town of Lawrence, Massachusetts.
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sa situation le jour du décès :
29 ans et 5 mois.
16 décembre 1935 (29/07/1906)
Je 12
Ve 13 P(12)
Sa 14
Di 15 E(8)
Lu 16
Ma 17 I(9)
Me 18
le scénario du suicide peut coller, puisque le jour critique émotionnel y est...(le jour critique émotionnel est typiquement le "jour du suicide" : on le trouve très fréquemment le jour même ou à côté...)
(E8 le dimanche jusqu'en soirée - Thelma Todd étant une native du dimanche)
elle vient aussi de passer par sa période critique septennale des 28 ans, autre "élément à risque"...
cependant une coïncidence avec un accident et une intoxication ne peut tout à fait être écartée...
il semblerait aussi qu'elle s'était disputée avec son ex et effectivement si la date de naissance que je lui ai trouvée est bonne, la situation n'était pas rose pour lui ou pour les deux ce jour-là puisque lui aussi est un natif du dimanche :
décembre 1935 (14/02/1909)
Ve 13 P(1)
Sa 14
Di 15 E(1)
Lu 16 I(1)
Ma 17
(notre jour critique émotionnel est notre jour naturel à risque de colère donc de dispute... mais quand-même pas de meurtre sauf dans l'extrême, effectivement. on trouve fréquemment le jour critique émotionnel comme jour de passage à l'acte chez les meurtriuers du fait des tensions présentes à ce moment-là)
mardi 28 décembre 2010
Cecil Aldin
Wikipédia :
Cecil Charles Windsor Aldin (28 avril 1870 Slough - 6 janvier 1935 Londres) est un peintre animalier et illustrateur humoristique anglais.
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Il fut à l’origine de la renaissance de l’art animalier en Grande-Bretagne par ses peintures de chiens et d’animaux de chasse.
En 1898, le 1er avril il fonda avec d’autres dessinateurs comme Dudley Hardy, Phil May, Walter Churcher, le London Sketch Club se séparant de l' Artist's Society fondée en 1830 et compta parmi ses membres notamment John Tenniel et Arthur Rackham. La même année il fut reçut membre de la Royal Society of British Artists
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Jules Renard
Wikipédia :
Pierre-Jules Renard, dit Jules Renard, né à Châlons-du-Maine (Mayenne) le 22 février 1864 et mort à Paris le 22 mai 1910, est un écrivain français.
................
Il meurt d'artériosclérose à l'âge de 46 ans.
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décédé "d'artériosclérose" (?) à l'arrivée de son jour critique émotionnel E8 en année critique physique P1 qu'est la 47ème année de vie.
Pierre-Jules Renard, dit Jules Renard, né à Châlons-du-Maine (Mayenne) le 22 février 1864 et mort à Paris le 22 mai 1910, est un écrivain français.
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Il meurt d'artériosclérose à l'âge de 46 ans.
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décédé "d'artériosclérose" (?) à l'arrivée de son jour critique émotionnel E8 en année critique physique P1 qu'est la 47ème année de vie.
Frances Farmer
Frances Farmer est une actrice américaine, née le 19 septembre 1913 à Seattle et morte le 1er août 1970. Elle est la fille de Ernest et Lillian Farmer. Elle a une sœur, Edith, un frère Wesley et une demi-sœur, Rita.
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L'enfermement
En 1942, elle est arrêtée pour conduite sans permis en état d’ivresse et désobéissance aux ordres dans une zone de restriction. Elle jettera le contenu d'un pot d'encre au visage du juge chargé de l'affaire, qui la fera condamner à 180 jours de détention et remise en liberté sous surveillance.
En 1943, elle est arrêtée pour violation de la liberté surveillée et agression. Les services sanitaires qualifient Frances de « malade mentale » et recommandent de la placer dans le sanatorium de La Crescenta. Elle y reçoit 90 traitements-choc à l’insuline (Cure de Sakel) et rentre au Western Washington State Hospital à Steilacoom d’où elle s’échappe.
Sa mère, apprenant les traitements que sa fille a subi, obtient que la garde de sa fille soit transférée de l'État vers elle. Mais en 1944, Frances agresse sa mère qui la fait à nouveau interner. Après un séjour de trois mois, et un traitement incluant des électrochocs, Frances est déclarée guérie.
En 1945 elle s’enfuit plusieurs fois de chez sa mère qui petit à petit la convainc de retourner à l’hôpital psychiatrique où elle restera les cinq années suivantes. Aurait commencé alors pour elle un véritable enfer : outre les conditions de vie barbares (criminels et malades mentaux entassés ensemble, nourriture pour les patients jetée à même le sol…) et des traitements continuels d’électrochocs, elle aurait été prostituée à des soldats locaux qui auraient abusé d’elle, la violant et la brutalisant.
Elle aurait aussi été utilisée comme cobaye pour tester des médicaments tels que Thorazine, Stelazine, Mellaril et Prolixin.
Ces éléments, parfois rapportés par Frances elle-même, sont évidemment à prendre avec précautions. AInsi, Jean Ratcliffe, auteur de l’ouvrage « choc » qui décrit les années d’enfermement de Frances Farmer, a admis avoir exagéré certains détails. Par ailleurs le cas de Frances a été utilisé par des responsables de la scientologie, dont on connait la haine pour la psychiatrie.
Par exemple, un de ses biographes, William Arnold, affirmait que Frances avait subi une lobotomie trans-orbitale, épisode que l'on retrouve dans le film Frances, mais admit, lors d'un procès, qu'il avait inventé l'épisode et l'essentiel du contenu de son livre. Des enquêtes indépendantes montrèrent d'ailleurs que les preuves apportées étaient fausses et que cette histoire entrait en contradiction avec les registres médicaux et tous les témoignages des médecins et infirmières de l'époque.
Le retour à la liberté
En 1950, Frances, relâchée, retourne à Seattle pour s’occuper de ses parents. Elle se marie avec Alfred Lobley en 1954. En 1957 elle travaille en tant qu’employée dans un hôtel de San Francisco.
En 1958, elle apparaît dans la série TV « This Is Your Life » et tourne son dernier film The Party Crashers. Elle se marie avec Lee Mikesell et apparaît dans une autre série télévisée Tongues of Angels avec James MacArthur.
Elle présente une émission de télévision d’après-midi, Frances Farmer Presents à Indianapolis jusqu’en 1964.
En 1968, elle commence à travailler sur son autobiographie avec l’aide de Lois Kibbee. Deux ans plus tard, elle meurt d’un cancer de l’œsophage, à l’âge de 56 ans.
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le parcours de Frances Farmer semble illustrer une "descente aux enfers" liée à une mauvaise interprétation, au départ, d'une dépression septennale survenue avec l'arrivée et l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans.
périodes critiques septennales :
1913 naissance
1920
1927
1934 21 ans
1941 28 ans - premiers problèmes puis enfermement
1948 35 ans - enfermement de 1945 à 1950 puis libération après la période critique.(1950 à 37 ans)
1955 42 ans
1962 49 ans
1969 54 ans
1970 56 ans décès lors de cette période critique d'un cancer septennal. (1)
(décès le lendemain d'un jour doublement critique physique P1 et émotionnel E22)
(1) un cancer septennal est un cancer apparaissant et sévissant lors d'une période critique septennale. ils sont fort fréquents alors que bizarrement on n'a jamais fait le lien.
dimanche 26 décembre 2010
Keith Hunter Jesperson
Wikipédia :
Keith Hunter Jesperson (born April 6, 1955) is a Canadian-born American serial killer known as the "Happy Face Killer" for the smiley face he drew on his many letters to the media and prosecutors. He had a violent and troubled childhood under a domineering, alcoholic father. Treated like an outcast by his own family and teased by other children for his large size at a young age, Jesperson was a lonely child who showed a propensity for torturing and killing animals. Despite consistently getting into trouble in his youth, including twice attempting to kill children who had crossed him, Jesperson graduated high school, secured a job as a truck driver, got married, and had three children. In 1990, after 15 years of marriage, Jesperson was divorced and saw his dream to become a Royal Canadian Mounted Policeman dashed following an injury. It was that year, after returning to truck driving, that Jesperson began to kill.
.....................
His first known victim was Taunja Bennett on January 23, 1990,
....................
=============
serial killer qui a démarré sa carrière par un premier meurtre à 34 ans et 10 mois (période critique septennale des 35 ans) le 23 janvier 1990 c'est à dire la veille de son jour critique émotionnel E1.
la période critique septennale est fréquemment présente lors du "démarrage" des tueurs : elle fait office de "déclencheur" de même que le jour critique émotionnel, parfois le jour critique physique.
Keith Hunter Jesperson (born April 6, 1955) is a Canadian-born American serial killer known as the "Happy Face Killer" for the smiley face he drew on his many letters to the media and prosecutors. He had a violent and troubled childhood under a domineering, alcoholic father. Treated like an outcast by his own family and teased by other children for his large size at a young age, Jesperson was a lonely child who showed a propensity for torturing and killing animals. Despite consistently getting into trouble in his youth, including twice attempting to kill children who had crossed him, Jesperson graduated high school, secured a job as a truck driver, got married, and had three children. In 1990, after 15 years of marriage, Jesperson was divorced and saw his dream to become a Royal Canadian Mounted Policeman dashed following an injury. It was that year, after returning to truck driving, that Jesperson began to kill.
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His first known victim was Taunja Bennett on January 23, 1990,
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serial killer qui a démarré sa carrière par un premier meurtre à 34 ans et 10 mois (période critique septennale des 35 ans) le 23 janvier 1990 c'est à dire la veille de son jour critique émotionnel E1.
la période critique septennale est fréquemment présente lors du "démarrage" des tueurs : elle fait office de "déclencheur" de même que le jour critique émotionnel, parfois le jour critique physique.
samedi 25 décembre 2010
Jésus
Wikipédia :
à 28 ans Jésus commence sa prédication (Sermon sur la montagne).
http://fr.wikipedia.org/wiki/28
================
Jésus fait partie des nombreux personnages qui ont commencé leurs prêches et leurs vocations à l'arrivée d'une période critique septennale.
je pense que cela est dû au phénomène de "métamorphose" et "d'ouverture" psychique qui s'opère à ce moment-là.
à 28 ans Jésus commence sa prédication (Sermon sur la montagne).
http://fr.wikipedia.org/wiki/28
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Jésus fait partie des nombreux personnages qui ont commencé leurs prêches et leurs vocations à l'arrivée d'une période critique septennale.
je pense que cela est dû au phénomène de "métamorphose" et "d'ouverture" psychique qui s'opère à ce moment-là.
jeudi 23 décembre 2010
Anouar el-Sadate
Wikipédia :
Anouar el-Sadate est un homme politique égyptien né le 25 décembre 1918 et mort le 6 octobre 1981. Il est président de la République arabe d'Égypte de 1970 à son assassinat en 1981. Il reçoit le prix Nobel de la paix en 1978, conjointement avec le Premier ministre israélien Menahem Begin, pour les accords de Camp David.
...............
Assassinat.
En septembre 1981, Sadate lança une offensive majeure contre les intellectuels et les activistes de tout le spectre idéologique, emprisonnant des communistes, des nasséristes, des féministes, des islamistes, des professeurs d'université, des journalistes et des membres de groupes d'étudiants. Il assigna également le patriarche copte orthodoxe Chénouda III à résidence, dans le Monastère Saint-Bishoy et emprisonna aussi un grand nombre de prêtres et évêques de son Église. Presque 1600 personnes furent arrêtées. Parallèlement, le soutien interne de Sadate disparaissait sous la pression à la fois d'une crise économique ainsi qu'en réaction à la violence de la répression des dissidents.
Le 6 octobre, un mois après la vague d'arrestation, Sadate fut assassiné durant une parade militaire au Caire par des membres de l'armée qui appartenaient à l'organisation du Jihad islamique égyptien.
Ils s'opposaient à la négociation entamée par Sadate avec Israel ainsi qu'à son usage de la force durant l'opération de septembre.
=================
"l'offensive majeure" de septembre 1981 qui a probablement conduit à l'assassinat de Sadate correspond au moment de l'entrée de Anouar el-Sadate dans sa période critique septennale des 63 ans : il a précisément 62 ans et 8 mois.
Anouar el-Sadate est un homme politique égyptien né le 25 décembre 1918 et mort le 6 octobre 1981. Il est président de la République arabe d'Égypte de 1970 à son assassinat en 1981. Il reçoit le prix Nobel de la paix en 1978, conjointement avec le Premier ministre israélien Menahem Begin, pour les accords de Camp David.
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Assassinat.
En septembre 1981, Sadate lança une offensive majeure contre les intellectuels et les activistes de tout le spectre idéologique, emprisonnant des communistes, des nasséristes, des féministes, des islamistes, des professeurs d'université, des journalistes et des membres de groupes d'étudiants. Il assigna également le patriarche copte orthodoxe Chénouda III à résidence, dans le Monastère Saint-Bishoy et emprisonna aussi un grand nombre de prêtres et évêques de son Église. Presque 1600 personnes furent arrêtées. Parallèlement, le soutien interne de Sadate disparaissait sous la pression à la fois d'une crise économique ainsi qu'en réaction à la violence de la répression des dissidents.
Le 6 octobre, un mois après la vague d'arrestation, Sadate fut assassiné durant une parade militaire au Caire par des membres de l'armée qui appartenaient à l'organisation du Jihad islamique égyptien.
Ils s'opposaient à la négociation entamée par Sadate avec Israel ainsi qu'à son usage de la force durant l'opération de septembre.
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"l'offensive majeure" de septembre 1981 qui a probablement conduit à l'assassinat de Sadate correspond au moment de l'entrée de Anouar el-Sadate dans sa période critique septennale des 63 ans : il a précisément 62 ans et 8 mois.
Marco Camenisch
Marco Camenisch (né le 21 janvier 1952 à Campocologno, Grisons) est un éco-terroriste anarchiste suisse. Il purge actuellement une peine de prison à Pfäffikon (Zürich) pour le meurtre d’un garde-frontière suisse.
.................
Le 13 novembre 1979, Camenisch place une charge de dynamite artisanale sur un pylône à haute tension de la société électrique Nordostschweizerische Kraftwerke (NOK) à Flaesch (Grisons). Sa tentative échoue plus ou moins : les dégâts sont évalués à CHF 21 500.- (14 000 €).
Le matin du 25 décembre 1979, aidé de son ami René Moser, il recommence en faisant sauter un pylône et les transformateurs de la centrale hydro-électrique Sarelli près de Bad Ragaz (Saint-Gall), propriété de la NOK. Le courant est interrompu et un feu se déclare. L’estimation atteint CHF 1 400 000.- (930 000 €).
Marco Camenisch et René Moser sont arrêtés le 8 janvier 1980 à Saint-Gall, avec « René H. », qui a participé au camouflage du matériel explosif.
Après 14 jours d’emprisonnement à Klosterhof (Saint-Gall), Camenisch est atteint d’une crise de nerf et doit être hospitalisé. Une fois ramené à Klosterhof, il tente de se suicider. Suite à ces événements et confrontés à d’autres témoins mineurs, René Moser reconnaît certains des faits.
...................
===========
le début de ses "activités" semble coïncider avec l'arrivée de la période critique septennale des 28 ans. (27 ans et 9 mois) présence également fréquente du jour critique émotionnel, lors de ses actes.
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Le 13 novembre 1979, Camenisch place une charge de dynamite artisanale sur un pylône à haute tension de la société électrique Nordostschweizerische Kraftwerke (NOK) à Flaesch (Grisons). Sa tentative échoue plus ou moins : les dégâts sont évalués à CHF 21 500.- (14 000 €).
Le matin du 25 décembre 1979, aidé de son ami René Moser, il recommence en faisant sauter un pylône et les transformateurs de la centrale hydro-électrique Sarelli près de Bad Ragaz (Saint-Gall), propriété de la NOK. Le courant est interrompu et un feu se déclare. L’estimation atteint CHF 1 400 000.- (930 000 €).
Marco Camenisch et René Moser sont arrêtés le 8 janvier 1980 à Saint-Gall, avec « René H. », qui a participé au camouflage du matériel explosif.
Après 14 jours d’emprisonnement à Klosterhof (Saint-Gall), Camenisch est atteint d’une crise de nerf et doit être hospitalisé. Une fois ramené à Klosterhof, il tente de se suicider. Suite à ces événements et confrontés à d’autres témoins mineurs, René Moser reconnaît certains des faits.
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le début de ses "activités" semble coïncider avec l'arrivée de la période critique septennale des 28 ans. (27 ans et 9 mois) présence également fréquente du jour critique émotionnel, lors de ses actes.
mercredi 22 décembre 2010
Evžen Plocek
Wikipédia :
Evžen Plocek (October 29, 1929, Jihlava – April 9, 1969, Jihlava) was a Czech man (reform communist) who committed suicide by self-immolation as a political protest.
Death
Evžen Plocek, was a toolmaker by trade, but by 1968 had become deputy director of the car-parts company Motorpal and a candidate to the extraordinary meeting of the Czech Communist Party (see Prague Spring). On Good Friday, 4 April 1969, a few months after the Warsaw Pact invasion of Czechoslovakia in August 1968, Plocek died after setting himself on fire in Main Square (now called Masarykovo nam.) in Jihlava, Czechoslovakia, in protest at what he saw as Soviet aggression. His was the third suicide by self-immolation after two other Czech students, Jan Palach and Jan Zajíc, who burned themselves to death in Prague on 16 January and on 25 February respectively. Just before his immolation he dropped a paper with the text: "Truth is revolutionary - wrote Antonio Gramsci" and "I am for a human face - I can't stand those without any feelings. Evžen". Evžen Plocek was taken to the Jihlava hospital, where he died on April 9. Only on that day did the local media announce that "somebody immolated himself and is in a critical condition".
In spite of a number of difficulties, the workers at Motorpal were able to hold a public funeral in Jihlava. Not a word of Evžen Plocek's self-immolation made it into the central press, however. [1] Today, there's a simple plaque on the ground near the place of Plocek's death.
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situation le 4 avril 1969 :
Avril 1969 (29/10/1929)
Ma 1 E(8)
Me 2
Je 3
Ve 4
Sa 5
Di 6 P(7) I(17)
Lu 7
Ma 8 E(15)
Me 9
Je 10
39 ans et 5 mois il s'est immolé le vendredi 4 donc en jour neutre.
Evžen Plocek (October 29, 1929, Jihlava – April 9, 1969, Jihlava) was a Czech man (reform communist) who committed suicide by self-immolation as a political protest.
Death
Evžen Plocek, was a toolmaker by trade, but by 1968 had become deputy director of the car-parts company Motorpal and a candidate to the extraordinary meeting of the Czech Communist Party (see Prague Spring). On Good Friday, 4 April 1969, a few months after the Warsaw Pact invasion of Czechoslovakia in August 1968, Plocek died after setting himself on fire in Main Square (now called Masarykovo nam.) in Jihlava, Czechoslovakia, in protest at what he saw as Soviet aggression. His was the third suicide by self-immolation after two other Czech students, Jan Palach and Jan Zajíc, who burned themselves to death in Prague on 16 January and on 25 February respectively. Just before his immolation he dropped a paper with the text: "Truth is revolutionary - wrote Antonio Gramsci" and "I am for a human face - I can't stand those without any feelings. Evžen". Evžen Plocek was taken to the Jihlava hospital, where he died on April 9. Only on that day did the local media announce that "somebody immolated himself and is in a critical condition".
In spite of a number of difficulties, the workers at Motorpal were able to hold a public funeral in Jihlava. Not a word of Evžen Plocek's self-immolation made it into the central press, however. [1] Today, there's a simple plaque on the ground near the place of Plocek's death.
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situation le 4 avril 1969 :
Avril 1969 (29/10/1929)
Ma 1 E(8)
Me 2
Je 3
Ve 4
Sa 5
Di 6 P(7) I(17)
Lu 7
Ma 8 E(15)
Me 9
Je 10
39 ans et 5 mois il s'est immolé le vendredi 4 donc en jour neutre.
Ryszard Siwiec
Ryszard Siwiec (7 mars 1909 - 12 septembre 1968) était un comptable, professeur et ancien soldat polonais. Il fut la première personne à s'immoler en protestation contre la « normalisation » qui suivit le Printemps de Prague en Tchécoslovaquie. Il s'immola à Varsovie, en plein milieu d'un festival national pour célébrer la récolte, le 8 septembre 1968, au Stade Dziesięciolecia. Il décéda de ses blessures quatre jours plus tard et son geste fut vu en direct par plus de 100.000 spectateurs, dont les dirigeants du pays et les diplomates étrangers qui avaient été invités pour le spectacle de propagande.
Il était père de 5 enfants et originaire de Przemyśl. Il avait préparé son action à l'avance, laissant des enregistrements audio pour exprimer son dégoût devant l'intervention des armées du Pacte de Varsovie et la participation des armées polonaises.
Son acte a pu être un déclencheur pour Jan Palach et Jan Zajíc, mais il est impossible de savoir si la police politique communiste a pu étouffer complètement l'événement. Selon la version officielle, il s'agissait uniquement du geste de quelqu'un « souffrant de maladie mentale ». Bien que son acte ait été enregistré par les caméras présentes au festival, les journaux n'en ont pas pas parlé et la chose a été largement connue en Tchécoslovaquie uniquement deux mois après la mort de Jan Palach, quand la nouvelle a été diffusée par Radio Free Europe.
Après la chute du communisme, le réalisateur polonais Maciej Drygas a contribué à élucider le geste de Siwiec, Usłyszcie mój krzyk (Entendez mon cri), sorti en 1991.
L'historien Petr Blazek écrit :
Ryszard Siwiec ne s’est pas immolé pendant le discours de Władysław Gomułka, premier secrétaire du Parti ouvrier unifié polonais, mais un instant après, au moment où les jeunes Polonais se sont mis à danser la Polonaise – leur danse nationale. C’est ainsi que son geste n’a pas été tout de suite compris comme un acte politique. Son incompréhension est due aussi au fait que Siwiec a été le premier Européen, du moins dans le bloc soviétique, qui ait eu recours à une forme de protestation aussi radicale.
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sa situation le 8 septembre 1968 :
septembre 1968 (7/03/1909)
Je 5
Ve 6
Sa 7
Di 8 P(1) E(8)
Lu 9
Ma 10
Me 11
c'est un jour doublement critique physique P1 et émotionnel E8.
il avait 59 ans et 6 mois.
Il était père de 5 enfants et originaire de Przemyśl. Il avait préparé son action à l'avance, laissant des enregistrements audio pour exprimer son dégoût devant l'intervention des armées du Pacte de Varsovie et la participation des armées polonaises.
Son acte a pu être un déclencheur pour Jan Palach et Jan Zajíc, mais il est impossible de savoir si la police politique communiste a pu étouffer complètement l'événement. Selon la version officielle, il s'agissait uniquement du geste de quelqu'un « souffrant de maladie mentale ». Bien que son acte ait été enregistré par les caméras présentes au festival, les journaux n'en ont pas pas parlé et la chose a été largement connue en Tchécoslovaquie uniquement deux mois après la mort de Jan Palach, quand la nouvelle a été diffusée par Radio Free Europe.
Après la chute du communisme, le réalisateur polonais Maciej Drygas a contribué à élucider le geste de Siwiec, Usłyszcie mój krzyk (Entendez mon cri), sorti en 1991.
L'historien Petr Blazek écrit :
Ryszard Siwiec ne s’est pas immolé pendant le discours de Władysław Gomułka, premier secrétaire du Parti ouvrier unifié polonais, mais un instant après, au moment où les jeunes Polonais se sont mis à danser la Polonaise – leur danse nationale. C’est ainsi que son geste n’a pas été tout de suite compris comme un acte politique. Son incompréhension est due aussi au fait que Siwiec a été le premier Européen, du moins dans le bloc soviétique, qui ait eu recours à une forme de protestation aussi radicale.
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sa situation le 8 septembre 1968 :
septembre 1968 (7/03/1909)
Je 5
Ve 6
Sa 7
Di 8 P(1) E(8)
Lu 9
Ma 10
Me 11
c'est un jour doublement critique physique P1 et émotionnel E8.
il avait 59 ans et 6 mois.
Jan Palach
Jan Palach, (11 août 1948 - 19 janvier 1969) est un étudiant tchécoslovaque en philosophie qui s'est immolé par le feu sur la place Venceslas à Prague le 16 janvier 1969 pour protester contre l'invasion de son pays par l'Union soviétique en août 1968.
................
Cette dernière avait pour but d'écraser les réformes d'Alexander Dubček. Étudiant à l'École supérieure d'économie de Prague puis à l'Université Charles, il est mort trois jours après son geste, des suites de ses brûlures extrêmement importantes. Jan Zajíc et Evžen Plocek, deux autres jeunes tchèques, suivirent l'exemple de Jan Palach respectivement le 25 février et le 9 avril de la même année.
quelques détails en allemand :
Ablauf der Handlung
Jan Palach stand am 16. Januar 1969 zwischen 15 und 16 Uhr bei der Treppe des Nationalmuseums, welches den Prager Wenzelsplatz gegen Südosten abschließt, legte dort am Rande des Brunnens seinen Mantel und seine Aktentasche ab, in der sich die Abschrift einer zuvor außerdem an seine Verwandten und eine Anzahl seiner Kommilitonen gesandten Nachricht befand, übergoss sich mit dem Inhalt eines Benzinkanisters, entzündete ein Streichholz, stand augenblicklich am ganzen Körper in Flammen und rannte auf den Wenzelsplatz hinaus.
Ein Fahrdienstleiter an der dortigen Straßenbahnhaltestelle sah Palach auf sich zukommen und warf seinen Mantel über ihn, noch während Palach ihn darum bat, mit seinem Mantel die Flammen zu ersticken. Danach fiel Palach auf der Straße zu Boden. Der Fahrdienstleiter begleitete ihn in dem umgehend eintreffenden Krankenwagen, in welchem Jan Palach, der bei Bewusstsein geblieben war, ihm mitteilte, dass die Entzündung seine eigene Tat gewesen sei. Palach erlitt hochgradige Verbrennungen an 85 % der Körperoberfläche. Sein Zustand wurde als sehr ernst bezeichnet.
Eine offizielle Veröffentlichung des Abschiedsbriefs Palachs fand nicht statt, aber in der Nacht auf den 20. Januar wurden Plakate an die Wände geklebt, die seinen Wortlaut enthielten:
"Daunser Land davor steht, der Hoffnungslosigkeit zu erliegen, haben wir uns dazu entschlossen, unserem Protest auf diese Weise Ausdruck zu verleihen, um die Menschen aufzurütteln. Unsere Gruppe ist aus Freiwilligen gebildet, die dazu bereit sind, sich für unser Anliegen selbst zu verbrennen. Die Ehre, das erste Los zu ziehen, ist mir zugefallen, damit erwarb ich das Recht, den ersten Brief zu schreiben und die erste Fackel zu entzünden.
Die Nachricht stellte ferner in Aussicht, dass „weitere Fackeln in Flammen aufgehen würden”, wenn nicht die Zensur wieder aufgehoben und die Verbreitung der Zprávy (Nachrichten), eines unter sowjetischer Kontrolle verfassten und in der DDR gedruckten Nachrichtenblatts, eingestellt werden würde. Über die Gruppe, der Jan Palach angehörte, ist jedoch nie Genaueres bekannt geworden.
Jan Palach erlag am 19. Januar 1969 seinen starken Verbrennungen. Am Tag davor teilte er einem Arzt mit, dass es seine Pflicht gewesen sei, so zu handeln, und dass er es nicht bereue. Er wiederholte, dass weitere Mitglieder seiner Gruppe vorhanden seien, die bereit seien, ebenso zu handeln wie er. Der Arzt sagte später, Palachs Verstand sei „klar und logisch” gewesen.
Jan Palach wurde von einer Psychologin der tschechoslowakischen Staatssicherheit verhört. Die Tonbänder dieses Verhörs sind bis heute erhalten geblieben. Auf die Frage „ob es (die Verbrennungen) weh tun würde“ antwortete er: „Genug“. Bis zu seinem Tod verweigerte er Schmerzmittel, um bei Bewusstsein zu bleiben.
Nach seinem Tod verlas der Anführer der um diese Zeit im Streik befindlichen Studenten, Lubomír Holeček, im Radio die Worte, die Palach ihm drei Stunden vor seinem Tod diktiert hatte:
„Meine Tat hat ihren Sinn erfüllt. Aber niemand sollte sie wiederholen. Die Studenten sollten ihr Leben schonen, damit sie ihr ganzes Leben lang unsere Ziele erfüllen können, damit sie lebendig zum Kampfe beitragen. Ich sage euch 'Auf Wiedersehen'. Vielleicht sehen wir uns einmal wieder.”
Einige Monate zuvor hatte sich am 8. September 1968 der Pole Ryszard Siwiec während einer öffentlichen Veranstaltung im Warschauer Stadion und in Anwesenheit von hunderttausend Menschen – ebenfalls aus Protest gegen die Niederschlagung des Prager Frühlings – selbst verbrannt. Vier Tage später erlag er im Krankenhaus seinen Verbrennungen. Es ist kaum zu belegen oder zu widerlegen, dass sich Jan Palach ihn zum Vorbild genommen hat, da die Behörden des kommunistischen Polen einen dichten Mantel des Schweigens über das Vorkommnis legten. Zum ersten Mal wurde die Tat Siwiec' zwei Monate nach Palachs Tod in Radio Free Europe öffentlich gemacht. Auch ein Zusammenhang mit dem Saigoner Mönch Thích Quảng Đức, der sich im Jahr 1963 aus Protest gegen den südvietnamesischen Präsidenten Ngô Đình Diệm selbst verbrannte, entzieht sich einem Nachweis.
=============
sa situation le 16 janvier 1969 :
janvier 1969 (11/08/1948)
Ma 14
Me 15 (E 15)
Je 16 (P 12)
Ve 17
Sa 18
c'est un jour critique physique P12, lendemain de jour critique émotionnel E15.
période critique septennale des 21 ans.
édit 16/07/2016 :
Jan Zajic (3 juillet 1950-25 février 1969) est un étudiant tchèque qui s'immola par le feu pour dénoncer la normalisation en Tchécoslovaquie.
==========
il a apparemment voulu imiter Jan Palach... au point qu'il est également suicidé le lendemain de son jour critique émotionnel : (bien sûr il ne le savait pas, mais le jour critique émotionnel - ou jour à côté - est fréquemment jour du suicide en raison des pulsions survenant à ce moment-là)
25 février 1969 (3/07/1950)
................
Cette dernière avait pour but d'écraser les réformes d'Alexander Dubček. Étudiant à l'École supérieure d'économie de Prague puis à l'Université Charles, il est mort trois jours après son geste, des suites de ses brûlures extrêmement importantes. Jan Zajíc et Evžen Plocek, deux autres jeunes tchèques, suivirent l'exemple de Jan Palach respectivement le 25 février et le 9 avril de la même année.
quelques détails en allemand :
Ablauf der Handlung
Jan Palach stand am 16. Januar 1969 zwischen 15 und 16 Uhr bei der Treppe des Nationalmuseums, welches den Prager Wenzelsplatz gegen Südosten abschließt, legte dort am Rande des Brunnens seinen Mantel und seine Aktentasche ab, in der sich die Abschrift einer zuvor außerdem an seine Verwandten und eine Anzahl seiner Kommilitonen gesandten Nachricht befand, übergoss sich mit dem Inhalt eines Benzinkanisters, entzündete ein Streichholz, stand augenblicklich am ganzen Körper in Flammen und rannte auf den Wenzelsplatz hinaus.
Ein Fahrdienstleiter an der dortigen Straßenbahnhaltestelle sah Palach auf sich zukommen und warf seinen Mantel über ihn, noch während Palach ihn darum bat, mit seinem Mantel die Flammen zu ersticken. Danach fiel Palach auf der Straße zu Boden. Der Fahrdienstleiter begleitete ihn in dem umgehend eintreffenden Krankenwagen, in welchem Jan Palach, der bei Bewusstsein geblieben war, ihm mitteilte, dass die Entzündung seine eigene Tat gewesen sei. Palach erlitt hochgradige Verbrennungen an 85 % der Körperoberfläche. Sein Zustand wurde als sehr ernst bezeichnet.
Eine offizielle Veröffentlichung des Abschiedsbriefs Palachs fand nicht statt, aber in der Nacht auf den 20. Januar wurden Plakate an die Wände geklebt, die seinen Wortlaut enthielten:
"Daunser Land davor steht, der Hoffnungslosigkeit zu erliegen, haben wir uns dazu entschlossen, unserem Protest auf diese Weise Ausdruck zu verleihen, um die Menschen aufzurütteln. Unsere Gruppe ist aus Freiwilligen gebildet, die dazu bereit sind, sich für unser Anliegen selbst zu verbrennen. Die Ehre, das erste Los zu ziehen, ist mir zugefallen, damit erwarb ich das Recht, den ersten Brief zu schreiben und die erste Fackel zu entzünden.
Die Nachricht stellte ferner in Aussicht, dass „weitere Fackeln in Flammen aufgehen würden”, wenn nicht die Zensur wieder aufgehoben und die Verbreitung der Zprávy (Nachrichten), eines unter sowjetischer Kontrolle verfassten und in der DDR gedruckten Nachrichtenblatts, eingestellt werden würde. Über die Gruppe, der Jan Palach angehörte, ist jedoch nie Genaueres bekannt geworden.
Jan Palach erlag am 19. Januar 1969 seinen starken Verbrennungen. Am Tag davor teilte er einem Arzt mit, dass es seine Pflicht gewesen sei, so zu handeln, und dass er es nicht bereue. Er wiederholte, dass weitere Mitglieder seiner Gruppe vorhanden seien, die bereit seien, ebenso zu handeln wie er. Der Arzt sagte später, Palachs Verstand sei „klar und logisch” gewesen.
Jan Palach wurde von einer Psychologin der tschechoslowakischen Staatssicherheit verhört. Die Tonbänder dieses Verhörs sind bis heute erhalten geblieben. Auf die Frage „ob es (die Verbrennungen) weh tun würde“ antwortete er: „Genug“. Bis zu seinem Tod verweigerte er Schmerzmittel, um bei Bewusstsein zu bleiben.
Nach seinem Tod verlas der Anführer der um diese Zeit im Streik befindlichen Studenten, Lubomír Holeček, im Radio die Worte, die Palach ihm drei Stunden vor seinem Tod diktiert hatte:
„Meine Tat hat ihren Sinn erfüllt. Aber niemand sollte sie wiederholen. Die Studenten sollten ihr Leben schonen, damit sie ihr ganzes Leben lang unsere Ziele erfüllen können, damit sie lebendig zum Kampfe beitragen. Ich sage euch 'Auf Wiedersehen'. Vielleicht sehen wir uns einmal wieder.”
Einige Monate zuvor hatte sich am 8. September 1968 der Pole Ryszard Siwiec während einer öffentlichen Veranstaltung im Warschauer Stadion und in Anwesenheit von hunderttausend Menschen – ebenfalls aus Protest gegen die Niederschlagung des Prager Frühlings – selbst verbrannt. Vier Tage später erlag er im Krankenhaus seinen Verbrennungen. Es ist kaum zu belegen oder zu widerlegen, dass sich Jan Palach ihn zum Vorbild genommen hat, da die Behörden des kommunistischen Polen einen dichten Mantel des Schweigens über das Vorkommnis legten. Zum ersten Mal wurde die Tat Siwiec' zwei Monate nach Palachs Tod in Radio Free Europe öffentlich gemacht. Auch ein Zusammenhang mit dem Saigoner Mönch Thích Quảng Đức, der sich im Jahr 1963 aus Protest gegen den südvietnamesischen Präsidenten Ngô Đình Diệm selbst verbrannte, entzieht sich einem Nachweis.
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sa situation le 16 janvier 1969 :
janvier 1969 (11/08/1948)
Ma 14
Me 15 (E 15)
Je 16 (P 12)
Ve 17
Sa 18
c'est un jour critique physique P12, lendemain de jour critique émotionnel E15.
période critique septennale des 21 ans.
édit 16/07/2016 :
Jan Zajic (3 juillet 1950-25 février 1969) est un étudiant tchèque qui s'immola par le feu pour dénoncer la normalisation en Tchécoslovaquie.
==========
il a apparemment voulu imiter Jan Palach... au point qu'il est également suicidé le lendemain de son jour critique émotionnel : (bien sûr il ne le savait pas, mais le jour critique émotionnel - ou jour à côté - est fréquemment jour du suicide en raison des pulsions survenant à ce moment-là)
25 février 1969 (3/07/1950)
Ve 21 P(1)
Sa 22
Di 23
Lu 24 E(8)
Ma 25
Me 26 P(6)
Je 27 P(7) I(17)
lundi 20 décembre 2010
Bernard Loiseau
Wikipédia :
Bernard Loiseau (13 janvier 1951 - 24 février 2003) était l'un des plus grands chefs cuisiniers et restaurateurs français (Trois étoiles au Guide Michelin et 19/20 au Gault-Millau). Il était l’ambassadeur le plus ardent de la gastronomie française, et le plus populaire dans le monde entier des années 1980 et années 1990, grâce à son talent de cuisinier et à son charisme qui lui ont permis une médiatisation importante.
...................
En 2003, il projette d'ouvrir un hôtel de caractère et de luxe l'année suivante, dans le sud-ouest, autour de Toulouse. Finalement, le projet n'aboutit pas. En 2003, tout le programme d'embellissement du Relais & Châteaux est terminé. Malgré cela, Bernard Loiseau est sujet à une angoisse chronique, à un esprit obsessionnel de recherche de la perfection éternellement insatisfait, suite à une rétrogradation de 19/20 à 17/20 dans le guide Gault-Millau et à des critiques peu élogieuses et humiliantes de la part du critique Francois Simon en 2003. Devant la sévérité de ce guide qui lui reproche de s'endormir sur ses lauriers, il se suicide sans laisser d'explication le 24 février 2003, à l'âge de 52 ans, dans sa maison de Saulieu, laissant un grand étonnement et un certain mystère sur les causes de son départ anticipé.
==============
l'année de vie 53 est une année critique physique et psychique P7. Bernard Loiseau y est entré le 13 janvier 2003 avec son 52ème anniversaire.
pour les cycles courts c'est une situation en jour neutre. proximité anniversaire.
24 février 2003 (13/01/1951)
Me 19
Je 20
Ve 21
P(12)
Sa 22 E(22) I(26)
Di 23
Lu 24
Ma 25
Me 26
Bernard Loiseau (13 janvier 1951 - 24 février 2003) était l'un des plus grands chefs cuisiniers et restaurateurs français (Trois étoiles au Guide Michelin et 19/20 au Gault-Millau). Il était l’ambassadeur le plus ardent de la gastronomie française, et le plus populaire dans le monde entier des années 1980 et années 1990, grâce à son talent de cuisinier et à son charisme qui lui ont permis une médiatisation importante.
...................
En 2003, il projette d'ouvrir un hôtel de caractère et de luxe l'année suivante, dans le sud-ouest, autour de Toulouse. Finalement, le projet n'aboutit pas. En 2003, tout le programme d'embellissement du Relais & Châteaux est terminé. Malgré cela, Bernard Loiseau est sujet à une angoisse chronique, à un esprit obsessionnel de recherche de la perfection éternellement insatisfait, suite à une rétrogradation de 19/20 à 17/20 dans le guide Gault-Millau et à des critiques peu élogieuses et humiliantes de la part du critique Francois Simon en 2003. Devant la sévérité de ce guide qui lui reproche de s'endormir sur ses lauriers, il se suicide sans laisser d'explication le 24 février 2003, à l'âge de 52 ans, dans sa maison de Saulieu, laissant un grand étonnement et un certain mystère sur les causes de son départ anticipé.
==============
l'année de vie 53 est une année critique physique et psychique P7. Bernard Loiseau y est entré le 13 janvier 2003 avec son 52ème anniversaire.
pour les cycles courts c'est une situation en jour neutre. proximité anniversaire.
24 février 2003 (13/01/1951)
Me 19
Je 20
Ve 21
P(12)
Sa 22 E(22) I(26)
Di 23
Lu 24
Ma 25
Me 26
Johnny
1966 10 septembre
Johnny Hallyday tente de mettre fin à ses jours
Malgré la naissance de son fils David (le 14 août), le rocker, en pleine période psychédélique, est frappé par la déprime et tente de mettre fin à ses jours. Les fans sont effondrés. Une cure de sommeil en Suisse relancera la machine Johnny. C'est la première renaissance d'une star cyclique.
http://www.linternaute.com/histoire/motcle/26/a/1/1/suicide.shtml
===============
sa situation ce jour-là :
10 septembre 1966 (15/06/1943)
Me 7
Je 8
Ve 9 P(1)
Sa 10
Di 11 I(9)
Lu 12
c'est le lendemain de son jour critique physique P1 et après être entré dans sa 24ème année de vie (année critique physique et psychique P1 - année importante car première année d'un nouveau cycle de 23 ans)
Johnny Hallyday tente de mettre fin à ses jours
Malgré la naissance de son fils David (le 14 août), le rocker, en pleine période psychédélique, est frappé par la déprime et tente de mettre fin à ses jours. Les fans sont effondrés. Une cure de sommeil en Suisse relancera la machine Johnny. C'est la première renaissance d'une star cyclique.
http://www.linternaute.com/histoire/motcle/26/a/1/1/suicide.shtml
===============
sa situation ce jour-là :
10 septembre 1966 (15/06/1943)
Me 7
Je 8
Ve 9 P(1)
Sa 10
Di 11 I(9)
Lu 12
c'est le lendemain de son jour critique physique P1 et après être entré dans sa 24ème année de vie (année critique physique et psychique P1 - année importante car première année d'un nouveau cycle de 23 ans)
Jean Moulin
http://www.linternaute.com/histoire/motcle/26/a/1/1/suicide.shtml
1940 17 juin
Jean Moulin tente de se trancher la gorge
Arrêté pour s’être opposé à l’occupant, Jean Moulin est battu et emprisonné. Il refuse catégoriquement de signer un document accusant injustement de meurtre des tirailleurs sénégalais de l’armée française. Face à la pression allemande, il préfère se trancher la gorge à l’aide d’un débris de verre plutôt que de leur céder quoique ce soit et ainsi de se déshonorer. Tout de suite après avoir commis cet acte suicidaire, il est soigné et libéré.
---------------
Wikipédia :
Jean Moulin (Romanin), né à Béziers le 20 juin 1899 et mort dans le train qui le transporte en Allemagne, aux environs de Metz, le 8 juillet 1943, est un préfet et résistant français.
.................
===========
situation le jour de la tentative de suicide :
17 juin 1940 (20/06/1899)
Di 16
Lu 17
Ma 18 P(1) E(22)
Me 19 I(26)
Je 20
c'est à trois jours de son 41ème anniversaire et la veille d'un jour doublement critique physique P1 et émotionnel E22.
et le jour de son décès :
8 juillet 1943 (20/06/1899)
Lu 5
Ma 6 E(15)
Me 7 I(17)
Je 8 P(12)
Ve 9
Sa 10
jour critique physique P12 à proximité de son 44ème anniversaire.
1940 17 juin
Jean Moulin tente de se trancher la gorge
Arrêté pour s’être opposé à l’occupant, Jean Moulin est battu et emprisonné. Il refuse catégoriquement de signer un document accusant injustement de meurtre des tirailleurs sénégalais de l’armée française. Face à la pression allemande, il préfère se trancher la gorge à l’aide d’un débris de verre plutôt que de leur céder quoique ce soit et ainsi de se déshonorer. Tout de suite après avoir commis cet acte suicidaire, il est soigné et libéré.
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Wikipédia :
Jean Moulin (Romanin), né à Béziers le 20 juin 1899 et mort dans le train qui le transporte en Allemagne, aux environs de Metz, le 8 juillet 1943, est un préfet et résistant français.
.................
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situation le jour de la tentative de suicide :
17 juin 1940 (20/06/1899)
Di 16
Lu 17
Ma 18 P(1) E(22)
Me 19 I(26)
Je 20
c'est à trois jours de son 41ème anniversaire et la veille d'un jour doublement critique physique P1 et émotionnel E22.
et le jour de son décès :
8 juillet 1943 (20/06/1899)
Lu 5
Ma 6 E(15)
Me 7 I(17)
Je 8 P(12)
Ve 9
Sa 10
jour critique physique P12 à proximité de son 44ème anniversaire.
Roger Salengro
Wikipédia :
Roger Henri Charles Salengro, né le 30 mai 1890 à Lille et mort le 18 novembre 1936, est un homme politique socialiste français.
...................
Ne supportant plus les calomnies, le ministre de l'Intérieur, fragilisé et déprimé, décide de mettre fin à ses jours. En pleine inspection à Lille, sa ville natale, le 17 novembre 1936, Salengro rentre chez lui dans la soirée et croise dans la rue un homme qui le reconnait, l'insulte et lui crache au visage. Arrivé et seul dans son appartement, il entre dans la petite cuisine, met son chat dans le cellier, ferme la porte en posant au bas une serpillière mouillée, ouvre le robinet de la gazinière, étale sur la table deux exemplaires du journal Gringoire, et rédige deux lettres : l'une adressée à Léon Blum et l'autre à son frère. Salengro meurt asphyxié dans les minutes qui suivent. Il écrit : « S’ils n’ont pas réussi à me déshonorer, du moins porteront-ils la responsabilité de ma mort. »
==============
c'est un suicide en jour neutre, mais l'année de vie 47. celle-ci est une année importante P1 année critique car première année d'un nouveau cycle physique et psychique de 23 ans.
novembre 1936 (30/05/1890)
Lu 16
Ma 17
Me 18
Je 19 P(1)
Ve 20 E(8)
Sa 21
Roger Henri Charles Salengro, né le 30 mai 1890 à Lille et mort le 18 novembre 1936, est un homme politique socialiste français.
...................
Ne supportant plus les calomnies, le ministre de l'Intérieur, fragilisé et déprimé, décide de mettre fin à ses jours. En pleine inspection à Lille, sa ville natale, le 17 novembre 1936, Salengro rentre chez lui dans la soirée et croise dans la rue un homme qui le reconnait, l'insulte et lui crache au visage. Arrivé et seul dans son appartement, il entre dans la petite cuisine, met son chat dans le cellier, ferme la porte en posant au bas une serpillière mouillée, ouvre le robinet de la gazinière, étale sur la table deux exemplaires du journal Gringoire, et rédige deux lettres : l'une adressée à Léon Blum et l'autre à son frère. Salengro meurt asphyxié dans les minutes qui suivent. Il écrit : « S’ils n’ont pas réussi à me déshonorer, du moins porteront-ils la responsabilité de ma mort. »
==============
c'est un suicide en jour neutre, mais l'année de vie 47. celle-ci est une année importante P1 année critique car première année d'un nouveau cycle physique et psychique de 23 ans.
novembre 1936 (30/05/1890)
Lu 16
Ma 17
Me 18
Je 19 P(1)
Ve 20 E(8)
Sa 21
dimanche 19 décembre 2010
Walter Benjamin
Wikipédia :
Walter Bendix Schönflies Benjamin (15 juillet 1892 à Berlin- 26 septembre 1940 à Portbou) est un philosophe, critique littéraire, critique d'art et traducteur (notamment de Balzac, Baudelaire et Proust) allemand de la première moitié du XXe siècle, rattaché à l'école de Francfort
.................
Mort tragique
La tombe de Walter Benjamin à PortBou.En juin 1940, il est enfermé au camp de Vernuche près de Nevers, puis libéré grâce à ses amis intellectuels[2]. Un jour avant l'entrée de l'armée allemande dans Paris, Benjamin quitte la capitale et se rend à Lourdes. De là, il part à Marseille et finalement arrive à Port-Vendres le 25 septembre 1940 avec l'intention de fuir en Espagne.
Arrivé dans la petite commune des Pyrénées-Orientales, il se fait connaitre auprès de Hans et Lisa Fittko, deux antinazis allemands qui peuvent lui faire franchir la frontière clandestinement. Malgré son âge (Walter Benjamin a quarante-huit ans) et ses problèmes de santé, le philosophe et deux autres candidats à l'exil, Henny Gurland et son fils José, conduits par Lisa, parviennent au bout d'une dizaine d'heures à Portbou. Mais le 26 septembre 1940, la nuit de son arrivée en Espagne, Walter Benjamin se suicide en absorbant une dose mortelle de morphine.
D'après Lisa Fittko, les autorités espagnoles ont avisé les trois fuyards qu'une nouvelle directive du gouvernement espagnol préconisait la reconduite des réfugiés en France. Benjamin n'aurait pas supporté la nouvelle — en fait la nouvelle réglementation ne sera jamais appliquée… et était sans doute déjà annulée quand il se donna la mort.
.......................
D'autres hypothèses ont été émises au sujet de sa mort :
Who killed Walter Benjamin... (73 min. Espagne, Allemagne, Pays Bas), un film documentaire de David Mauas sur les circonstances de la mort de Walter Benjamin à Port Bou a présenté la thèse selon laquelle il aurait été assassiné par des fascistes.
Selon Stephen Schwartz, il aurait été assassiné par des agents à la solde de Staline.
====================
la situation cyclique indique plutôt une situation "typique d'un suicide" :
- arrivée et entrée période critique septennale des 49 ans (48 ans et deux mois)
- suicide la veille de son jour critique émotionnel E22 et intellectuel i 17.
26 septembre 1940 (15/07/1892)
Ma 24
Me 25
Je 26
Ve 27 E(22) I(17)
Sa 28 P(12)
Di 29
Lu 30
Walter Bendix Schönflies Benjamin (15 juillet 1892 à Berlin- 26 septembre 1940 à Portbou) est un philosophe, critique littéraire, critique d'art et traducteur (notamment de Balzac, Baudelaire et Proust) allemand de la première moitié du XXe siècle, rattaché à l'école de Francfort
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Mort tragique
La tombe de Walter Benjamin à PortBou.En juin 1940, il est enfermé au camp de Vernuche près de Nevers, puis libéré grâce à ses amis intellectuels[2]. Un jour avant l'entrée de l'armée allemande dans Paris, Benjamin quitte la capitale et se rend à Lourdes. De là, il part à Marseille et finalement arrive à Port-Vendres le 25 septembre 1940 avec l'intention de fuir en Espagne.
Arrivé dans la petite commune des Pyrénées-Orientales, il se fait connaitre auprès de Hans et Lisa Fittko, deux antinazis allemands qui peuvent lui faire franchir la frontière clandestinement. Malgré son âge (Walter Benjamin a quarante-huit ans) et ses problèmes de santé, le philosophe et deux autres candidats à l'exil, Henny Gurland et son fils José, conduits par Lisa, parviennent au bout d'une dizaine d'heures à Portbou. Mais le 26 septembre 1940, la nuit de son arrivée en Espagne, Walter Benjamin se suicide en absorbant une dose mortelle de morphine.
D'après Lisa Fittko, les autorités espagnoles ont avisé les trois fuyards qu'une nouvelle directive du gouvernement espagnol préconisait la reconduite des réfugiés en France. Benjamin n'aurait pas supporté la nouvelle — en fait la nouvelle réglementation ne sera jamais appliquée… et était sans doute déjà annulée quand il se donna la mort.
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D'autres hypothèses ont été émises au sujet de sa mort :
Who killed Walter Benjamin... (73 min. Espagne, Allemagne, Pays Bas), un film documentaire de David Mauas sur les circonstances de la mort de Walter Benjamin à Port Bou a présenté la thèse selon laquelle il aurait été assassiné par des fascistes.
Selon Stephen Schwartz, il aurait été assassiné par des agents à la solde de Staline.
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la situation cyclique indique plutôt une situation "typique d'un suicide" :
- arrivée et entrée période critique septennale des 49 ans (48 ans et deux mois)
- suicide la veille de son jour critique émotionnel E22 et intellectuel i 17.
26 septembre 1940 (15/07/1892)
Ma 24
Me 25
Je 26
Ve 27 E(22) I(17)
Sa 28 P(12)
Di 29
Lu 30
vendredi 17 décembre 2010
Aurore Gagnon
http://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?pid=1630&partID=1633
Prénom: Marie-Anne
Nom: Houde
Naissance: 21 avril 1891
Décès: 12 mai 1936 - âge: 45
Son procès se tient du 13 au 21 avril 1920
Marie-Anne Houde est emprisonnée tout l’été à la prison de Québec. Le juge a ordonné un long délai entre le moment de sa condamnation et la date de la pendaison, afin qu’elle puisse donner naissance à son enfant et le nourrir pendant les premiers mois de sa vie. Le 8 juillet 1920, Marie-Anne Houde accouche à la prison, pas d’un, mais bien de deux enfants: un garçon et une fille (Roch-Jean et Jeanne d’Arc). Ils sont immédiatement baptisés et ont pour parrain et marraine le gardien de la prison et la matrone.
La naissance de ses jumeaux éveille dans l’opinion publique un sentiment de pitié à l’égard de Marie-Anne Houde, ou du moins envers ses nouveau-nés. C’est l’un des facteurs qui favorise l’émergence, durant l’été 1920, d’une campagne de clémence en sa faveur, organisée par la Canadian Prisoner’s Welfare Association. Cette campagne porte fruit à la toute dernière minute. En effet, le 29 septembre 1920, deux jours avant la date prévue pour sa pendaison à la prison de Québec, le ministre fédéral de la Justice, Monsieur C. J. Doherty, décide de commuer la peine de mort de Marie-Anne Houde en emprisonnement à vie. Elle est alors transférée au pénitencier de Kingston, où elle passera pratiquement le reste de ses jours.
===================
Mariage ou union de fait
Telesphore à 35 ans
Marie-Anne à 27 ans
01 février 1918
Fortierville
Canada
===========================
Enfants :
Nom Naissance Décès Père Mère Époux(se)
Jeanne-Bernadette Gagnon 01 Août 1907 1986 T. Gagnon M. Caron St-Martin Clovis
Aurore Gagnon 31 Mai 1909 12 Fév 1920 T. Gagnon M. Caron : décès la veille d'un jour doublement critique physique P1 et intellectuel i 17.
Marie-Anne Houde est en jour neutre.
Lucina-Therese Gagnon 15 Fév 1912 13 Nov 1917 T. Gagnon M. Caron : décès en jour critique physique P6.
Georges-Etienne Gagnon 09 Avr 1913 T. Gagnon M. Caron Hamel Lucie
Joseph-Telesphore Gagnon 09 Avr 1915 06 Nov 1917 T. Gagnon M. Caron : décès en veille de jour critique physique P1.
Pauline Gagnon 08 Juin 1919 T. Gagnon M. Houde
Jeanne-D'arc Gagnon 08 Juil 1920 03 Fév 1921 T. Gagnon M. Houde : décès son jour critique émotionnel E15.
Roch-Jean Gagnon 08 Juil 1920 T. Gagnon M. Houde
Gerard Gagnon 07 Juin 1908 N. Gagnon M. Houde
Edouard-Philogone Gagnon 28 Jan 1910 29 Août 1910 N. Gagnon M. Houde : décès en jour critique physique P7.
Genevieve-Dolores Gagnon 11 Juin 1911 31 Juil 1911 N. Gagnon M. Houde décès lendemain de E22 i 17 et veille de P6
Georges-Albert Gagnon **** **** N. Gagnon M. Houde
Marie-Paule Gagnon 20 Août 1913 30 Nov 1945 N. Gagnon M. Houde Marcot Adalbert
Cecile Gagnon **** **** N. Gagnon M. Houde
============
et Wikipédia pour ceux qui ne connaissent pas l'histoire (je ne connaissais pas avant de voir l'affiche du film "Aurore" :
Aurore Gagnon
L'histoire d'Aurore Gagnon (31 mai 1909 – 12 février 1920), morte à la suite des sévices de sa mère adoptive, est devenue, aux dires de l'un de ses biographes, le romancier André Mathieu, « le drame le plus pathétique » du passé collectif des Québécois. Remis en mémoire par des pièces de théâtre, des romans et des films, elle a laissé une marque profonde dans l’imaginaire collectif des Québécois.
Les origines de l'affaire
Aurore Gagnon est la fille de Télesphore Gagnon, fermier prospère de Fortierville, petit village situé sur la rive Sud du fleuve Saint-Laurent à une centaine de kilomètres au Sud-Ouest de Québec. Il est propriétaire d'une terre à l'entrée Est du village et on estime qu'il possède 10 000 $ en biens en 1920. En septembre 1906, il a épousé en premières noces une fille de l'endroit, Marie-Anne Caron, de qui il a eu quatre enfants : Marie-Jeanne (août 1907), Aurore (31 mai 1909), Georges (1910) et Joseph (1915).
Après la dernière naissance, Marie-Anne Caron tombe malade et les médecins diagnostiquent vite la tuberculose. Marie-Anne Houde, la veuve d'un cousin de Télesphore, emménage bientôt chez lui afin de s'occuper de la maison et des enfants. Âgée d'environ trente ans, elle est mère de deux enfants, Gérard et Georges-Henri. Elle est originaire de Sainte-Sophie-de-Lévrard, une municipalité voisine de Fortierville.
C'est à la suite de son arrivée que plusieurs drames successifs s'abattent sur les Gagnon. En novembre 1917, le corps du plus jeune des enfants, Joseph, un enfant de deux ans, est retrouvé mort dans son lit. Une enquête du coroner conclut à une mort naturelle. En janvier 1918, Marie-Anne Caron décède de la tuberculose à l'asile de Beauport, le 23 janvier 1918. Incapable de s'occuper seul de sa ferme et de ses enfants, Télesphore Gagnon épouse discrètement Marie-Anne Houde une semaine plus tard, le 1er février 1918.
Les enfants vont vivre quelques mois chez leurs grands-parents maternels à Leclercville, une autre municipalité voisine. Ce n'est qu'à l'été 1919 qu'ils réemménagent chez leurs parents. Pendant six mois, la seconde fille, Aurore, va vivre un martyre. Le 12 février 1920, elle décède dans des circonstances tellement suspectes que les autorités sont alertées. Une autopsie est pratiquée dans le sous-sol de la sacristie de l'église par le docteur Albert Marois. Celui-ci note 54 blessures sur tout le corps de l'enfant, résultats des coups portés, aucune n'étant cependant mortelle par elle-même. La blessure la plus grave se trouve sur le côté du crâne. Le cuir chevelu est couvert de sang et de pus. La cuisse gauche est tuméfiée. Sur les doigts et les poignets, la peau est enlevée jusqu'à l'os.
Les funérailles ont lieu le 14 février. À la sortie de l'église, Télesphore Gagnon et Marie-Anne Houde sont arrêtés et accusés d'homicide involontaire.
Les procès.
Le premier procès, celui de Marie-Anne Houde, se déroule du 13 au 21 avril 1920. Il est présidé par le juge Louis-Philippe Pelletier. Le procureur de la Couronne, Arthur Fitzpatrick, est le fils du lieutenant-gouverneur de l'époque, Charles Fitzpatrick. Joseph-Napoléon Francoeur, avocat de la défense, est également député libéral à l'Assemblée législative.
Les témoignages contre l'accusée sont accablants. Une cousine d'Aurore, Marguerite Lebœuf, a passé une semaine chez les Gagnon en août 1919 et a été témoin du martyre de sa parente. Elle déclare: "Une fois, j'étais en train de me friser les cheveux. Ma tante prit mon fer à friser, le fit chauffer sur une lampe et se mit en train de friser les cheveux d'Aurore qui les avait très courts. Elle les avait coupés comme un petit garçon. Ma tante se mit à tortiller les cheveux. Quand elle tira le fer à friser, les cheveux étaient grillés".
On fait également témoigner les frères et la sœur d'Aurore. Sa sœur aînée, Marie-Jeanne Gagnon, a 12 ans à l'époque. Elle raconte avec des détails horrifiants le calvaire d'Aurore au cours des derniers mois. Elle déclare que sa sœur a dû être hospitalisée à l'automne à l'Hôtel-Dieu de Québec parce que sa belle-mère avait brûlé son pied avec un tisonnier rougi au feu. À son retour de l'hôpital, les sévices ont vite recommencé. Elle l'attachait parfois à un pied de table puis lui brûlait le corps avec le tisonnier. Lorsqu'on lui demande pourquoi elle s'acharnait autant sur elle, Marie-Jeanne répond: "Parce qu'elle faisait ses besoins ailleurs que dans le vase mais c'est maman qui cachait celui-ci". Elle déclare que, le jour de la mort d'Aurore, la marâtre l'a obligée à se lever de son lit avec un manche de fourche en lui donnant des coups. Par la suite, elle est tombée et ne s'est plus relevée.
Les témoignages des frères vont dans le même sens. Georges affirme que sa mère lui faisait boire de la lessive. Gérard Gagnon, qui est le propre fils de la marâtre, confirme tous les dires des autres enfants.
Les voisines témoignent également. L'une d'elles déclare que Marie-Anne Houde lui a déjà dit: "Je voudrais bien que la petite Aurore vienne à mourir sans que personne en ait connaissance". Une autre lui a demandé pourquoi elle lui infligeait tant de punitions. Marie-Anne Houde lui a répondu qu'elle était salope, têtue, voleuse et impure.
L'avocat Francoeur tente de plaider l'irresponsabilité pour cause de folie. Des psychiatres témoignent à la barre pour confirmer ou infirmer cette thèse. Mais, le 21 avril, après un quart d'heure de délibérations, le juré se prononce pour la culpabilité de l'accusée. Le juge la condamne alors à être pendue jusqu'à ce que mort s'ensuive.
Deux jours plus tard, débute le procès du père d'Aurore, Télesphore Gagnon, présidé par le juge Alfred Désy. Les mêmes témoins défilent à la barre. Il est prouvé qu'il flagellait l'enfant avec un fouet pour des motifs souvent futiles, pendant que la marâtre l'encourageait. Le 28 avril, il est reconnu coupable d'homicide involontaire et condamné à la prison à perpétuité. Il est libéré en 1925 à cause d'une tumeur au cou et parce qu'on croit qu'il lui reste peu de temps à vivre. Il retourne alors à Fortierville où il finit par guérir. Il se remarie en 1938 et meurt en septembre 1961.
Marie-Anne Houde, qui était enceinte lorsqu'elle a été condamnée, donne naissance à des jumeaux le 8 juillet 1920. À cause de cela, sa sentence est bientôt commuée en emprisonnement à vie et elle est transférée à la prison de Kingston en Ontario.
Le 16 septembre 1923, elle écrit une lettre au ministre fédéral de la Justice, lui réclamant son pardon. Elle y déclare que son mari et ses enfants lui demandent de revenir à la maison. Concernant le crime, elle écrit: "Je ne savais pas ce que je faisais. Je ne me souviens de rien". Le ministre refuse.
Elle est finalement libérée le 3 juillet 1935, après qu'on lui avait décelé une tumeur cancéreuse. Elle va s'établir chez une sœur de son premier mari sur la rue Saint-Denis à Montréal où elle meurt d'un cancer généralisé le 13 mai 1936. Selon plusieurs témoignages, il semble qu'elle ait souffert d'une aliénation mentale due à une tumeur au cerveau, décelée lors de l'autopsie.
================
en lisant l'histoire j'ai de suite pensé à un comportement septennal et apparemment je ne me suis pas trompé :
si mes comptes sont bons, Aurore Gagnon a été maltraitée de l'été 1919 à février 1920 moment de son décès : Marie Anne Houde se trouvait dans sa période critique septennale des 28 ans de novembre 1918 à avril 1920.
un petit édit au sujet d'une donnée intéressante que je viens de noter encore, et concernant l'époux et père, qui a aussi été condamné :
"Deux jours plus tard, débute le procès du père d'Aurore, Télesphore Gagnon, présidé par le juge Alfred Désy. Les mêmes témoins défilent à la barre. Il est prouvé qu'il flagellait l'enfant avec un fouet pour des motifs souvent futiles, pendant que la marâtre l'encourageait. Le 28 avril, il est reconnu coupable d'homicide involontaire et condamné à la prison à perpétuité. Il est libéré en 1925 à cause d'une tumeur au cou et parce qu'on croit qu'il lui reste peu de temps à vivre. Il retourne alors à Fortierville où il finit par guérir. Il se remarie en 1938 et meurt en septembre 1961."
Télesphore Gagnon est né le 11 juillet 1883 : les tumeurs étant souvent aussi septennales et ayant parfois la propriété d'apparaître et de disparaître à la faveur du passage dans une période critique septennale, je suis allé voir de plus près : en 1925 date de sa libération pour tumeur fatale, Télesphore Gagnon avait ... 42 ans...
au moment de la maltraitance de l'enfant il se trouvait ou passait dans sa période critique septennale des 35 ans : il y avait donc une forme de compatibilité dans les périodes critiques entre les deux personnes responsables...
Prénom: Marie-Anne
Nom: Houde
Naissance: 21 avril 1891
Décès: 12 mai 1936 - âge: 45
Son procès se tient du 13 au 21 avril 1920
Marie-Anne Houde est emprisonnée tout l’été à la prison de Québec. Le juge a ordonné un long délai entre le moment de sa condamnation et la date de la pendaison, afin qu’elle puisse donner naissance à son enfant et le nourrir pendant les premiers mois de sa vie. Le 8 juillet 1920, Marie-Anne Houde accouche à la prison, pas d’un, mais bien de deux enfants: un garçon et une fille (Roch-Jean et Jeanne d’Arc). Ils sont immédiatement baptisés et ont pour parrain et marraine le gardien de la prison et la matrone.
La naissance de ses jumeaux éveille dans l’opinion publique un sentiment de pitié à l’égard de Marie-Anne Houde, ou du moins envers ses nouveau-nés. C’est l’un des facteurs qui favorise l’émergence, durant l’été 1920, d’une campagne de clémence en sa faveur, organisée par la Canadian Prisoner’s Welfare Association. Cette campagne porte fruit à la toute dernière minute. En effet, le 29 septembre 1920, deux jours avant la date prévue pour sa pendaison à la prison de Québec, le ministre fédéral de la Justice, Monsieur C. J. Doherty, décide de commuer la peine de mort de Marie-Anne Houde en emprisonnement à vie. Elle est alors transférée au pénitencier de Kingston, où elle passera pratiquement le reste de ses jours.
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Mariage ou union de fait
Telesphore à 35 ans
Marie-Anne à 27 ans
01 février 1918
Fortierville
Canada
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Enfants :
Nom Naissance Décès Père Mère Époux(se)
Jeanne-Bernadette Gagnon 01 Août 1907 1986 T. Gagnon M. Caron St-Martin Clovis
Aurore Gagnon 31 Mai 1909 12 Fév 1920 T. Gagnon M. Caron : décès la veille d'un jour doublement critique physique P1 et intellectuel i 17.
Marie-Anne Houde est en jour neutre.
Lucina-Therese Gagnon 15 Fév 1912 13 Nov 1917 T. Gagnon M. Caron : décès en jour critique physique P6.
Georges-Etienne Gagnon 09 Avr 1913 T. Gagnon M. Caron Hamel Lucie
Joseph-Telesphore Gagnon 09 Avr 1915 06 Nov 1917 T. Gagnon M. Caron : décès en veille de jour critique physique P1.
Pauline Gagnon 08 Juin 1919 T. Gagnon M. Houde
Jeanne-D'arc Gagnon 08 Juil 1920 03 Fév 1921 T. Gagnon M. Houde : décès son jour critique émotionnel E15.
Roch-Jean Gagnon 08 Juil 1920 T. Gagnon M. Houde
Gerard Gagnon 07 Juin 1908 N. Gagnon M. Houde
Edouard-Philogone Gagnon 28 Jan 1910 29 Août 1910 N. Gagnon M. Houde : décès en jour critique physique P7.
Genevieve-Dolores Gagnon 11 Juin 1911 31 Juil 1911 N. Gagnon M. Houde décès lendemain de E22 i 17 et veille de P6
Georges-Albert Gagnon **** **** N. Gagnon M. Houde
Marie-Paule Gagnon 20 Août 1913 30 Nov 1945 N. Gagnon M. Houde Marcot Adalbert
Cecile Gagnon **** **** N. Gagnon M. Houde
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et Wikipédia pour ceux qui ne connaissent pas l'histoire (je ne connaissais pas avant de voir l'affiche du film "Aurore" :
Aurore Gagnon
L'histoire d'Aurore Gagnon (31 mai 1909 – 12 février 1920), morte à la suite des sévices de sa mère adoptive, est devenue, aux dires de l'un de ses biographes, le romancier André Mathieu, « le drame le plus pathétique » du passé collectif des Québécois. Remis en mémoire par des pièces de théâtre, des romans et des films, elle a laissé une marque profonde dans l’imaginaire collectif des Québécois.
Les origines de l'affaire
Aurore Gagnon est la fille de Télesphore Gagnon, fermier prospère de Fortierville, petit village situé sur la rive Sud du fleuve Saint-Laurent à une centaine de kilomètres au Sud-Ouest de Québec. Il est propriétaire d'une terre à l'entrée Est du village et on estime qu'il possède 10 000 $ en biens en 1920. En septembre 1906, il a épousé en premières noces une fille de l'endroit, Marie-Anne Caron, de qui il a eu quatre enfants : Marie-Jeanne (août 1907), Aurore (31 mai 1909), Georges (1910) et Joseph (1915).
Après la dernière naissance, Marie-Anne Caron tombe malade et les médecins diagnostiquent vite la tuberculose. Marie-Anne Houde, la veuve d'un cousin de Télesphore, emménage bientôt chez lui afin de s'occuper de la maison et des enfants. Âgée d'environ trente ans, elle est mère de deux enfants, Gérard et Georges-Henri. Elle est originaire de Sainte-Sophie-de-Lévrard, une municipalité voisine de Fortierville.
C'est à la suite de son arrivée que plusieurs drames successifs s'abattent sur les Gagnon. En novembre 1917, le corps du plus jeune des enfants, Joseph, un enfant de deux ans, est retrouvé mort dans son lit. Une enquête du coroner conclut à une mort naturelle. En janvier 1918, Marie-Anne Caron décède de la tuberculose à l'asile de Beauport, le 23 janvier 1918. Incapable de s'occuper seul de sa ferme et de ses enfants, Télesphore Gagnon épouse discrètement Marie-Anne Houde une semaine plus tard, le 1er février 1918.
Les enfants vont vivre quelques mois chez leurs grands-parents maternels à Leclercville, une autre municipalité voisine. Ce n'est qu'à l'été 1919 qu'ils réemménagent chez leurs parents. Pendant six mois, la seconde fille, Aurore, va vivre un martyre. Le 12 février 1920, elle décède dans des circonstances tellement suspectes que les autorités sont alertées. Une autopsie est pratiquée dans le sous-sol de la sacristie de l'église par le docteur Albert Marois. Celui-ci note 54 blessures sur tout le corps de l'enfant, résultats des coups portés, aucune n'étant cependant mortelle par elle-même. La blessure la plus grave se trouve sur le côté du crâne. Le cuir chevelu est couvert de sang et de pus. La cuisse gauche est tuméfiée. Sur les doigts et les poignets, la peau est enlevée jusqu'à l'os.
Les funérailles ont lieu le 14 février. À la sortie de l'église, Télesphore Gagnon et Marie-Anne Houde sont arrêtés et accusés d'homicide involontaire.
Les procès.
Le premier procès, celui de Marie-Anne Houde, se déroule du 13 au 21 avril 1920. Il est présidé par le juge Louis-Philippe Pelletier. Le procureur de la Couronne, Arthur Fitzpatrick, est le fils du lieutenant-gouverneur de l'époque, Charles Fitzpatrick. Joseph-Napoléon Francoeur, avocat de la défense, est également député libéral à l'Assemblée législative.
Les témoignages contre l'accusée sont accablants. Une cousine d'Aurore, Marguerite Lebœuf, a passé une semaine chez les Gagnon en août 1919 et a été témoin du martyre de sa parente. Elle déclare: "Une fois, j'étais en train de me friser les cheveux. Ma tante prit mon fer à friser, le fit chauffer sur une lampe et se mit en train de friser les cheveux d'Aurore qui les avait très courts. Elle les avait coupés comme un petit garçon. Ma tante se mit à tortiller les cheveux. Quand elle tira le fer à friser, les cheveux étaient grillés".
On fait également témoigner les frères et la sœur d'Aurore. Sa sœur aînée, Marie-Jeanne Gagnon, a 12 ans à l'époque. Elle raconte avec des détails horrifiants le calvaire d'Aurore au cours des derniers mois. Elle déclare que sa sœur a dû être hospitalisée à l'automne à l'Hôtel-Dieu de Québec parce que sa belle-mère avait brûlé son pied avec un tisonnier rougi au feu. À son retour de l'hôpital, les sévices ont vite recommencé. Elle l'attachait parfois à un pied de table puis lui brûlait le corps avec le tisonnier. Lorsqu'on lui demande pourquoi elle s'acharnait autant sur elle, Marie-Jeanne répond: "Parce qu'elle faisait ses besoins ailleurs que dans le vase mais c'est maman qui cachait celui-ci". Elle déclare que, le jour de la mort d'Aurore, la marâtre l'a obligée à se lever de son lit avec un manche de fourche en lui donnant des coups. Par la suite, elle est tombée et ne s'est plus relevée.
Les témoignages des frères vont dans le même sens. Georges affirme que sa mère lui faisait boire de la lessive. Gérard Gagnon, qui est le propre fils de la marâtre, confirme tous les dires des autres enfants.
Les voisines témoignent également. L'une d'elles déclare que Marie-Anne Houde lui a déjà dit: "Je voudrais bien que la petite Aurore vienne à mourir sans que personne en ait connaissance". Une autre lui a demandé pourquoi elle lui infligeait tant de punitions. Marie-Anne Houde lui a répondu qu'elle était salope, têtue, voleuse et impure.
L'avocat Francoeur tente de plaider l'irresponsabilité pour cause de folie. Des psychiatres témoignent à la barre pour confirmer ou infirmer cette thèse. Mais, le 21 avril, après un quart d'heure de délibérations, le juré se prononce pour la culpabilité de l'accusée. Le juge la condamne alors à être pendue jusqu'à ce que mort s'ensuive.
Deux jours plus tard, débute le procès du père d'Aurore, Télesphore Gagnon, présidé par le juge Alfred Désy. Les mêmes témoins défilent à la barre. Il est prouvé qu'il flagellait l'enfant avec un fouet pour des motifs souvent futiles, pendant que la marâtre l'encourageait. Le 28 avril, il est reconnu coupable d'homicide involontaire et condamné à la prison à perpétuité. Il est libéré en 1925 à cause d'une tumeur au cou et parce qu'on croit qu'il lui reste peu de temps à vivre. Il retourne alors à Fortierville où il finit par guérir. Il se remarie en 1938 et meurt en septembre 1961.
Marie-Anne Houde, qui était enceinte lorsqu'elle a été condamnée, donne naissance à des jumeaux le 8 juillet 1920. À cause de cela, sa sentence est bientôt commuée en emprisonnement à vie et elle est transférée à la prison de Kingston en Ontario.
Le 16 septembre 1923, elle écrit une lettre au ministre fédéral de la Justice, lui réclamant son pardon. Elle y déclare que son mari et ses enfants lui demandent de revenir à la maison. Concernant le crime, elle écrit: "Je ne savais pas ce que je faisais. Je ne me souviens de rien". Le ministre refuse.
Elle est finalement libérée le 3 juillet 1935, après qu'on lui avait décelé une tumeur cancéreuse. Elle va s'établir chez une sœur de son premier mari sur la rue Saint-Denis à Montréal où elle meurt d'un cancer généralisé le 13 mai 1936. Selon plusieurs témoignages, il semble qu'elle ait souffert d'une aliénation mentale due à une tumeur au cerveau, décelée lors de l'autopsie.
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en lisant l'histoire j'ai de suite pensé à un comportement septennal et apparemment je ne me suis pas trompé :
si mes comptes sont bons, Aurore Gagnon a été maltraitée de l'été 1919 à février 1920 moment de son décès : Marie Anne Houde se trouvait dans sa période critique septennale des 28 ans de novembre 1918 à avril 1920.
un petit édit au sujet d'une donnée intéressante que je viens de noter encore, et concernant l'époux et père, qui a aussi été condamné :
"Deux jours plus tard, débute le procès du père d'Aurore, Télesphore Gagnon, présidé par le juge Alfred Désy. Les mêmes témoins défilent à la barre. Il est prouvé qu'il flagellait l'enfant avec un fouet pour des motifs souvent futiles, pendant que la marâtre l'encourageait. Le 28 avril, il est reconnu coupable d'homicide involontaire et condamné à la prison à perpétuité. Il est libéré en 1925 à cause d'une tumeur au cou et parce qu'on croit qu'il lui reste peu de temps à vivre. Il retourne alors à Fortierville où il finit par guérir. Il se remarie en 1938 et meurt en septembre 1961."
Télesphore Gagnon est né le 11 juillet 1883 : les tumeurs étant souvent aussi septennales et ayant parfois la propriété d'apparaître et de disparaître à la faveur du passage dans une période critique septennale, je suis allé voir de plus près : en 1925 date de sa libération pour tumeur fatale, Télesphore Gagnon avait ... 42 ans...
au moment de la maltraitance de l'enfant il se trouvait ou passait dans sa période critique septennale des 35 ans : il y avait donc une forme de compatibilité dans les périodes critiques entre les deux personnes responsables...
lundi 13 décembre 2010
Maria Callas
Maria Callas est une cantatrice américaine naturalisée grecque, née à New York le 2 décembre 1923 et morte à Paris le 16 septembre 1977.
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La cantatrice se retire du monde dans son appartement parisien du 36 avenue Georges-Mandel où ses seules occupations sont d'écouter ses vieux enregistrements et de promener ses caniches en empruntant chaque jour le même itinéraire : rue de la Pompe, rue de Longchamp et rue des Sablons. La mort d'Onassis en 1975 achève de la murer dans sa solitude. Épuisée moralement et physiquement, prenant alternativement des barbituriques pour dormir et des excitants dans la journée, elle meurt brutalement d'une embolie pulmonaire le 16 septembre 1977, à l'âge de 53 ans. Sur sa table de chevet sont retrouvés des comprimés d'un hypnotique, le Mandrax (méthaqualone), dont elle aurait pu, par accident, absorber une trop forte dose.
===========
Maria Callas est décédée son jour critique physique P6 à 53 ans et 10 mois.
septembre 1977 (2/12/1923)
Me 14
Je 15
Ve 16 P(6)
Sa 17 P(7)
Di 18 E(22)
Lu 19
Ma 20 I(17)
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La cantatrice se retire du monde dans son appartement parisien du 36 avenue Georges-Mandel où ses seules occupations sont d'écouter ses vieux enregistrements et de promener ses caniches en empruntant chaque jour le même itinéraire : rue de la Pompe, rue de Longchamp et rue des Sablons. La mort d'Onassis en 1975 achève de la murer dans sa solitude. Épuisée moralement et physiquement, prenant alternativement des barbituriques pour dormir et des excitants dans la journée, elle meurt brutalement d'une embolie pulmonaire le 16 septembre 1977, à l'âge de 53 ans. Sur sa table de chevet sont retrouvés des comprimés d'un hypnotique, le Mandrax (méthaqualone), dont elle aurait pu, par accident, absorber une trop forte dose.
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Maria Callas est décédée son jour critique physique P6 à 53 ans et 10 mois.
septembre 1977 (2/12/1923)
Me 14
Je 15
Ve 16 P(6)
Sa 17 P(7)
Di 18 E(22)
Lu 19
Ma 20 I(17)
mardi 7 décembre 2010
Raymond Roussel
Wikipédia :
Raymond Roussel, né à Paris, le 20 janvier 1877 et mort à Palerme, Italie, le 14 juillet 1933, était un écrivain, dramaturge et poète français.
.....................
Le 14 juillet 1933, il est retrouvé mort dans sa chambre d'hôtel, à Palerme, suite à un excès de barbituriques. Quelques jours auparavant, il avait déjà tenté de s'ouvrir les veines. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise.
===============
suicide septennal à 56 ans et 6 mois. la veille de son jour critique émotionnel E22.
Raymond Roussel, né à Paris, le 20 janvier 1877 et mort à Palerme, Italie, le 14 juillet 1933, était un écrivain, dramaturge et poète français.
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Le 14 juillet 1933, il est retrouvé mort dans sa chambre d'hôtel, à Palerme, suite à un excès de barbituriques. Quelques jours auparavant, il avait déjà tenté de s'ouvrir les veines. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise.
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suicide septennal à 56 ans et 6 mois. la veille de son jour critique émotionnel E22.
Christophe de Ponfilly
Wikipédia :
Christophe de Ponfilly, né le 5 janvier 1951 à Paris et mort le 16 mai 2006 à Rambouillet, était un auteur, réalisateur, producteur et journaliste français. Il est également le co-fondateur avec Frédéric Laffont de l'agence de presse Interscoop et de la société de production Albert Films.
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suicide septennal à 55 ans et 5 mois, soit au moment de l'entrée en période critique septennale des 56 ans. la veille de son jour critique intellectuel i26.
Christophe de Ponfilly, né le 5 janvier 1951 à Paris et mort le 16 mai 2006 à Rambouillet, était un auteur, réalisateur, producteur et journaliste français. Il est également le co-fondateur avec Frédéric Laffont de l'agence de presse Interscoop et de la société de production Albert Films.
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suicide septennal à 55 ans et 5 mois, soit au moment de l'entrée en période critique septennale des 56 ans. la veille de son jour critique intellectuel i26.
Yves Navarre
Wikipédia :
Yves Navarre, né le 24 septembre 1940 à Condom et décédé le 24 janvier 1994 à Paris, est un écrivain français.
.....................
Entre 1990 et 1993, il part vivre au Québec, à Montréal. Son roman de 1991, Ce sont amis que vent emporte, se situe dans cette ville où un sculpteur, Roch, vit en couple avec un danseur, David. Le roman raconte leur lutte contre le sida. De retour en France, frappé de dépression, il se suicide aux barbituriques le 24 janvier 1994.
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suicide à 53 ans et 4 mois. veille de jour critique physique P1 et critique émotionnel E22.
Yves Navarre, né le 24 septembre 1940 à Condom et décédé le 24 janvier 1994 à Paris, est un écrivain français.
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Entre 1990 et 1993, il part vivre au Québec, à Montréal. Son roman de 1991, Ce sont amis que vent emporte, se situe dans cette ville où un sculpteur, Roch, vit en couple avec un danseur, David. Le roman raconte leur lutte contre le sida. De retour en France, frappé de dépression, il se suicide aux barbituriques le 24 janvier 1994.
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suicide à 53 ans et 4 mois. veille de jour critique physique P1 et critique émotionnel E22.
Edouard Levé
Wikipédia :
Édouard Levé est un écrivain, artiste et photographe français né le 1er janvier 1965, mort le 15 octobre 2007 à Paris.
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suicide septennal à 42 ans et 10 mois. la veille de son jour critique physique P12.
Édouard Levé est un écrivain, artiste et photographe français né le 1er janvier 1965, mort le 15 octobre 2007 à Paris.
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suicide septennal à 42 ans et 10 mois. la veille de son jour critique physique P12.
Paul Lafargue
Wikipédia :
Paul Lafargue (Santiago de Cuba le 15 janvier 1842 - Draveil, Seine-et-Oise, le 26 novembre 1911) est un socialiste français, inspiré notamment par Proudhon, et surtout par Karl Marx.
.................
À 69 ans, en 1911, il se suicide avec sa femme, en se justifiant dans une courte lettre : « Sain de corps et d'esprit, je me tue avant que l'impitoyable vieillesse qui m'enlève un à un les plaisirs et les joies de l'existence et qui me dépouille de mes forces physiques et intellectuelles ne paralyse mon énergie, ne brise ma volonté et ne fasse de moi une charge à moi et aux autres ».
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suicide septennal à 69 ans et 10 mois. lendemain de jour critique émotionnel E8 et veille de i 9 puis P12.
novembre 1911 (15/01/1842)
Ve 24
Sa 25 E(8)
Di 26
Lu 27 I(9)
Ma 28 P(12)
Me 29
comme il s'est suicidé avec sa femme, la situation de cette dernière peut également être intéressante :
Jenny Laura Marx (26 septembre 1845-26 novembre 1911), militante socialiste, est la seconde fille de Karl Marx et de Jenny von Westphalen. Elle est l'épouse de Paul Lafargue.
Laura Marx a 66 ans et deux mois, soit en période neutre. veille de jour critique physique P18.
Paul Lafargue (Santiago de Cuba le 15 janvier 1842 - Draveil, Seine-et-Oise, le 26 novembre 1911) est un socialiste français, inspiré notamment par Proudhon, et surtout par Karl Marx.
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À 69 ans, en 1911, il se suicide avec sa femme, en se justifiant dans une courte lettre : « Sain de corps et d'esprit, je me tue avant que l'impitoyable vieillesse qui m'enlève un à un les plaisirs et les joies de l'existence et qui me dépouille de mes forces physiques et intellectuelles ne paralyse mon énergie, ne brise ma volonté et ne fasse de moi une charge à moi et aux autres ».
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suicide septennal à 69 ans et 10 mois. lendemain de jour critique émotionnel E8 et veille de i 9 puis P12.
novembre 1911 (15/01/1842)
Ve 24
Sa 25 E(8)
Di 26
Lu 27 I(9)
Ma 28 P(12)
Me 29
comme il s'est suicidé avec sa femme, la situation de cette dernière peut également être intéressante :
Jenny Laura Marx (26 septembre 1845-26 novembre 1911), militante socialiste, est la seconde fille de Karl Marx et de Jenny von Westphalen. Elle est l'épouse de Paul Lafargue.
Laura Marx a 66 ans et deux mois, soit en période neutre. veille de jour critique physique P18.
Philippe Jullian
Wikipédia :
Philippe Jullian (né à Bordeaux le 11 juillet 1919 et mort à Senlis le 25 septembre 1977), né Philippe Simounet, était un auteur, dessinateur et graveur, chroniqueur mondain et artistique de son époque. Il est le petit-fils de l'historien Camille Jullian et arrière-petit-fils du docteur Eugène Azam. Il se suicida le 25 septembre 1977, dans sa résidence secondaire de Senlis.
=================
suicide à 58 ans et 3 mois. en jour neutre mais après un épisode triple critique.
septembre 1977 (11/07/1919)
Me 21 P(6)
Je 22 P(7)
Ve 23 E(8)
Sa 24 I(9)
Di 25
Lu 26
Philippe Jullian (né à Bordeaux le 11 juillet 1919 et mort à Senlis le 25 septembre 1977), né Philippe Simounet, était un auteur, dessinateur et graveur, chroniqueur mondain et artistique de son époque. Il est le petit-fils de l'historien Camille Jullian et arrière-petit-fils du docteur Eugène Azam. Il se suicida le 25 septembre 1977, dans sa résidence secondaire de Senlis.
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suicide à 58 ans et 3 mois. en jour neutre mais après un épisode triple critique.
septembre 1977 (11/07/1919)
Me 21 P(6)
Je 22 P(7)
Ve 23 E(8)
Sa 24 I(9)
Di 25
Lu 26
Guy Debord
Wikipédia :
Guy Debord (1931-1994) est un écrivain, essayiste, cinéaste et révolutionnaire français, qui a conceptualiséce qu'il a appelé le « spectacle » dans son œuvre majeure La Société du spectacle (1967).
Il a été l'un des fondateurs de l'Internationale lettriste (1952-1957) puis de l'Internationale situationniste (1957-1972), dont il a dirigé la revue française.
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Guy Debord
Naissance 28 décembre 1931
Décès 30 novembre 1994 (à 62 ans)
suicide septennal à 62 ans (à un mois de son 63ème anniversaire)
son jour critique physique P7 et veille de critique intellectuel i 17.
Guy Debord (1931-1994) est un écrivain, essayiste, cinéaste et révolutionnaire français, qui a conceptualiséce qu'il a appelé le « spectacle » dans son œuvre majeure La Société du spectacle (1967).
Il a été l'un des fondateurs de l'Internationale lettriste (1952-1957) puis de l'Internationale situationniste (1957-1972), dont il a dirigé la revue française.
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Guy Debord
Naissance 28 décembre 1931
Décès 30 novembre 1994 (à 62 ans)
suicide septennal à 62 ans (à un mois de son 63ème anniversaire)
son jour critique physique P7 et veille de critique intellectuel i 17.
René Crevel
Wikipédia :
René Crevel, né le 10 août 1900 à Paris où il est mort le 18 juin 1935, était un écrivain et poète surréaliste français.
..................
De plus, il vient d'apprendre, le 16 juin, qu'il souffrait d'une tuberculose rénale alors qu'il se croyait guéri, comme le racontera Louis Aragon bien plus tard. La nuit suivante, il se suicide au gaz dans son appartement.
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suicide septennal à 34 ans et 10 mois. jour doublement critique physique P12 et intellectuel i26.
René Crevel, né le 10 août 1900 à Paris où il est mort le 18 juin 1935, était un écrivain et poète surréaliste français.
..................
De plus, il vient d'apprendre, le 16 juin, qu'il souffrait d'une tuberculose rénale alors qu'il se croyait guéri, comme le racontera Louis Aragon bien plus tard. La nuit suivante, il se suicide au gaz dans son appartement.
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suicide septennal à 34 ans et 10 mois. jour doublement critique physique P12 et intellectuel i26.
Jean-Louis Bory
Jean-Louis Bory, né le 25 juin 1919 à Méréville (Essonne, à l'époque Seine-et-Oise) et mort pendant la nuit du 11 au 12 juin 1979 dans le même bourg, est un acteur, écrivain, journaliste, critique cinématographique et scénariste français.
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il se suicide à deux semaines de son 60ème anniversaire. son jour critique physique P6 à l'arrivée d'un ensemble triplement critique. (physique, émotionnel, intellectuel)
juin 1979 (25/06/1919)
Di 10
Lu 11 P(6)
Ma 12 P(7)
Me 13 E(8)
Je 14 I(26)
Ve 15
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il se suicide à deux semaines de son 60ème anniversaire. son jour critique physique P6 à l'arrivée d'un ensemble triplement critique. (physique, émotionnel, intellectuel)
juin 1979 (25/06/1919)
Di 10
Lu 11 P(6)
Ma 12 P(7)
Me 13 E(8)
Je 14 I(26)
Ve 15
Michel Bernanos
Michel Bernanos (20 janvier 1923- 27 juillet 1964), poète et auteur fantastique, fils de l'écrivain français Georges Bernanos. Utilisa également comme nom de plume Michel Talbert et Michel Drowin, pour éviter la notoriété du nom de son père.
On lui doit notamment un cycle fantastique et initiatique inspiré par deux séjours au Brésil entre 1938 et 1948, centré autour du roman La Montagne morte de la vie (1967). La plupart de ses oeuvres sont parues à titre posthume.
Il s'est suicidé dans la forêt de Fontainebleau.
=============
suicide septennal : à 41 ans et six mois soit le moment précis de l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans. après un ensemble triple critique physique, émotionnel et intellectuel.
juillet 1964 (20/01/1923)
Ve 24
Sa 25 E(15)
Di 26 P(7) I(17)
Lu 27
Ma 28
On lui doit notamment un cycle fantastique et initiatique inspiré par deux séjours au Brésil entre 1938 et 1948, centré autour du roman La Montagne morte de la vie (1967). La plupart de ses oeuvres sont parues à titre posthume.
Il s'est suicidé dans la forêt de Fontainebleau.
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suicide septennal : à 41 ans et six mois soit le moment précis de l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans. après un ensemble triple critique physique, émotionnel et intellectuel.
juillet 1964 (20/01/1923)
Ve 24
Sa 25 E(15)
Di 26 P(7) I(17)
Lu 27
Ma 28
dimanche 5 décembre 2010
Vladimir Maïakovski
Wikipédia :
Vladimir Vladimirovitch Maïakovski (également sous la forme Maïakovsky ; né le 7 juillet 1893 à Bagdadi, aujourd'hui en Géorgie - décédé le 14 avril 1930 à Moscou) est un poète, dramaturge et futuriste russe.
........................
Le 14 avril 1930 à 10 h 15, le poète harassé, qui par défi jouait aussi à la roulette russe, se tire une balle dans le cœur. Le dernier acte de la vie de Maïakovski s'est déroulé à Moscou, au numéro 3 du Loubianskyi Prospekt, appartement 12. La thèse du suicide semble évidente. Le poète qui exhortait la jeunesse à vivre[6] à la mort terrible d'Essenine est lui aussi « reparti vers les étoiles ».
==================
en fait c'est le 19 juillet qu'il semble être né (notre calendrier).
suicide deux jours avant son jour critique émotionnel à 36 ans et 9 mois.
rien du point de vue suicide/cycles, (hormis s'il a déprimé depuis son 35ème anniversaire... - 1928 - sa période critique récente)
Vladimir Vladimirovitch Maïakovski (également sous la forme Maïakovsky ; né le 7 juillet 1893 à Bagdadi, aujourd'hui en Géorgie - décédé le 14 avril 1930 à Moscou) est un poète, dramaturge et futuriste russe.
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Le 14 avril 1930 à 10 h 15, le poète harassé, qui par défi jouait aussi à la roulette russe, se tire une balle dans le cœur. Le dernier acte de la vie de Maïakovski s'est déroulé à Moscou, au numéro 3 du Loubianskyi Prospekt, appartement 12. La thèse du suicide semble évidente. Le poète qui exhortait la jeunesse à vivre[6] à la mort terrible d'Essenine est lui aussi « reparti vers les étoiles ».
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en fait c'est le 19 juillet qu'il semble être né (notre calendrier).
suicide deux jours avant son jour critique émotionnel à 36 ans et 9 mois.
rien du point de vue suicide/cycles, (hormis s'il a déprimé depuis son 35ème anniversaire... - 1928 - sa période critique récente)
jeudi 2 décembre 2010
Jean Seberg
Wikipédia :
Jean Seberg, fille de Dorothy (professeur des écoles remplaçante) et Edwards Seberg apothicaire, est née le 13 novembre 1938 à Marshalltown dans l'Iowa, décédée le 30 août 1979 à Paris
...............
Une fin tragique
Le 30 août 1979, elle fut portée disparue et son corps fut retrouvé dix jours plus tard, enroulée dans une couverture à l'arrière de sa voiture dans le XVIe arrondissement de Paris, près de son domicile. On trouva dans sa main un mot d'adieu. Le rapport de police indique qu'elle a succombé à une sur-dose massive de barbituriques mais aussi d'alcool (8,2 g par litre de sang) et conclut au suicide au terme de l'enquête.
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suicide à 40 ans et 9 mois.
le lendemain de son jour critique physique P19 et intellectuel i 17.
Jean Seberg, fille de Dorothy (professeur des écoles remplaçante) et Edwards Seberg apothicaire, est née le 13 novembre 1938 à Marshalltown dans l'Iowa, décédée le 30 août 1979 à Paris
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Une fin tragique
Le 30 août 1979, elle fut portée disparue et son corps fut retrouvé dix jours plus tard, enroulée dans une couverture à l'arrière de sa voiture dans le XVIe arrondissement de Paris, près de son domicile. On trouva dans sa main un mot d'adieu. Le rapport de police indique qu'elle a succombé à une sur-dose massive de barbituriques mais aussi d'alcool (8,2 g par litre de sang) et conclut au suicide au terme de l'enquête.
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suicide à 40 ans et 9 mois.
le lendemain de son jour critique physique P19 et intellectuel i 17.
Romain Gary
Wikipédia :
Roman Kacew, dit Romain Gary, né le 8 mai 1914 à Vilnius (Lituanie) et mort le 2 décembre 1980 à Paris, est un romancier français originaire de Pologne septentrionale, unique double lauréat du Prix Goncourt.
.....................
Romain Gary se suicida le 2 décembre 1980 en se tirant une balle dans la bouche. Il laissa une lettre dans laquelle était notamment écrit : « Aucun rapport avec Jean Seberg » (l'actrice s'étant elle-même suicidée en août 1979.
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suicide à 66 ans et 7 mois.
la veille de son jour critique physique P6.
édit plutôt né le 21 mai 1914 (Wikipédia)
(2 décembre 1980 est un jour neutre en épisode critique semestriel en année i1)
mercredi 1 décembre 2010
Runer Jonsson
Wikipédia :
Runer Jonsson (* 29. Juni 1916 in Nybro; † 28. Oktober 2006) war ein schwedischer Journalist und Autor. Im deutschsprachigen Raum ist er vor allem durch die literarische Vorlage zu der Zeichentrickserie Wickie und die starken Männer bekannt.
==========
le premier numéro de la série Vic le Viking date de 1964 : Runer Jonsson a 48 ans.
décès à 90 ans et 4 mois (entrée période critique septennale des 91 ans)
il décède son jour critique physique P12.
Runer Jonsson (* 29. Juni 1916 in Nybro; † 28. Oktober 2006) war ein schwedischer Journalist und Autor. Im deutschsprachigen Raum ist er vor allem durch die literarische Vorlage zu der Zeichentrickserie Wickie und die starken Männer bekannt.
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le premier numéro de la série Vic le Viking date de 1964 : Runer Jonsson a 48 ans.
décès à 90 ans et 4 mois (entrée période critique septennale des 91 ans)
il décède son jour critique physique P12.
Adam Osborne
Wikipédia :
Adam Osborne (né le 6 mars 1939, mort le 18 mars 2003) est un écrivain britannique, éditeur de livres et de logiciels, et concepteur d'ordinateurs qui a fondé diverses sociétés aux États-Unis et ailleurs.
...................
Sa réalisation la plus célèbre est le premier ordinateur portable, l'Osborne 1, en avril 1981. Il pesait 12 kg, coûtait 1795 $ — soit la moitié du prix d'un ordinateur d'autres constructeurs aux fonctions similaires — et fonctionnait sous l'OS CP/M version 2.2. Il vendit jusqu'à 10 000 Osborne 1 par mois.
.......
==================
le premier ordinateur portable date de la période critique septennale des 42 ans de son inventeur Adam Osborne.
Osborne est décédé à 64 ans (près de son anniversaire) le lendemain de son jour critique émotionnel E8 et la veille de son jour critique intellectuel i 26.
Adam Osborne (né le 6 mars 1939, mort le 18 mars 2003) est un écrivain britannique, éditeur de livres et de logiciels, et concepteur d'ordinateurs qui a fondé diverses sociétés aux États-Unis et ailleurs.
...................
Sa réalisation la plus célèbre est le premier ordinateur portable, l'Osborne 1, en avril 1981. Il pesait 12 kg, coûtait 1795 $ — soit la moitié du prix d'un ordinateur d'autres constructeurs aux fonctions similaires — et fonctionnait sous l'OS CP/M version 2.2. Il vendit jusqu'à 10 000 Osborne 1 par mois.
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le premier ordinateur portable date de la période critique septennale des 42 ans de son inventeur Adam Osborne.
Osborne est décédé à 64 ans (près de son anniversaire) le lendemain de son jour critique émotionnel E8 et la veille de son jour critique intellectuel i 26.
dimanche 28 novembre 2010
Andrew Cunanan
Wikipédia :
Andrew Philip Cunanan (31 août 1969 - 23 juillet 1997) est un tueur en série américain. Il a notamment assassiné le couturier Gianni Versace.
................
situations :
27 avril 1997 : jour critique émotionnel E22
4 mai 1997 : jour critique physique P12- jour critique émotionnel E1.
9 mai 1997 : jour neutre mais veille de jour critique physique P18 et jour critique intellectuel i 17.
15 juillet 1997 : jour critique intellectuel i 17
23 juillet 1997 (suicide) : jour neutre mais veille de jour critique physiqueP1 et jour critique intellectuel i 26.
tout cela durant la période critique septennale des 28 ans.
Andrew Philip Cunanan (31 août 1969 - 23 juillet 1997) est un tueur en série américain. Il a notamment assassiné le couturier Gianni Versace.
................
Victimes
- Jeffrey Trail, le 27 avril 1997, ex-petit-ami
- David Madson, architecte
- Lee Miglin, le 4 mai 1997, promoteur immobilier
- William Reese, le 9 mai 1997
- Gianni Versace le 15 juillet 1997, grand-couturier
situations :
27 avril 1997 : jour critique émotionnel E22
4 mai 1997 : jour critique physique P12- jour critique émotionnel E1.
9 mai 1997 : jour neutre mais veille de jour critique physique P18 et jour critique intellectuel i 17.
15 juillet 1997 : jour critique intellectuel i 17
23 juillet 1997 (suicide) : jour neutre mais veille de jour critique physiqueP1 et jour critique intellectuel i 26.
tout cela durant la période critique septennale des 28 ans.
Sir Arthur Conan Doyle
Wikipédia :
Sir Arthur Conan Doyle, né le 22 mai 1859 à Édimbourg et mort le 7 juillet 1930 à Crowborough, dans le Sussex, est un écrivain et médecin écossais. Il doit sa célébrité à ses romans mettant en scène le détective Sherlock Holmes, considérés comme une innovation majeure du roman policier,
...........................
Son premier travail d'importance est Une étude en rouge qui paraît dans le Beeton's Christmas Annual en 1887 et voit la première apparition de Sherlock Holmes, personnage en partie inspiré par son ancien professeur d'université Joseph Bell, à qui Conan Doyle écrit : « C'est très certainement à vous que je dois Sherlock Holmes. Autour du noyau déduction, inférence et observation que je vous ai entendu enseigner, j'ai essayé de construire un homme »
===============
ainsi Sherlock Holmes semble bien être le fruit de la période critique septennale des 28 ans de Sir Conan Doyle...
décès de Sir Arthur Conan Doyle son jour critique physique P12 lendemain de E 22 et veille de i 9.
Sir Arthur Conan Doyle, né le 22 mai 1859 à Édimbourg et mort le 7 juillet 1930 à Crowborough, dans le Sussex, est un écrivain et médecin écossais. Il doit sa célébrité à ses romans mettant en scène le détective Sherlock Holmes, considérés comme une innovation majeure du roman policier,
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Son premier travail d'importance est Une étude en rouge qui paraît dans le Beeton's Christmas Annual en 1887 et voit la première apparition de Sherlock Holmes, personnage en partie inspiré par son ancien professeur d'université Joseph Bell, à qui Conan Doyle écrit : « C'est très certainement à vous que je dois Sherlock Holmes. Autour du noyau déduction, inférence et observation que je vous ai entendu enseigner, j'ai essayé de construire un homme »
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ainsi Sherlock Holmes semble bien être le fruit de la période critique septennale des 28 ans de Sir Conan Doyle...
décès de Sir Arthur Conan Doyle son jour critique physique P12 lendemain de E 22 et veille de i 9.
juillet 1930 (22/05/1859)
Di 6 E(22)
Lu 7 P(12)
Ma 8 I(9)
vendredi 26 novembre 2010
Jeanne Weber
Wikipédia :
Jeanne Weber (7 octobre 1874 – 1910) était une tueuse en série française. Surnommée "l'Ogresse de la Goutte d'Or", du nom de la rue de Paris où elle commit ses forfaits, elle a étranglé dix enfants, dont les siens. Condamnée en 1910, elle s'est pendue dans sa cellule.
==========
les dates de ses meurtres (du moins des trois mentionnés dans Wikipédia), ont l'air de correspondre à des jours critiques (jours pulsions) de ses cycles :
2 mars 1905 : jour critique physique P18 - (lendemain de jour critique physique E15 et veille de i 17)
25 mars 1905 : jour critique physique P18
5 avril 1905 : jour triple critique physique P6 - émotionnel E22 - intellectuel i 17
en 1905 elle a 31 ans mais apparemment ses meurtres ont démarré avant : je n'ai pas trouvé non plus la date de décès de ses propres enfants, qu'elle aurait aussi tués.
pas trouvé le jour de son décès qui serait un suicide, à 35 ou 36 ans (période critique septennale)
Wikipédia allemand précise un démarrage en 1902 où elle aurait tué deux enfants. cela correspond effectivement à la période critique septennale des 28 ans.
Jeanne Weber (7 octobre 1874 – 1910) était une tueuse en série française. Surnommée "l'Ogresse de la Goutte d'Or", du nom de la rue de Paris où elle commit ses forfaits, elle a étranglé dix enfants, dont les siens. Condamnée en 1910, elle s'est pendue dans sa cellule.
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les dates de ses meurtres (du moins des trois mentionnés dans Wikipédia), ont l'air de correspondre à des jours critiques (jours pulsions) de ses cycles :
2 mars 1905 : jour critique physique P18 - (lendemain de jour critique physique E15 et veille de i 17)
25 mars 1905 : jour critique physique P18
5 avril 1905 : jour triple critique physique P6 - émotionnel E22 - intellectuel i 17
en 1905 elle a 31 ans mais apparemment ses meurtres ont démarré avant : je n'ai pas trouvé non plus la date de décès de ses propres enfants, qu'elle aurait aussi tués.
pas trouvé le jour de son décès qui serait un suicide, à 35 ou 36 ans (période critique septennale)
Wikipédia allemand précise un démarrage en 1902 où elle aurait tué deux enfants. cela correspond effectivement à la période critique septennale des 28 ans.
jeudi 25 novembre 2010
Yukio Mishima
Wikipédia :
Yukio Mishima de son vrai nom Kimitake Hiraoka est un écrivain japonais, né le 14 janvier 1925 et suicidé par seppuku le 25 novembre 1970.
..............
Suicide par éventrement.
Au cours de l'année 1970, il achève sa tétralogie La Mer de la fertilité avec son quatrième tome, L'Ange en décomposition. Le 25 novembre, il poste à son éditeur la fin de son manuscrit puis se rend au Ministère des armées accompagné de quatre jeunes disciples. Au deuxième étage de l'École Militaire du quartier général du Ministère de la Défense, quartier d'Ichigaya (en) à Shinjuku (Tokyo), aujourd'hui Mémorial des forces japonaises d'autodéfense, il prend en otage le général commandant en chef des forces d'autodéfense et fait convoquer les troupes : il leur tient alors un discours en faveur du Japon traditionnel et de l'empereur. La réaction des 800 soldats est vite hostile. Devant les huées, il se retire vers 11 h. Suivant le rituel, Yukio Mishima se donne la mort par seppuku ; un des membres de Tatenokai, Masakatsu Morita (en), devait accomplir la décapitation mais devant ses difficultés (il tremblait), c’est Hiroyasu Koga (en) qui termine le geste. Morita suivra ensuite Mishima dans la mort. Ce coup d'éclat avait été minutieusement préparé pendant plus d'une année ; Mishima avait même décrit une action très similaire dans son roman Chevaux échappés, avec une fin tout aussi tragique. Certains ont avancé que cette tentative de coup d'État n’était qu’un prétexte symbolique destiné à accomplir le suicide rituel que Mishima avait toujours fantasmé et qu'il avait depuis longtemps prémédité et mis en scène.
===============
c'est son jour critique émotionnel E 8 que Yukio Mishima s'est fait seppuku : çà aide...
Yukio Mishima de son vrai nom Kimitake Hiraoka est un écrivain japonais, né le 14 janvier 1925 et suicidé par seppuku le 25 novembre 1970.
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Suicide par éventrement.
Au cours de l'année 1970, il achève sa tétralogie La Mer de la fertilité avec son quatrième tome, L'Ange en décomposition. Le 25 novembre, il poste à son éditeur la fin de son manuscrit puis se rend au Ministère des armées accompagné de quatre jeunes disciples. Au deuxième étage de l'École Militaire du quartier général du Ministère de la Défense, quartier d'Ichigaya (en) à Shinjuku (Tokyo), aujourd'hui Mémorial des forces japonaises d'autodéfense, il prend en otage le général commandant en chef des forces d'autodéfense et fait convoquer les troupes : il leur tient alors un discours en faveur du Japon traditionnel et de l'empereur. La réaction des 800 soldats est vite hostile. Devant les huées, il se retire vers 11 h. Suivant le rituel, Yukio Mishima se donne la mort par seppuku ; un des membres de Tatenokai, Masakatsu Morita (en), devait accomplir la décapitation mais devant ses difficultés (il tremblait), c’est Hiroyasu Koga (en) qui termine le geste. Morita suivra ensuite Mishima dans la mort. Ce coup d'éclat avait été minutieusement préparé pendant plus d'une année ; Mishima avait même décrit une action très similaire dans son roman Chevaux échappés, avec une fin tout aussi tragique. Certains ont avancé que cette tentative de coup d'État n’était qu’un prétexte symbolique destiné à accomplir le suicide rituel que Mishima avait toujours fantasmé et qu'il avait depuis longtemps prémédité et mis en scène.
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c'est son jour critique émotionnel E 8 que Yukio Mishima s'est fait seppuku : çà aide...
James Pierpont
Wikipédia :
James Lord Pierpont (April 25, 1822 - August 5, 1893) was an American songwriter, arranger, organist, and composer, best known for writing and composing Jingle Bells in 1857, originally entitled "The One Horse Open Sleigh". He was born in Boston, Massachusetts, and died in Winter Haven, Florida. His composition "Jingle Bells" has become synonymous with the Christmas holiday and is one of the most performed and most recognizable songs in the world.
===============
"known for writing and composing Jingle Bells in 1857",
one of the most performed and most recognizable songs in the world.
eh oui... encore une oeuvre septennale ce cher Jingle Bells... James Pierpont l'aurait écrit et composé à l'âge de 35 ans...
son décès est arrivé la veille de son jour critique physique P1, à 71 ans et trois mois.
édit : je trouve un autre détail intéressant sur la page Wikipédia "Jingle Bells"
"Composition
Plaque at 19 High Street, Medford, MA.James Lord Pierpont originally composed his most famous song in 1850. A plaque commemorating the "birthplace" of "Jingle Bells" adorns the side of a building in Medford, MA. Pierpont wrote the song there, at the former Simpson Tavern, now 19 High Street in the center of Medford Square. According to the Medford Historical Society, the song was inspired by the town's popular sleigh races during the 1800s.
"Jingle Bells" was originally copyrighted with the name "One Horse Open Sleigh" on September 16, 1857. It was reprinted in 1859 with the revised title of "Jingle Bells, or the One Horse Open Sleigh". The song's copyright status has since passed into public domain.
=======
il faut donc éventuellement remonter à 1850 pour l'écriture de Jingle Bells et sa parution en 1857.
plutôt que la période critique septennale des 35 ans, ce serait alors celle des 28 ans qui serait la période inventive... :-)
James Lord Pierpont (April 25, 1822 - August 5, 1893) was an American songwriter, arranger, organist, and composer, best known for writing and composing Jingle Bells in 1857, originally entitled "The One Horse Open Sleigh". He was born in Boston, Massachusetts, and died in Winter Haven, Florida. His composition "Jingle Bells" has become synonymous with the Christmas holiday and is one of the most performed and most recognizable songs in the world.
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"known for writing and composing Jingle Bells in 1857",
one of the most performed and most recognizable songs in the world.
eh oui... encore une oeuvre septennale ce cher Jingle Bells... James Pierpont l'aurait écrit et composé à l'âge de 35 ans...
son décès est arrivé la veille de son jour critique physique P1, à 71 ans et trois mois.
édit : je trouve un autre détail intéressant sur la page Wikipédia "Jingle Bells"
"Composition
Plaque at 19 High Street, Medford, MA.James Lord Pierpont originally composed his most famous song in 1850. A plaque commemorating the "birthplace" of "Jingle Bells" adorns the side of a building in Medford, MA. Pierpont wrote the song there, at the former Simpson Tavern, now 19 High Street in the center of Medford Square. According to the Medford Historical Society, the song was inspired by the town's popular sleigh races during the 1800s.
"Jingle Bells" was originally copyrighted with the name "One Horse Open Sleigh" on September 16, 1857. It was reprinted in 1859 with the revised title of "Jingle Bells, or the One Horse Open Sleigh". The song's copyright status has since passed into public domain.
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il faut donc éventuellement remonter à 1850 pour l'écriture de Jingle Bells et sa parution en 1857.
plutôt que la période critique septennale des 35 ans, ce serait alors celle des 28 ans qui serait la période inventive... :-)
dimanche 21 novembre 2010
Uwe Barschel
Uwe Barschel (* 13. Mai 1944 in Glienicke/Nordbahn; † in der Nacht vom 10. zum 11. Oktober 1987 in Genf) war ein deutscher Politiker (CDU). Er war von 1982 bis 1987 Ministerpräsident Schleswig-Holsteins. Kurz nachdem ihn ein während des Landtagswahlkampfs aufgekommener Skandal, der als Barschel-Affäre Aufsehen erregte, zum Rücktritt veranlasst hatte, wurde er am 11. Oktober 1987 im Hotel Beau-Rivage in Genf tot aufgefunden.
................
voici sa situation au moment de sa démission (25/09/1987) et au moment de son décès (la nuit du 10 au 11/10/1987) :
septembre 1987 (13/05/1944)
Ma 22
Me 23
Je 24
Ve 25 I(1)
Sa 26 P(18) E(22)
Di 27
Lu 28
octobre 1987 (13/05/1944)
Me 7
Je 8 P(7)
Ve 9
Sa 10 E(8)
Di 11 I(17)
Lu 12
Ma 13 P(12)
le jour de la démission nous avons un jour critique intellectuel qui donne le soir sur un jour critique physique et un jour critique émotionnel : situation triplement critique. ce type de décision peut donc concorder avec l'état psychique et émotionnel de la personne à ce moment-là.
le jour du décès nous avons un jour critique émotionnel E8 qui donne sur un jour critique intellectuel i 17.
l'intéressé a 43 ans et 5 mois. il vient de sortir, à 43 ans, de sa période critique septennale des 42 ans.
tout cela a plutôt tendance à aller dans le sens d'un suicide... puisque on hésite apparemment entre un suicide et un assassinat... (le jour critique émotionnel est le "jour du suicide" : il est fréquemment présent en cas de passage à l'acte car c'est un jour de pulsions ... suicidaires si on a des tendances dans ce sens... ou si on est gravement désespéré pour une raison ou une autre)
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voici sa situation au moment de sa démission (25/09/1987) et au moment de son décès (la nuit du 10 au 11/10/1987) :
septembre 1987 (13/05/1944)
Ma 22
Me 23
Je 24
Ve 25 I(1)
Sa 26 P(18) E(22)
Di 27
Lu 28
octobre 1987 (13/05/1944)
Me 7
Je 8 P(7)
Ve 9
Sa 10 E(8)
Di 11 I(17)
Lu 12
Ma 13 P(12)
le jour de la démission nous avons un jour critique intellectuel qui donne le soir sur un jour critique physique et un jour critique émotionnel : situation triplement critique. ce type de décision peut donc concorder avec l'état psychique et émotionnel de la personne à ce moment-là.
le jour du décès nous avons un jour critique émotionnel E8 qui donne sur un jour critique intellectuel i 17.
l'intéressé a 43 ans et 5 mois. il vient de sortir, à 43 ans, de sa période critique septennale des 42 ans.
tout cela a plutôt tendance à aller dans le sens d'un suicide... puisque on hésite apparemment entre un suicide et un assassinat... (le jour critique émotionnel est le "jour du suicide" : il est fréquemment présent en cas de passage à l'acte car c'est un jour de pulsions ... suicidaires si on a des tendances dans ce sens... ou si on est gravement désespéré pour une raison ou une autre)
l'affaire Sirven
Wikipédia :
Pierre-Paul Sirven (1709–1777) is one of Voltaire's causes célèbres in his campaign to écraser l'infame (crush infamy).
Background
Sirven became an archivist and notary in Castres, southern France, in 1736. He was a Protestant with three daughters, the middle one, Elizabeth, was mentally handicapped.
Protestants suffered serious disabilities in France at the time and were frequently persecuted by the authorities, often on flimsy excuses. The case of Jean Calas, the subject of another of Voltaire’s campaigns, had shown that legal authorities were fully prepared to ignore basic principles of law and justice in acting against members of the minority religion. The Toulouse parlement (high court) which took the decision in the Calas case also had jurisdiction over the authorities that would eventually try Sirven.
Elizabeth disappeared on 6 March 1760, aged 21. After having searched for her without success, Sirven learned that she had been taken into the convent of the Dames Noires (the ‘black ladies’, a convent founded in 1686 to keep daughters of Protestants sent to them under a lettre de cachet, the infamous means by which certain persons in authority could lock away those against whom they had a grudge, without trial or appeal). On 9 October 1760, Elizabeth suffered such a mental breakdown as a result of the ill treatment she received from the Dames Noires that they released her.
Sirven was so angry over the state of his daughter that he publicly denounced her treatment by the Dames Noires. They retaliated with a law suit accusing him of mistreating his daughter in order to prevent her conversion to Catholicism. They obtained an order against Sirven to allow Elizabeth free access to the convent and to accompany her himself to the services.
At the end of August 1761, the Sirven family moved to Saint Alby, near Mazamet, to avoid further persecution. On 16 December, Elizabeth disappeared again. Two weeks of searching yielded no results but on 3 January 1762 three children found her body down a well.
Initially medical examinations found that she had suffered no violence but, under pressure from the public prosecutor Trinquier of Mazamet, they changed their evidence to say that Elizabeth had not died by drowning. A warrant for Sirven’s arrest was issued on 20 January 1762, but the family was able to escape in time. A sentence passed on them in absentia on 29 March 1764 condemned the father to be broken on the wheel, the mother to be hanged and the two surviving daughters to be banished. Their effigies were burned in Mazamet on 11 September 1764.
=======================
données intéressantes ici également : le jour critique émotionnel est le jour des fugues, des crises et des suicides... s'agissant d'un cycle de sept jours depuis la naissance il s'agit toujours du jour de la semaine où on est né donc jour critique émotionnel et ses conséquences toujours le même jour de la semaine...
je n'ai pas trouvé la date de naissance de Elizabeth Sirven... (hormis 1739)
mais je dispose de trois dates de ses "disparitions" ou "braekdown", la dernière disparition au fond d'un puits...
on peut donc de voir si c'est chaque fois le même jour de la semaine et curieusement voici :
- Elizabeth disappeared on 6 March 1760, aged 21. c'est un JEUDI et période critique septennale des 21 ans.
- On 9 October 1760, Elizabeth suffered such a mental breakdown : encore un JEUDI et toujours période critique septennale des 21 ans, apparemment.
- On 16 December (1761), Elizabeth disappeared again. Two weeks of searching yielded no results but on 3 January 1762 three children found her body down a well. : 16/12/1761 c'est un mercredi mais c'est la veille de JEUDI peut-être jour critique émotionnel ? (faudrait savoir si elle a disparu le matin ou le soir) (j'ai aussi trouvé qu'elle aurait disparu à 24 ans or 1739-1761 font 22 ans ce qui collerait mieux avec un geste désespéré de la période critique septennale)
Pierre-Paul Sirven (1709–1777) is one of Voltaire's causes célèbres in his campaign to écraser l'infame (crush infamy).
Background
Sirven became an archivist and notary in Castres, southern France, in 1736. He was a Protestant with three daughters, the middle one, Elizabeth, was mentally handicapped.
Protestants suffered serious disabilities in France at the time and were frequently persecuted by the authorities, often on flimsy excuses. The case of Jean Calas, the subject of another of Voltaire’s campaigns, had shown that legal authorities were fully prepared to ignore basic principles of law and justice in acting against members of the minority religion. The Toulouse parlement (high court) which took the decision in the Calas case also had jurisdiction over the authorities that would eventually try Sirven.
Elizabeth disappeared on 6 March 1760, aged 21. After having searched for her without success, Sirven learned that she had been taken into the convent of the Dames Noires (the ‘black ladies’, a convent founded in 1686 to keep daughters of Protestants sent to them under a lettre de cachet, the infamous means by which certain persons in authority could lock away those against whom they had a grudge, without trial or appeal). On 9 October 1760, Elizabeth suffered such a mental breakdown as a result of the ill treatment she received from the Dames Noires that they released her.
Sirven was so angry over the state of his daughter that he publicly denounced her treatment by the Dames Noires. They retaliated with a law suit accusing him of mistreating his daughter in order to prevent her conversion to Catholicism. They obtained an order against Sirven to allow Elizabeth free access to the convent and to accompany her himself to the services.
At the end of August 1761, the Sirven family moved to Saint Alby, near Mazamet, to avoid further persecution. On 16 December, Elizabeth disappeared again. Two weeks of searching yielded no results but on 3 January 1762 three children found her body down a well.
Initially medical examinations found that she had suffered no violence but, under pressure from the public prosecutor Trinquier of Mazamet, they changed their evidence to say that Elizabeth had not died by drowning. A warrant for Sirven’s arrest was issued on 20 January 1762, but the family was able to escape in time. A sentence passed on them in absentia on 29 March 1764 condemned the father to be broken on the wheel, the mother to be hanged and the two surviving daughters to be banished. Their effigies were burned in Mazamet on 11 September 1764.
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données intéressantes ici également : le jour critique émotionnel est le jour des fugues, des crises et des suicides... s'agissant d'un cycle de sept jours depuis la naissance il s'agit toujours du jour de la semaine où on est né donc jour critique émotionnel et ses conséquences toujours le même jour de la semaine...
je n'ai pas trouvé la date de naissance de Elizabeth Sirven... (hormis 1739)
mais je dispose de trois dates de ses "disparitions" ou "braekdown", la dernière disparition au fond d'un puits...
on peut donc de voir si c'est chaque fois le même jour de la semaine et curieusement voici :
- Elizabeth disappeared on 6 March 1760, aged 21. c'est un JEUDI et période critique septennale des 21 ans.
- On 9 October 1760, Elizabeth suffered such a mental breakdown : encore un JEUDI et toujours période critique septennale des 21 ans, apparemment.
- On 16 December (1761), Elizabeth disappeared again. Two weeks of searching yielded no results but on 3 January 1762 three children found her body down a well. : 16/12/1761 c'est un mercredi mais c'est la veille de JEUDI peut-être jour critique émotionnel ? (faudrait savoir si elle a disparu le matin ou le soir) (j'ai aussi trouvé qu'elle aurait disparu à 24 ans or 1739-1761 font 22 ans ce qui collerait mieux avec un geste désespéré de la période critique septennale)
affaire Calas
Wikipédia :
L'affaire Calas est une affaire judiciaire qui se déroula au milieu du XVIIIe siècle à Toulouse, rendue célèbre par l'intervention de Voltaire.
L'affaire est révélatrice du traitement, à l'époque, d'un suspect, puis accusé, sans l'appui d'un avocat (remplacé par des libelles nommés factums), où une hiérarchie des preuves (adminicule et monitoire), le secret de l'instruction et une procédure inquisitoriale transforment le suspect en victime expiatoire.
L'affaire
La famille Calas habitait au 16, rue des Filatiers (aujourd'hui n° 50) à Toulouse. Le 13 octobre 1761, le fils aîné, Marc-Antoine, est retrouvé pendu dans la boutique familiale, à une porte. Meurtre ou suicide ? Toujours est-il que les Calas (le père et le frère cadet en particulier) sont accusés du meurtre alors que ceux-ci prétendent avoir détaché Marc-Antoine pour que ce dernier ne subisse pas le traitement alors infligé aux suicidés.
Mais les Calas, de confession protestante, sauf l'un des fils, Louis, converti au catholicisme, continuent à pratiquer leur foi, et cela suffit pour que le capitoul David de Beaudrigue, convaincu par des rumeurs de voisinage alléguant la volonté de Marc-Antoine de choisir réellement la religion catholique, exige un complément d'enquête et fasse soumettre Jean Calas à la question.
L'étranglement est infligé à Jean Calas après le verdict du procès par le parlement de Toulouse. Ce dernier le condamne à mort le 10 mars 1762, sans que le jugement ne soit motivé. Calas est condamné au supplice de la roue. Il subit la question, une longue séance de torture, mais n'avoue rien. Il clame son innocence. Roué Place Saint-Georges, Jean Calas est étranglé puis brûlé deux heures plus tard.
Exilé, un autre fils de Jean Calas, Pierre, se rend dans la ville calviniste de Genève, où il rencontre Voltaire. Le philosophe croit d'abord l'accusation fondée et rédige dans un premier temps une lettre incendiaire sur Jean Calas. Mais, convaincu par Pierre de son innocence, il forme par la suite un groupe de pression avec ses amis et utilise son ironie corrosive pour que justice soit faite.
Afin d'obtenir à la révision du procès, Voltaire publie, en 1763, l'ouvrage Traité sur la tolérance à l'occasion de la mort de Jean Calas tandis que la famille obtient un entretien à Versailles auprès de Louis XV. Le capitoul, c'est-à-dire l'officier municipal de Toulouse, qui avait largement contribué à monter les fausses accusations contre Calas, est destitué. En 1765, Voltaire réussit à faire réviser le procès et à obtenir un arrêt qui déclare Calas innocent et réhabilite sa mémoire.
................
Chronologie détaillée.
19 mars 1698 : Naissance de Jean Calas à Lacabarède, près de Castres. De famille protestante, il reçoit cependant le baptême de l'Église catholique quatre jours plus tard.
...............
: Marc-Antoine (né le 7 novembre 1732,
...............13 octobre 1761 : Marc Antoine est trouvé étranglé au rez de chaussée de la maison.
15 octobre 1761 : Le capitoul David de Beaudrigue mène l'enquête, il interroge Jean et Pierre Calas, ainsi que Gaubert Lavaisse, invité le soir même du drame. Les accusés révèlent avoir trouvé Marc Antoine pendu, et avoir maquillé le suicide en meurtre, puis avoir menti aux enquêteurs afin d'épargner au défunt la honte du suicide. À l'époque, les corps des suicidés sont en effet soumis à un jugement infamant. Fort de ces éléments, le clergé toulousain et la populace réclament un châtiment exemplaire pour cette famille accusée d'un crime atroce : avoir assassiné leur fils qui voulait se convertir au catholicisme. Il réclament le châtiment des hérétiques. Aucune enqête ne sera menée afin de savoir si Marc Antoine avait vraiment l'intention ou non de se convertir. Il sera déclaré martyr et enterré selon le rite catholique, son cercueil sera escorté par quarante prêtres pénitents blancs au milieu d'une foule immense.
18 novembre 1761 : Les capitouls affirment que Jean, Anne-Rose, Pierre Calas, Jeanne Viguière la servante, et Gaubert Lavaysse sont coupables. Il est décidé de soumettre à la torture Jean Calas, sa femme et son fils Pierre, et d'infliger la question à Gaubert Lavaysse et à Jeanne Viguière. Ils font par la suite appel devant le juge de Toulouse.
9 mars 1762 : Sur les conclusions du procureur général Riquet de Bonrepos, par huit voix sur treize, le parlement condamne au supplice Jean Calas. L'exécution à lieu le 10 mars suivant ; Jean Calas meurt roué, place Saint-Georges, en proclamant son innocence. Son corps est brûlé sur un bûcher et les cendres jetées au vent.
18 mars 1762 : Pierre est banni ; sa mère, Jeanne Viguière et Lavaisse sont acquittés ; les deux filles Calas sont quand à elles enfermées dans des couvents ; les biens de la famille sont confisqués.
14 avril 1763 : Antoine Louis présente publiquement Mémoire sur une question anatomique relative à la jurisprudence, dans lequel on établit les principes pour distinguer à l'inspection d'un corps trouvé pendu le signe du suicide d'avec ceux de l'assassinat.
9 mars 1765 : Calas et sa famille sont définitivement réhabilités par une assemblée de quatre-vingt juges et par le conseil du roi. Le roi accorde en outre à la famille une pension de 36 000 livres.
Voltaire est ainsi considéré comme le premier écrivain français à s'engager publiquement dans une affaire judiciaire.
=============
on peut vérifier la situation des cycles de Marc Antoine Calas, puisque nous avons sa date de naissance :
octobre 1761 (7/11/1732)
Sa 10
Di 11
Lu 12
Ma 13
Me 14 P(12) I(9)
Je 15
Ve 16 E(15)
Sa 17
il avait 28 ans et onze mois et se trouvait donc à un mois de son 29ème anniversaire...
le suicide a eu lieu la veille d'un jour doublement critique P12 i 9 (il serait intéressant de savoir si c'est le soir ou le matin)
ce qui m'intrigue cependant c'est que le jour du suicide est d'ordinaire plutôt le jour critique émotionnel ou la veille de celui-ci. du coup je me demande si la date de naissance est bonne car je trouve tantôt né le 7 novembre 1732, et tantôt baptisé le 7 novembre 1732...
est-ce bien le même jour ? (bien que à l'époque semble-t-il on baptisait de préférence de suite pour que l'enfant soit accepté au paradis en cas de décès...)
http://books.google.fr/books?id=QCQaMOkbZloC&lpg=PA12&ots=SBlcPMU3TR&dq=Calas%20Marc%20Antoine%207%20novembre%201732&pg=PA12#v=onepage&q=Calas%20Marc%20Antoine%207%20novembre%201732&f=false
dit aussi que Marc Antoine avait des idées suicidaires par moment...
en fait l'élément le plus important est la situation en période critique septennale des 28 ans, et ensuite l'approche de la date anniversaire... (aussi période de possible dépression), puis le jour critique physique P12 et intellectuel i 9.
L'affaire Calas est une affaire judiciaire qui se déroula au milieu du XVIIIe siècle à Toulouse, rendue célèbre par l'intervention de Voltaire.
L'affaire est révélatrice du traitement, à l'époque, d'un suspect, puis accusé, sans l'appui d'un avocat (remplacé par des libelles nommés factums), où une hiérarchie des preuves (adminicule et monitoire), le secret de l'instruction et une procédure inquisitoriale transforment le suspect en victime expiatoire.
L'affaire
La famille Calas habitait au 16, rue des Filatiers (aujourd'hui n° 50) à Toulouse. Le 13 octobre 1761, le fils aîné, Marc-Antoine, est retrouvé pendu dans la boutique familiale, à une porte. Meurtre ou suicide ? Toujours est-il que les Calas (le père et le frère cadet en particulier) sont accusés du meurtre alors que ceux-ci prétendent avoir détaché Marc-Antoine pour que ce dernier ne subisse pas le traitement alors infligé aux suicidés.
Mais les Calas, de confession protestante, sauf l'un des fils, Louis, converti au catholicisme, continuent à pratiquer leur foi, et cela suffit pour que le capitoul David de Beaudrigue, convaincu par des rumeurs de voisinage alléguant la volonté de Marc-Antoine de choisir réellement la religion catholique, exige un complément d'enquête et fasse soumettre Jean Calas à la question.
L'étranglement est infligé à Jean Calas après le verdict du procès par le parlement de Toulouse. Ce dernier le condamne à mort le 10 mars 1762, sans que le jugement ne soit motivé. Calas est condamné au supplice de la roue. Il subit la question, une longue séance de torture, mais n'avoue rien. Il clame son innocence. Roué Place Saint-Georges, Jean Calas est étranglé puis brûlé deux heures plus tard.
Exilé, un autre fils de Jean Calas, Pierre, se rend dans la ville calviniste de Genève, où il rencontre Voltaire. Le philosophe croit d'abord l'accusation fondée et rédige dans un premier temps une lettre incendiaire sur Jean Calas. Mais, convaincu par Pierre de son innocence, il forme par la suite un groupe de pression avec ses amis et utilise son ironie corrosive pour que justice soit faite.
Afin d'obtenir à la révision du procès, Voltaire publie, en 1763, l'ouvrage Traité sur la tolérance à l'occasion de la mort de Jean Calas tandis que la famille obtient un entretien à Versailles auprès de Louis XV. Le capitoul, c'est-à-dire l'officier municipal de Toulouse, qui avait largement contribué à monter les fausses accusations contre Calas, est destitué. En 1765, Voltaire réussit à faire réviser le procès et à obtenir un arrêt qui déclare Calas innocent et réhabilite sa mémoire.
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Chronologie détaillée.
19 mars 1698 : Naissance de Jean Calas à Lacabarède, près de Castres. De famille protestante, il reçoit cependant le baptême de l'Église catholique quatre jours plus tard.
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: Marc-Antoine (né le 7 novembre 1732,
...............13 octobre 1761 : Marc Antoine est trouvé étranglé au rez de chaussée de la maison.
15 octobre 1761 : Le capitoul David de Beaudrigue mène l'enquête, il interroge Jean et Pierre Calas, ainsi que Gaubert Lavaisse, invité le soir même du drame. Les accusés révèlent avoir trouvé Marc Antoine pendu, et avoir maquillé le suicide en meurtre, puis avoir menti aux enquêteurs afin d'épargner au défunt la honte du suicide. À l'époque, les corps des suicidés sont en effet soumis à un jugement infamant. Fort de ces éléments, le clergé toulousain et la populace réclament un châtiment exemplaire pour cette famille accusée d'un crime atroce : avoir assassiné leur fils qui voulait se convertir au catholicisme. Il réclament le châtiment des hérétiques. Aucune enqête ne sera menée afin de savoir si Marc Antoine avait vraiment l'intention ou non de se convertir. Il sera déclaré martyr et enterré selon le rite catholique, son cercueil sera escorté par quarante prêtres pénitents blancs au milieu d'une foule immense.
18 novembre 1761 : Les capitouls affirment que Jean, Anne-Rose, Pierre Calas, Jeanne Viguière la servante, et Gaubert Lavaysse sont coupables. Il est décidé de soumettre à la torture Jean Calas, sa femme et son fils Pierre, et d'infliger la question à Gaubert Lavaysse et à Jeanne Viguière. Ils font par la suite appel devant le juge de Toulouse.
9 mars 1762 : Sur les conclusions du procureur général Riquet de Bonrepos, par huit voix sur treize, le parlement condamne au supplice Jean Calas. L'exécution à lieu le 10 mars suivant ; Jean Calas meurt roué, place Saint-Georges, en proclamant son innocence. Son corps est brûlé sur un bûcher et les cendres jetées au vent.
18 mars 1762 : Pierre est banni ; sa mère, Jeanne Viguière et Lavaisse sont acquittés ; les deux filles Calas sont quand à elles enfermées dans des couvents ; les biens de la famille sont confisqués.
14 avril 1763 : Antoine Louis présente publiquement Mémoire sur une question anatomique relative à la jurisprudence, dans lequel on établit les principes pour distinguer à l'inspection d'un corps trouvé pendu le signe du suicide d'avec ceux de l'assassinat.
9 mars 1765 : Calas et sa famille sont définitivement réhabilités par une assemblée de quatre-vingt juges et par le conseil du roi. Le roi accorde en outre à la famille une pension de 36 000 livres.
Voltaire est ainsi considéré comme le premier écrivain français à s'engager publiquement dans une affaire judiciaire.
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on peut vérifier la situation des cycles de Marc Antoine Calas, puisque nous avons sa date de naissance :
octobre 1761 (7/11/1732)
Sa 10
Di 11
Lu 12
Ma 13
Me 14 P(12) I(9)
Je 15
Ve 16 E(15)
Sa 17
il avait 28 ans et onze mois et se trouvait donc à un mois de son 29ème anniversaire...
le suicide a eu lieu la veille d'un jour doublement critique P12 i 9 (il serait intéressant de savoir si c'est le soir ou le matin)
ce qui m'intrigue cependant c'est que le jour du suicide est d'ordinaire plutôt le jour critique émotionnel ou la veille de celui-ci. du coup je me demande si la date de naissance est bonne car je trouve tantôt né le 7 novembre 1732, et tantôt baptisé le 7 novembre 1732...
est-ce bien le même jour ? (bien que à l'époque semble-t-il on baptisait de préférence de suite pour que l'enfant soit accepté au paradis en cas de décès...)
http://books.google.fr/books?id=QCQaMOkbZloC&lpg=PA12&ots=SBlcPMU3TR&dq=Calas%20Marc%20Antoine%207%20novembre%201732&pg=PA12#v=onepage&q=Calas%20Marc%20Antoine%207%20novembre%201732&f=false
dit aussi que Marc Antoine avait des idées suicidaires par moment...
en fait l'élément le plus important est la situation en période critique septennale des 28 ans, et ensuite l'approche de la date anniversaire... (aussi période de possible dépression), puis le jour critique physique P12 et intellectuel i 9.
Voltaire
Wikipédia :
François Marie Arouet, dit Voltaire - l'origine la plus couramment acceptée de ce pseudonyme est l'anagramme obtenue à partir des lettres capitales AROUET L(e) J(eune) écrites en latin AROVETLI -, né le 21 novembre 1694 à Paris où il meurt le 30 mai 1778, est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective des Français. Il inaugure en effet la figure de l’intellectuel engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser.
....................
================
il est né un 21 novembre... en 1694.
il décède à 83 ans et six mois, soit précisément au moment de l'entrée dans sa période critique septennale des 84 ans, et à l'entrée dans son jour critique émotionnel E15...
les bonnes portes, en somme...
François Marie Arouet, dit Voltaire - l'origine la plus couramment acceptée de ce pseudonyme est l'anagramme obtenue à partir des lettres capitales AROUET L(e) J(eune) écrites en latin AROVETLI -, né le 21 novembre 1694 à Paris où il meurt le 30 mai 1778, est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective des Français. Il inaugure en effet la figure de l’intellectuel engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser.
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il est né un 21 novembre... en 1694.
il décède à 83 ans et six mois, soit précisément au moment de l'entrée dans sa période critique septennale des 84 ans, et à l'entrée dans son jour critique émotionnel E15...
les bonnes portes, en somme...
mercredi 17 novembre 2010
Roland Freisler
Wikipédia :
Roland Freisler (né le 30 octobre 1893 à Celle (Allemagne) – mort le 3 février 1945 à Berlin) était un juriste allemand. Il débuta sa carrière sous la République de Weimar, puis la continua sous le Troisième Reich. Il accéda en août 1942 à la présidence du Volksgerichtshof, la plus haute cour de l'État national-socialiste pour les affaires pénales politiques, fonction qu'il occupera jusqu'à sa mort lors d'une attaque aérienne sur Berlin, trois mois avant la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Il est considéré comme étant le juge responsable de milliers de condamnations à mort prononcées dans les procès des trois dernières années du régime national-socialiste - des procès généralement publics dont les jugements étaient souvent établis d'avance et qu'il présidait ; il est aujourd'hui le juge pénal du Troisième Reich le plus connu de triste mémoire. Sûr de lui, irascible et aimant à humilier les accusés, il est un exemple caractéristique des violations juridiques au temps du nazisme dans le cadre de la terreur nationale organisée par le régime. En effet il était le représentant de la terreur judiciaire nazie, en particulier dans la poursuite des participants au complot contre Adolf Hitler, après l'attentat du 20 juillet 1944.
.........................
En 1927, le Gauleiter (chef de région) du NSDAP, Karl Weinrich, caractérisait ainsi le camarade de parti Roland Freisler dans un rapport à la direction du parti à Munich :
Sur le plan rhétorique, il est notre meilleur orateur [...]. C'est surtout sur les foules qu'il exerce une influence, alors qu'il est généralement rejeté par les hommes doués de raison. Le camarade de parti Freisler n'est utilisable qu'en tant qu'orateur. Comme chef, il n'est pas à sa place, car peu fiable et trop sujet à des sautes d'humeur.
.........................
Le 20 août 1942, Freisler fut nommé président du Volksgerichtshof par Adolf Hitler, succédant ainsi à Otto Thierack, lui-même nommé ministre de la justice du Reich. Le Volksgerichtshof avait été fondé en 1934 pour traiter des cas de haute trahison. Son champ de compétence fut ensuite élargi à d'autres crimes visant la sûreté de l'État. Sous la présidence de Freisler, le nombre de condamnations à mort grimpa en flèche ; environ 90 % des procès se terminaient avec une condamnation à mort ou une peine de prison à vie, souvent décidées avant même le commencement du procès. Entre 1942 et 1945, plus de 5 000 peines capitales furent prononcées par le Volksgerichtshof, dont environ 2 600 sous la présidence de Freisler. Freisler seul, en trois ans d'activité au Volksgerichtshof, prononça autant de condamnations à mort que toutes les autres chambres du Volksgerichtshof réunies pendant la durée de vie totale de ce tribunal d'exception de 1934 à 1945.
Ses actes les plus célèbres sont la condamnation d'Hans et Sophie Scholl, d'Alexander Schmorell et des autres membres de la Rose blanche, à la peine capitale, ainsi que celle des conjurés de l'attentat du 20 juillet 1944 contre Hitler.
La cause exacte de la mort de Freisler reste inconnue. Probablement est-il mort, le 3 février 1945, sous les ruines du tribunal de Berlin lors d'un bombardement américain. Selon d'autres sources, il aurait été blessé par un éclat de bombe et aurait perdu son sang, soit parce qu'il n'aurait pas rejoint l'abri à temps, soit parce qu'il aurait ignoré l'alarme alors qu'il cherchait des documents aux archives. Le procès de Fabian von Schlabrendorff, qui se déroulait alors, fut interrompu et l'accusé envoyé en déportation.
============
je suis tombé par hasard sur ce bonhomme que je ne connaissais pas, en faisant une recherche....
on peut remarquer une fois que plus que les gens les plus sinistres et zélés de cette époque étaient souvent en période critique septennale... et se distinguaient à ce moment-là... lui aussi.... : il avait 34 ans en 1927 et entrait dans sa période critique septennale des 35 ans, et il avait 49 ans - pleine période critique - en 1942...
Roland Freisler (né le 30 octobre 1893 à Celle (Allemagne) – mort le 3 février 1945 à Berlin) était un juriste allemand. Il débuta sa carrière sous la République de Weimar, puis la continua sous le Troisième Reich. Il accéda en août 1942 à la présidence du Volksgerichtshof, la plus haute cour de l'État national-socialiste pour les affaires pénales politiques, fonction qu'il occupera jusqu'à sa mort lors d'une attaque aérienne sur Berlin, trois mois avant la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Il est considéré comme étant le juge responsable de milliers de condamnations à mort prononcées dans les procès des trois dernières années du régime national-socialiste - des procès généralement publics dont les jugements étaient souvent établis d'avance et qu'il présidait ; il est aujourd'hui le juge pénal du Troisième Reich le plus connu de triste mémoire. Sûr de lui, irascible et aimant à humilier les accusés, il est un exemple caractéristique des violations juridiques au temps du nazisme dans le cadre de la terreur nationale organisée par le régime. En effet il était le représentant de la terreur judiciaire nazie, en particulier dans la poursuite des participants au complot contre Adolf Hitler, après l'attentat du 20 juillet 1944.
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En 1927, le Gauleiter (chef de région) du NSDAP, Karl Weinrich, caractérisait ainsi le camarade de parti Roland Freisler dans un rapport à la direction du parti à Munich :
Sur le plan rhétorique, il est notre meilleur orateur [...]. C'est surtout sur les foules qu'il exerce une influence, alors qu'il est généralement rejeté par les hommes doués de raison. Le camarade de parti Freisler n'est utilisable qu'en tant qu'orateur. Comme chef, il n'est pas à sa place, car peu fiable et trop sujet à des sautes d'humeur.
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Le 20 août 1942, Freisler fut nommé président du Volksgerichtshof par Adolf Hitler, succédant ainsi à Otto Thierack, lui-même nommé ministre de la justice du Reich. Le Volksgerichtshof avait été fondé en 1934 pour traiter des cas de haute trahison. Son champ de compétence fut ensuite élargi à d'autres crimes visant la sûreté de l'État. Sous la présidence de Freisler, le nombre de condamnations à mort grimpa en flèche ; environ 90 % des procès se terminaient avec une condamnation à mort ou une peine de prison à vie, souvent décidées avant même le commencement du procès. Entre 1942 et 1945, plus de 5 000 peines capitales furent prononcées par le Volksgerichtshof, dont environ 2 600 sous la présidence de Freisler. Freisler seul, en trois ans d'activité au Volksgerichtshof, prononça autant de condamnations à mort que toutes les autres chambres du Volksgerichtshof réunies pendant la durée de vie totale de ce tribunal d'exception de 1934 à 1945.
Ses actes les plus célèbres sont la condamnation d'Hans et Sophie Scholl, d'Alexander Schmorell et des autres membres de la Rose blanche, à la peine capitale, ainsi que celle des conjurés de l'attentat du 20 juillet 1944 contre Hitler.
La cause exacte de la mort de Freisler reste inconnue. Probablement est-il mort, le 3 février 1945, sous les ruines du tribunal de Berlin lors d'un bombardement américain. Selon d'autres sources, il aurait été blessé par un éclat de bombe et aurait perdu son sang, soit parce qu'il n'aurait pas rejoint l'abri à temps, soit parce qu'il aurait ignoré l'alarme alors qu'il cherchait des documents aux archives. Le procès de Fabian von Schlabrendorff, qui se déroulait alors, fut interrompu et l'accusé envoyé en déportation.
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je suis tombé par hasard sur ce bonhomme que je ne connaissais pas, en faisant une recherche....
on peut remarquer une fois que plus que les gens les plus sinistres et zélés de cette époque étaient souvent en période critique septennale... et se distinguaient à ce moment-là... lui aussi.... : il avait 34 ans en 1927 et entrait dans sa période critique septennale des 35 ans, et il avait 49 ans - pleine période critique - en 1942...
mardi 16 novembre 2010
Tycho Brahe
http://www.lematin.ch/actu/monde/enquete-inedite-mort-astronome-xvie-siecle-349445
Enquête inédite sur la mort d'un astronome du XVIe siècle
Lundi, les scientifiques ont exhumé la tombe du célèbre astronome danois du XVIe siècle Tycho Brahe.
Une équipe de chercheurs a ouvert lundi à Prague la tombe du célèbre astronome danois du XVIe siècle Tycho Brahe, pour tenter de résoudre l’énigme entourant sa mort soudaine.
Insuffisance rénale ou empoisonnement après une aventure amoureuse ?
===============
on peut regarder ses cycles, à sa mort, puisque l'on connaît apparemment date de naissance et date de décès, Tycho Brahe étant astronome :
(Wikipédia) Tycho Brahe (Tyge Ottesen Brahe), dit Le noble Danois ou L’homme au nez d’or (14 décembre 1546 — 24 octobre 1601), est un astronome danois originaire de Skaneland région historique du Danemark qui fait maintenant partie de la Suède.
...............
Il serait mort à la suite d’un calcul ou d’une septicémie, ce qui pourrait avoir été provoqué par le fait de s’être retenu trop longtemps d’uriner pendant un trajet de plusieurs heures en carrosse avec l’empereur Rodolphe II ou un long repas. Sa mort inspira une expression tchèque : « Je ne veux pas mourir comme Tycho Brahe », en parlant d'une envie pressante. Il est aussi possible que Tycho Brahe ait été empoisonné selon d’autres sources.
..............
Comme la plupart des astronomes avant lui, Tycho Brahe croyait en l’astrologie. Il calcula d’ailleurs lui-même son propre thème astral : « Tycho Brahe, né le 14 décembre 1546 à 10 h 47 de Greenwich à Scania (Danemark). Soleil en 2°07 Capricorne, AS en 16°38 Verseau, Lune en 23°11 Vierge, MC en 15°19 Sagittaire. »
...............
Controverse sur sa mort.
Pour élucider la raison de sa mort, une étude est constituée en 1996 par J. Pallon de l’institut de physique de l’université Lund, en Suède. Son rapport comporte la conclusion suivante : « En observant le taux de croissance des poils, il a été conclu que Brahe a été empoisonné par le mercure un jour avant sa mort. Il est peu probable qu'il ait été assassiné, malgré une thèse suspectant l'implication de Kepler. Mais il paraît très probable qu’il ait déclenché sa propre mort en prenant la veille de sa mort, pour se guérir, un remède fabriqué par lui, riche en mercure. Il voulait guérir de ses troubles du système urinaire (hypertrophie prostatique ou, moins probablement, pierre à la vessie). Selon les analyses, il n’y a pas eu explosion de la vessie, mais le mercure de ses propres préparations a conduit à l’urémie dont il est mort. »
================
alors du point de vue des cycles c'est un décès en jour critique physique P6, veille de P7 et i 9 : cela va plutôt dans le sens d'une mort naturelle son jour critique physique...il avait 54 ans et 10 mois.
c'est apparemment lors de sa période critique septennale des 42 ans qu'il a eu quelques problèmes avec ses mécènes...
un détail intéressant encore trouvé sur Wiki allemand :
"Die Umstände von Brahes Tod sind bizarr und ungeklärt. Am 13. Oktober 1601 nahm er an einem Festbankett des Kaisers teil. Er musste der Überlieferung nach wegen starker Blasenschmerzen die Tafel frühzeitig verlassen. Als Grund dafür wurde ein Blasenriss durch Harnverhaltung vermutet, möglicherweise infolge der Hofetikette, die es den Gästen untersagte, sich vor dem Kaiser von der Tafel zu erheben. Brahe verstarb 10 Tage später nach schwerem Leiden."
il a dû interrompre un banquet le 13 octobre 1601 apparemment à cause de terribles douleur au niveau de la vessie : la situation de ce jour là est aussi intéressante car il s'agit là encore d'un jour doublement critique : physique P18 et émotionnel E8...
(le jour critique physique est souvent présent en cas de malaise, mais aussi de décès naturel car c'est un jour de "down physique" de l'organisme ; il fonctionne un un peu à la façon d'une pulsation chaque sixième jour de notre vie depuis le jour de la naissance ; c'est ainsi que l'on peut le vérifier pour n'importe quelle date de la vie en partant de la date de naissance.)
Enquête inédite sur la mort d'un astronome du XVIe siècle
Lundi, les scientifiques ont exhumé la tombe du célèbre astronome danois du XVIe siècle Tycho Brahe.
Une équipe de chercheurs a ouvert lundi à Prague la tombe du célèbre astronome danois du XVIe siècle Tycho Brahe, pour tenter de résoudre l’énigme entourant sa mort soudaine.
Insuffisance rénale ou empoisonnement après une aventure amoureuse ?
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on peut regarder ses cycles, à sa mort, puisque l'on connaît apparemment date de naissance et date de décès, Tycho Brahe étant astronome :
(Wikipédia) Tycho Brahe (Tyge Ottesen Brahe), dit Le noble Danois ou L’homme au nez d’or (14 décembre 1546 — 24 octobre 1601), est un astronome danois originaire de Skaneland région historique du Danemark qui fait maintenant partie de la Suède.
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Il serait mort à la suite d’un calcul ou d’une septicémie, ce qui pourrait avoir été provoqué par le fait de s’être retenu trop longtemps d’uriner pendant un trajet de plusieurs heures en carrosse avec l’empereur Rodolphe II ou un long repas. Sa mort inspira une expression tchèque : « Je ne veux pas mourir comme Tycho Brahe », en parlant d'une envie pressante. Il est aussi possible que Tycho Brahe ait été empoisonné selon d’autres sources.
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Comme la plupart des astronomes avant lui, Tycho Brahe croyait en l’astrologie. Il calcula d’ailleurs lui-même son propre thème astral : « Tycho Brahe, né le 14 décembre 1546 à 10 h 47 de Greenwich à Scania (Danemark). Soleil en 2°07 Capricorne, AS en 16°38 Verseau, Lune en 23°11 Vierge, MC en 15°19 Sagittaire. »
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Controverse sur sa mort.
Pour élucider la raison de sa mort, une étude est constituée en 1996 par J. Pallon de l’institut de physique de l’université Lund, en Suède. Son rapport comporte la conclusion suivante : « En observant le taux de croissance des poils, il a été conclu que Brahe a été empoisonné par le mercure un jour avant sa mort. Il est peu probable qu'il ait été assassiné, malgré une thèse suspectant l'implication de Kepler. Mais il paraît très probable qu’il ait déclenché sa propre mort en prenant la veille de sa mort, pour se guérir, un remède fabriqué par lui, riche en mercure. Il voulait guérir de ses troubles du système urinaire (hypertrophie prostatique ou, moins probablement, pierre à la vessie). Selon les analyses, il n’y a pas eu explosion de la vessie, mais le mercure de ses propres préparations a conduit à l’urémie dont il est mort. »
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alors du point de vue des cycles c'est un décès en jour critique physique P6, veille de P7 et i 9 : cela va plutôt dans le sens d'une mort naturelle son jour critique physique...il avait 54 ans et 10 mois.
c'est apparemment lors de sa période critique septennale des 42 ans qu'il a eu quelques problèmes avec ses mécènes...
un détail intéressant encore trouvé sur Wiki allemand :
"Die Umstände von Brahes Tod sind bizarr und ungeklärt. Am 13. Oktober 1601 nahm er an einem Festbankett des Kaisers teil. Er musste der Überlieferung nach wegen starker Blasenschmerzen die Tafel frühzeitig verlassen. Als Grund dafür wurde ein Blasenriss durch Harnverhaltung vermutet, möglicherweise infolge der Hofetikette, die es den Gästen untersagte, sich vor dem Kaiser von der Tafel zu erheben. Brahe verstarb 10 Tage später nach schwerem Leiden."
il a dû interrompre un banquet le 13 octobre 1601 apparemment à cause de terribles douleur au niveau de la vessie : la situation de ce jour là est aussi intéressante car il s'agit là encore d'un jour doublement critique : physique P18 et émotionnel E8...
(le jour critique physique est souvent présent en cas de malaise, mais aussi de décès naturel car c'est un jour de "down physique" de l'organisme ; il fonctionne un un peu à la façon d'une pulsation chaque sixième jour de notre vie depuis le jour de la naissance ; c'est ainsi que l'on peut le vérifier pour n'importe quelle date de la vie en partant de la date de naissance.)
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