ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
lundi 30 décembre 2013
Ronnie Peterson
(Wikipédia)
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l'accident est survenu lors d'un épisode critique fort : jour critique physique P1 et veille de jour critique émotionnel E1 de Ronnie Perterson.
Peterson entrait aussi à ce moment-là dans sa période critique septennale des 35 ans.
10 septembre 1978 (14/02/1944)
Me 6
Je 7
Ve 8
Sa 9
Di 10 P(1)
Lu 11 E(1)
Ma 12
Me 13
drame du col Dyatlov
Affaire du col Dyatlov
L'affaire du col Dyatlov se solda par la mort de neuf skieurs/randonneurs dans le nord de l'Oural (en Union soviétique, aujourd'hui en Russie), dans la nuit du 1er au 2 février 1959.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_du_col_Dyatlov
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j'ai regardé, par curiosité, la situation des participants décédés lors de cette expédition :
(situations le 2 février 1959 - en couleur les éléments critiques, en gras éléments forts)
Igor Alekseïevitch Dyatlov, né le 13 janvier 1936 :
- jour critique émotionnel E22
- approche anniversaire des 23 ans et
- approche année critique physique P1.
Zinaïda Alekseïevna Kolmogorova, née le 12 janvier 1937 :
- jour critique physique P7 la veille du jour critique émotionnel E22
- approche anniversaire 22 ans
- période critique septennale des 21 ans.
Lioudmila Aleksandrovna Doubinina, née le 12 mai 1938 : jour neutre
- période critique septennale des 21 ans
Alexandre Sergueïevitch Kolevatov, né le 16 novembre 1934 :
- jour critique intellectuel i1
- lendemain de jour critique physique P12 - 24 ans et 2 mois
- année critique physique P1.
Roustem Vladimirovitch Slobodine, né le 11 janvier 1936 :
- jour critique intellectuel i9
- approche anniversaire des 23 ans et
- approche année critique physique P1
Gueorgui « Iouri » Alekseïevitch Krivonichtchenko, né le 7 février 1935 :
- jour critique intellectuel i17
- à côté 24ème anniversaire et
- année critique physique P1.
Iouri Nikolaïevitch Dorochenko, né le 12 janvier 1938 : jour neutre
- approche anniversaire des 21 ans
- période critique septennale des 21 ans.
Nikolaï Vladimirovitch Thibeaux-Brignolles, né le 5 juillet 1935 :
- jour critique intellectuel i1 et
- jour critique physique P12 et- 23 ans et 7 mois
- année critique physique P1.
Alexandre « Semen » Alekseïevitch Zolotarev, né 2 février 1921 : jour neutre
- jour anniversaire des 38 ans -
Iouri Efimovitch Ioudine, né en 1937.born July 19, 1937, died April 27, 2013 : n'a pas participé car était malade : son jour critique physique P19 et émotionnel E22 le 26 janvier (quitté l'expédition) lui aura peut-être sauvé la vie... il aurait été lui aussi en jour défavorable le 2 février 1959 (jour critique émotionnel E1 - période critique septennale des 21 ans)
l'ensemble des situations des participants est curieusement pas mal critique... serait-il possible qu'il y ait eu dissensions, dispute, puis de la panique, voire coup de folie de l'un ou l'autre des participants ?
surtout que les tensions ont pu être particulièrement fortes lors des conditions difficiles de cette expédition...
le leader Dyatlov est dans une position fortement critique le 2 février, mais d'autres tout autant, en tout :
- 6 proximités anniversaires sur 9 personnes
- 6 périodes critiques sur 9
- 5 jours critiques forts (1 émotionnel et 4 intellectuel) sur 9
- la période autour de l'anniversaire est considérée par moi comme une période de possibles fortes pulsions donc tensions (présence fréquente remarquée lors de drames divers)
- idem pour le jour critique émotionnel et le jour critique intellectuel (jour critique du cerveau)
- idem pour les périodes critiques septennales et l'année critique physique P1 autour de 23 ans
aussi :
http://enigmeshistoire.e-monsite.com/pages/le-mystere-du-col-dyatlov.html
alors si, pour moi, on voulait rajouter un scénario de plus, il serait celui-ci :
il y a curieusement un important pourcentage des participants chez lesquels on trouve des éléments critiques forts qui sont des éléments pulsions-désinhibition fréquemment présents lors de "disjonctions", en langage simple lorsqu'une personne "pète les plombs", chez certains types de coups de folie meurtriers...
(ces éléments sont dans l'ordre d'importance dans le type de scénario supposé, la proximité de l'anniversaire (donc natifs du même moment, et moment du drame - janvier/février - ce sont 5 personnes sur 7 si on exclue les femmes), le jour critique intellectuel (car jour critique du cerveau = 4 personnes sur 7 si on exclue les femmes)(les deux éléments présents ensemble chez 2 personnes sur 7) et le jour critique émotionnel aussi, que j'aurais cependant tendance à placer après les deux éléments précédents.
j'aurais tendance à écarter les deux femmes, n'ayant que rarement trouvé une personne féminine victime d'un coup de folie subit et qui casserait tout, ferait n'importe quoi, et surtout tuerait tout le monde.
un tel coup de folie aurait pu être déclenché en raison de ces éléments présents, associés au stress et à la tension, la peur, peut-être liés aux différents risques présents (mourir de faim, de froid, être perdus, etc...)
une personne aurait-elle pu éventrer et démolir la tente dans un accès de panique, ce qui supprime l'abri pour tout le monde... faisant paniquer ou virer dans la folie une autre personne encore ? une telle personne a des forces qui nécessitent quatre hommes forts pour la retenir ce qui pourrait expliquer certains dégâts sur les biens mais aussi sur les personnes.
tout est possible si une personne - ou deux - "perdent la raison".
mais comme dit tout ceci avec grande prudence, et n'étant qu'un scénario qui se rajoute aux autres, mais peut-être du domaine du possible lorsque l'on s'intéresse à la psychiatrie et aux conséquences des jours et périodes critiques psychiques humains, en situation de stress très important. (le drame m'a fait penser un peu au film qui s'appelle "le chemin sans retour", mais il en existe probablement d'autres et je n'ai vu que celui-ci par hasard)
édit 25/10/2014 pour un article sur le sujet :
http://french.ruvr.ru/2014_10_25/La-cause-de-la-mort-des-9-skieurs-de-Dyatlov-reste-mysterieuse-55-ans-apres-les-faits-4559/
jeudi 26 décembre 2013
drame
Geneviève, vingt ans ferme pour un meurtre en eaux troubles
Geneviève Bertry a été condamnée hier dans le Rhône pour l’assassinat de son compagnon, mort noyé en avril 2008 après avoir été drogué aux somnifères.
Elle est une petite chose grise et molle qui semble avoir été posée dans un box des accusés trop grand pour elle. D’une voix lasse et d’un ton sans importance, elle raconte comment, un soir d’avril 2008, elle a poussé sa Renault 19 verte dans l’étang dit des Verchères, dans l’ouest lyonnais. A l’intérieur de la voiture, sur le siège avant, il y avait Jean-Paul Drillard, son compagnon, l’estomac chargé des cinq somnifères qu’elle lui avait administrés peu avant. Souvent, comme pour s’extirper de sa propre histoire, elle dit «M. Drillard» au lieu de «Jean-Paul».
Geneviève Bertry, 53 ans, comparaissait cette semaine devant la cour d’assises du Rhône pour assassinat. Elle a été condamnée hier soir à vingt ans de réclusion, les jurés ayant retenu la préméditation. Geneviève Bertry a avoué sans avouer. Durant les trois longs jours d’audience, cette petite dame au visage triste et fatigué a répété que ce n’était pas vraiment elle qui avait fait ça. Que c’était à cause de sa «maladie». Sans que l’on sache bien de quelle maladie elle parlait. Parce qu’elle en avait deux des maladies.
Un cancer, imaginaire. Et une dépression, bien réelle, déclenchée par ce cancer qu’elle n’avait pas, mais qui la figeait dans l’angoisse. (...)
elle sentait quelque chose la ronger dans son corps en ce début d’année 2008. «Ça m’avait anéantie, je ne pouvais plus avoir goût à rien.» Elle chavire. Ne peut plus assurer son emploi d’auxiliaire de vie en maison de retraite. Sa fille Diane la décrit comme ayant alors l’air «morte de l’intérieur». (...)
Ce soir-là, «pour calmer M. Drillard», Geneviève a pris cinq cachets de Noctamide et les a dilués dans une tisane qu’elle lui a ensuite fait boire. Puis, comme à leur habitude, après le repas, ils sont allés tous deux faire une petite promenade en voiture. Ils se sont rendus sur un terrain où ils envisageaient d’installer un bungalow dont l’achat avait été décidé l’après-midi même. Au début, c’était Jean-Paul qui conduisait. Mais très vite, il était trop «ensuqué». Geneviève a pris le volant et s’est rendue «sans raison particulière» tout au bord de l’étang des Verchères. Elle a garé la Renault 19 dans la pente, face à la berge. Sans plus de raison, explique-t-elle à la barre, elle est descendue et a poussé la voiture. Selon les reconstitutions réalisées lors de l’instruction, il n’a certainement fallu que quelques secondes pour que le véhicule disparaisse au fond de l’eau. La gendarmette qui jouait le rôle de la victime sur le siège passager peut en témoigner. Lors de cette reconstitution, le câble de sécurité qui retenait la voiture a cédé et elle s’est retrouvée engloutie en un rien de temps et a dû être sortie par les hommes-grenouilles présents. Geneviève, elle, n’en sait rien. Lorsque la voiture a commencé à glisser, le soir du 28 avril 2008, elle s’est retournée et, semblant entendre «un cri», elle s’est bouché les oreilles. Puis est rentrée, à pied, au tout proche village de Chevinay. Une fois chez elle, Geneviève a appelé leurs proches pour dire que Jean-Paul était allé nourrir leur jument en fin de soirée et n’était jamais rentré. Le lendemain, elle s’est rendue à la gendarmerie déclencher une procédure de «disparition inquiétante».
(...)C’était un coup de folie», plaide Me Xavier Moroz, l’un de ses deux avocats. (...)Et elle répète, de manière lasse et inlassablement, qu’elle n’a jamais voulu le tuer. «Ce n’était pas moi. Je n’étais pas moi. J’étais malade. Je l’aimais.» Elle pleure. (...)
http://www.liberation.fr/societe/2011/02/17/genevieve-vingt-ans-ferme-pour-un-meurtre-en-eaux-troubles_715523
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probable drame de la période critique septennale des 49 ans et de sa dépression...
affaire Messina
Frédérique Lantieri, aux commandes de “Faites entrer l’accusé” sur France 2, va décortiquer l’affaire Messina, dans son magazine du dimanche 23 septembre.
Le document de Cécile Moirin, réalisé par Bernard Faroux, a été tourné en partie à Chambéry, au mois de janvier dernier, avec plusieurs intervenants locaux. En septembre 1993, Joseph Messina, Chambérien de 34 ans à l’époque et aux origines siciliennes, commet un double assassinat : celui de Magali Ferrand, son ex-compagne avec qui il a eu une fille, et celui de Thierry Garbolino le nouveau compagnon de Magali.
Sa haine contre son ex a mûri en prison, où il purgeait une peine pour une série de braquages -il a fait partie du gang des Italo-chambériens-.
Derrière les barreaux, Joseph Messina ronge son frein, il est sûr qu’elle le trompe. C’est un homme d’orgueil, jaloux. Lorsque Magali lui annonce sa liaison avec Thierry, il accuse le coup et se montre plutôt compréhensif, à son grand étonnement. Mais lorsqu’il est libéré en juin 1993, après trois ans et demi de détention provisoire, il reprend contact avec Magali et la contraint à lui fournir une liste de « ses amants ». Magali, apeurée, porte plainte, évoquant des menaces de mort et des relations sexuelles sous la contrainte. Puis, elle part avec sa fille se cacher chez son oncle qui habite dans le Var, près de Brignoles, où elle pense être en sécurité. Mais dans la nuit du 11 au 12 septembre 1993, l’oncle appelle les gendarmes. Il vient d’être séquestré avec sa petite-nièce et il est inquiet pour Magali qui a été emmenée par Joseph Messina. À 400 km de là, en Savoie, au petit matin du dimanche 12 septembre, sur un sentier forestier du mont Granier, un corps est découvert. Celui de Thierry Garbolino, Chambérien de 27 ans, abattu le vendredi de deux balles 11,43 dans la tête et d’une dans le ventre. Le cadavre de Magali est retrouvé quelques heures plus tard dans le Var. Deux balles dans la tête, une dans le bras. Joseph Messina, désigné comme l’auteur de ce double assassinat, est en cavale, durant laquelle il commet un nouveau braquage dans une agence bancaire de Chambéry. Au cours de sa fuite, il rédige 80 pages dans lesquelles il raconte le déroulement des deux crimes et justifie ses actes. Il adresse son récit au procureur et au Dauphiné Libéré. Messina sera arrêté d’une manière fortuite le 24 janvier 1994 à Paris. Jugé devant les Assises en octobre 1995, il a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une peine de sûreté de 18 ans.
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probablement un drame lié aussi à l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans...
ex-copain jovial
Mais qui est réellement Emmanuel Rist ?
Depuis hier, devant la cour d’assises du Haut-Rhin, Emmanuel Rist doit répondre de l’assassinat d’un marchand de tapis d’origine marocaine.
Comme lors du procès de l’explosion du cabanon de Rouffach, en 2009, la première journée du procès d’assises d’hier s’est focalisée sur le double visage d’Emmanuel Rist, accusé d’assassinat. Bis repetita. Si ce n’est la gravité des actes, la première journée du procès qui s’est tenue hier, à la cour d’assises du Haut-Rhin, ressemble à s’y méprendre à celle du mois de mars 2009, quand Emmanuel Rist devait répondre de l’explosion d’un cabanon à Rouffach. Aussi bien l’interrogatoire de curriculum vitae que les dépositions des témoins ont fait apparaître les deux visages de l’accusé : au « bon père », « copain jovial qui anime les soirées » et dessinateur hors pair répond l’homme froid, activiste d’extrême- droite, capable de tuer un homme.
Depuis hier et jusqu’à la fin de la semaine, Emmanuel Rist comparait devant la cour d’assises, accusé d’avoir assassiné Mohammed Madsini, un marchand de tapis d’origine marocaine, d’une balle dans la tête, en pleine rue à Gundolsheim, le 22 mai 2001. L’accusé lui-même a rajouté de la complexité à sa personnalité en déclarant avoir d’abord « épousé » l’idéologie d’extrême-gauche avant celle d’extrême-droite.
Comment a-t-il fait le grand écart ? « Des rencontres » et « pas de continuité en matière d’activisme à l’extrême gauche ». Pour essayer d’y voir plus clair, et notamment montrer combien la détention avait pu changer l’accusé, la défense avait cité un certain nombre de témoins. Déjà présente lors du procès de 2009, Annick, une camarade de la classe 1969 de Pfaffenheim, s’est une nouvelle fois retrouvée à la barre. Pour elle, Bobby, comme elle le surnomme, est incapable de tuer un homme. Aussi, quand le président de la cour lui annonce qu’Emmanuel Rist, quelques minutes auparavant, a avoué les faits, le ciel s’abat sur la tête de la quadragénaire. « Mais qui es-tu réellement ? », demande-t-elle, en pleurs, avant de quitter la salle. Concernant la détention, un professeur d’arts plastiques qui a côtoyé l’accusé pendant près de deux ans à la maison d’arrêt d’Épinal a assuré qu’Emmanuel Rist « se projette dans l’avenir et plutôt bien ». Un avenir qui n’est peut-être pas celui qu’imaginait sa concubine Sabine. « Elle pensait qu’il y avait encore un avenir entre elle et moi, mais il n’y en aura plus », a déclaré l’accusé face à sa compagne, venue témoigner en début de soirée. Celle-ci, évoquant un père attentionné et un compagnon ouvert, a dit à la cour : « Je ne reconnais pas Emmanuel dans les traits dans lesquels vous le dessinez ». M e Anouk Leven-Edel, avocate des membres de la famille Madsini qui se sont portés partie civile, se demande quel est le vrai visage de l’accusé. M e Renaud Bettcher, avocat de la défense, pense avoir la réponse : « Avant, mon client était un gars bien avec des idées à la con. Puis, lors des faits, il a été un gars con. J’espère qu’il va redevenir un gars bien, avec des idées un peu moins cons. »
http://www.lalsace.fr/actualite/2011/06/21/mais-qui-est-reellement-emmanuel-rist
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là aussi il faut peut-être s'intéresser aux changements de personnalité qui peuvent se produire "à la faveur" d'une période critique qui arrive et passe : né en 1969 (pas trouvé la date précise qui serait pourtant intéressante pour connaître les situations le jour-même des drames) Rist a 32 ans en 2001 lors du meurtre de M. Madsini (entrée dans l'année critique intellectuelle i1)
en 2004 Rist se trouve dans la période critique attenante, qui est la période critique septennale des 35 ans. l'explosion du cabanon du 8 septembre 2005 fait probablement aussi partie encore de cette période.
mardi 24 décembre 2013
Nadejda Allilouïeva
Nadejda Allilouïeva s’est suicidée dans la nuit du huit au neuf novembre 1932. Elle s’est tiré une balle en plein cœur avec un pistolet à la suite d'une querelle insignifiante avec Staline. Plus tard, les historiens ont tenté d’établir les causes de cet acte. Les uns ont prétendu que de cette façon la femme se vengeait de Staline, mari inattentif et brutal. Les autres ont affirmé qu’Allilouïeva souffrait de violents maux de tête et que sa maladie incurable était à l’origine de son suicide. Quoi qu’il en soit, sa mort a porté un coup terrible à Staline dont le cœur est devenu de granit. Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2013_12_23/La-mort-mysterieuse-de-Nadejda-Allilouieva-9289/
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très intéressant aspect des situations de Joseph Staline et son épouse lors du "suicide" de cette dernière :
Nadejda Sergueïevna Allilouïeva (née le 22 septembre 1901 et morte le 9 novembre 1932, fut la seconde épouse deJoseph Staline.
- l'épouse se trouve en jour et période neutres le 9 novembre 1932 de sorte que je me suis dit de suite que çà n'est vraiment pas une situation "suicide"... curieusement...
- je suis donc allé voir la situation de son époux Joseph Staline... et... surprise... lui se trouvait dans les jours les "pires" en cas de conflit dans un couple... épisode triplement critique avec les jours critiques physiques P18/P19 et surtout le jour-même les jour critique émotionnel E1 - jour critique intellectuel i17 à un mois et demi de son 54ème anniversaire (18/12/1878)
je me suis donc demandé si ce n'est pas Staline qui a tué son épouse... mais sauf erreur je n'ai rien trouvé sur Wiki français et allemand à ce sujet...
la réponse que je cherchais est par contre sur Wiki english :
il y est dit :
After a public spat with Stalin at a party dinner, Nadezhda was found dead in her bedroom, a revolver by her side. Regardless, the official announcement was that Nadezhda died fromappendicitis. Some claim the gun was found beside the hand she didn't use, apparently indicating a framed suicide; many in Russia allege that Stalin killed her himself
Staline
9 novembre 1932 (18/12/1878)
Ma 1 P(12) I(9)
Me 2 E(22)
Je 3
Ve 4
Sa 5
Di 6
Lu 7 P(18)
Ma 8 P(19)
Me 9 E(1) I(17)
Je 10
Ve 11
Sa 12
Di 13 P(1)
Marvin Gay
Lu 2
Ma 3
Me 4 P(18)
Je 5 P(19)
Ve 6
Sa 7I(9)
situation le jour du drame de
Marvin Gay senior (jour critique intellectuel i9 à l'entrée dans l'épisode critique physique P18/P19 et au moment précis de l'entrée dans la période critique septennale des 70 ans - 69 ans et 6 mois)
1er avril 1984 (1/10/1914)
Lu 2 P(18)
Ma 3 P(19)
Me 4
Je 5 E(22)
Marvin Gay Sr décède le 10 octobre 1998 en période critique septennale à côté de son 84ème anniversaire, son jour critique intellectuel i1.
samedi 21 décembre 2013
Patty Duke
Depuis 1982, où elle a fait une grave réaction à la cortisone, elle souffre de troubles bipolaires et milite pour de nombreuses causes concernant la santé mentale. En décembre 2007, elle fut récompensée de ce travail de sensibilisation par un doctorat honoraire de l'Université du Nord de la Floride.
(Wikipédia)
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c'est lors de sa période critique septennale des 35 ans que Patty Duke fait une grave réaction à la cortisone... et depuis, souffre de troubles bipolaires...
mercredi 18 décembre 2013
climactérique et septennaux
Un livre sur "l'année climactérique". La grande peur des hommes (et sans doute des femmes) il y a 500 ans était de disparaître à 63 ans. La multiplication 9 fois 7 apparaissait fatale à une époque où l'on mourait plus jeune qu'aujourd'hui. Pour corroborer le propos, Max Engammare rappelle que Serge Gainsbourg est décédé, en fort mauvais état, dans sa soixante-troisième année...
(...) On entrait en danger le jour de son 62e anniversaire. On n'était sauf qu'en fêtant ses 64 ans.
Une belle illusion.... A 64 ans, la plupart des hommes de l'Antiquité étaient déjà morts, et souvent depuis longtemps... (...)
Mais revenons à l'année climactérique. Le premier à en parler, avec le chiffre de 63 ans, est l'empereur Auguste, dont on célébrera en 2014 les 2000 ans du décès. A 62 ans, il écrit qu'il vient d'entrer dans une année critique. (...)
Pratique "Soixante-trois, La peur de la grande année climactérique à la Renaissance", de Max Engammare, aux Editions Droz, 245 pages.
http://www.bilan.ch/etienne-dumont/courants-dart/livre-dhistoire-la-peur-de-mourir-63-ans
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d'après ma théorie l'empereur Auguste ne s'est pas trompé... puisque après le 62ème anniversaire on entre dans la période critique septennale des 63 ans... :-)
(Auguste qui est d'ailleurs mort durant sa période critique septennale des 77 ans dans laquelle il est entré après ses 76 ans... :-)
la petite différence - je ne sais pas si on s'y intéressait à l'époque - c'est que sont ainsi critiques TOUTES nos années septennales...
critique ne signifiant toutefois pas "mauvaise" ou "dangereuse année" mais année charnière : année de possible changement, évolution... on est poussé à réfléchir, remettre en cause, on invente... et soit on continue soit on change... mais en tous cas on "reconsidère" la situation... (année sabbatique, aussi - et il est vrai que les années critiques sont assez fréquemment présentes en cas de décès, aussi : elles constituent également un "portail".)
climactérique... j'ai donc appris un nouveau mot et je découvre ici
http://portail.atilf.fr/cgi-bin/getobject_?a.20:247./var/artfla/encyclopedie/textdata/image/
que toutes les années septennales sont parfois considérées...
"Ainsi la premiere année climactérique de la vie de l'homme, c'est, selon quelques - uns, la septieme; les autres sont des multiples de celle - ci, savoir 14, 21, 28, 35, 42, 49, 56, 63, 70, 77, 84: mais les années 63 & 84 sont nommées en particuliergrandes climactériques, & l'on croit que le danger de mort y est beaucoup plus grand que dans les autres."
ce qui est fort intéressant puisque cela correspond précisément à ce que j'ai observé dans tous les cas et situations objets de mon blog
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/
et du présent blog aussi, bien entendu...
le mécanisme de fonctionnement me semble assez compréhensible dans la mesure où l'on considère des "pulsations du vivant". je pense qu'il s'agit d'une très matérielle horloge hormonale pulsant à intervalles réguliers.
et la même chose se retrouve d'ailleurs en gigogne avec les pulsations d'un cycle équivalent, mais cycle court, agissant chaque septième jour de notre vie, notre jour critique émotionnel.
c'est un mécanisme qui va apporter à intervalle régulier une impulsion destinée à tester et éventuellement pousser à modifier les situations afin de les changer, afin de modifier les choses existantes (qui sans cela s'enliseraient dans une situation d'immobilisme conduisant probablement à l'arrêt, à la mort du système...) cela permet d'avancer, d'évoluer et je pense qu'il s'agit là peut-être de l'élément à l'origine de l'évolution des espèces.
Marcel Proust
Marcel Proust (prénoms complets : Valentin Louis Georges Eugène Marcel), né à Paris XVIe (quartier d'Auteuil) le 10 juillet 1871 et mort à Paris le 18 novembre 1922, est un écrivain français, dont l'œuvre principale est une suite romanesque intitulée À la recherche du temps perdu, publiée de 1913 à 1927.
L'écriture de La Recherche
Après la mort de ses parents, sa santé déjà fragile se détériore davantage en raison de son asthme. Il s’épuise au travail, dort le jour et ne sort — rarement — que la nuit tombée et dînant souvent au Ritz, seul ou avec des amis. Son œuvre principale, À la recherche du temps perdu, sera publiée entre 1913 et 1927.La première pierre, la première phrase de l'œuvre entière est posée en 1907. Pendant quinze années, Proust vit en reclus dans sa chambre tapissée de liège, au deuxième étage du 102, boulevard Haussmann, où il a emménagé le 27 décembre 1906 après la mort de ses parents, et qu'il quittera en 1919. Portes fermées, Proust écrit, ne cesse de modifier et de retrancher, d'ajouter en collant sur les pages initiales les « paperoles » que l'imprimeur redoute. Plus de deux cents personnages vivent sous sa plume, couvrant quatre générations.
mardi 17 décembre 2013
Roald Dahl
(Wikipédia)
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oeuvres connues voire célèbres dont certaines sont aussi le fruit de ses périodes critiques septennales... :
The Gremlins (1943) (27 ans)
Mon Oncle Oswald (1979) (63 ans)
lundi 9 décembre 2013
David Hotyat
La famille, un couple et ses trois enfants, avait disparu du jour au lendemain, et du sang avait été retrouvé dans leur maison. Le couple s'était fait de nombreux ennemis dans des opérations immobilières douteuses.
Locataire des Flactif dont les enquêteurs ont retrouvé l'ADN dans le chalet où ont eu lieu les meurtres, David Hotyat a avoué ces crimes après une heure de garde-à-vue, le 16 septembre 2003, avant de se rétracter.
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En décembre 2004, David Hotyat et Stéphane Haremza ont été condamnés à trois ans de prison pour l'incendie volontaire d'un chalet appartenant à la famille Flactif le 28 avril 2002. Hotyat aurait commencé à penser assassiner la famille Hotyat après avoir entendu parler des meurtres d'Alfredo Stranieri, qui avait fait croire à la disparition volontaire de ses victimes pour s'accaparer leurs biens.
aussi :
Ma 8
Me 9
Je 10 P(18)
Ve 11 P(19)
Sa 12
Di 13 I(9)
Lu 14 E(15)
nous sommes dans l'épisode critique physique P18/P19, mais nous sommes aussi à 5 mois de l'anniversaire.
je m'étais demandé pourquoi un an avant précisément il a mis le feu à un chalet des Flactif : il se trouvait là dans le même épisode pulsion qu'est "5 mois de l'anniversaire" qui est un équivalent - selon moi - de l'épisode pulsions "anniversaire". (nouvelle analyse de ce cycle annuel à confirmer)
et la situation cyclique est aussi presque la même : entrée dans jour critique émotionnel E1 puis jours critiques physiques P18/P19 donc même "down" déjà que le jour du drame...
28 avril 2002 (23/10/1972)
Je 25
Ve 26
Sa 27
Di 28
Lu 29 E(1)
Ma 30 P(18)
Mai 2002
Me 1 P(19)
Je 2 I(26)
Ve 3
Alfredo Stranieri
La disparition de Nathalie et Frédéric
La Jaguar
L'auberge « La Bouriatte »
et du jour critique émotionnel (ou équivalent) (il a donc agit trois fois en conditions identiques)
disparition de Nathalie et Frédéric :
13/11/1997 (30/07/1956)
Ma 11
Me 12
Je 13 P(17) I(1)
Ve 14 P(18)
Sa 15 P(19)
Di 16
Lu 17 E(22)
c'est un jour critique physique P17 (équivalent du jour critique émotionnel) et jour critique intellectuel i1,
le 4 janvier 1999 (Simon Cohen/Jaguar) est le jour critique émotionnel E15, le lendemain du même épisode critique physique P17/P19 que précédemment (épisode critique semestriel 5/7 mois anniversaire) :
janvier 1999 (30/07/1936)
Ve 1 P(17)
Sa 2 P(18)
Di 3 P(19)
Lu 4 E(15)
Ma 5
Me 6
Je 7
Ve 8 P(1) I(26)
La Bouriatte :
12 avril 1999 (30/07/1956)
Je 8 I(17)
Ve 9
Sa 10 P(1)
Di 11
Lu 12 E(1)
Ma 13
Me 14
Je 15
jour critique émotionnel E1 (donc idem que 4 janvier)
vendredi 6 décembre 2013
fusillade de Columbine
La fusillade de Columbine est une tuerie en milieu scolaire qui s’est produite le mardi 20 avril 1999 à l’intérieur de l'école secondaire Columbine (Columbine High Schooln 1), située à Columbine près de la ville de Littleton, dans le comté de Jefferson, dans l'État du Colorado, aux États-Unis. Deux étudiants, Eric Harris et Dylan Klebold, commettent un massacre, tuant 12 étudiants, un professeur, et blessant 24 autres étudiants plus ou moins grièvement dont trois qui tentaient de s’enfuir.
Dylan Bennet Klebold est né le 11 septembre 1981
Eric David Harris est né le 9 avril 1981 à Wichita (Kansas)
Harris souffre de dépression, de poussées de colère et de pensées suicidaires. Plusieurs types d'antidépresseurs lui sont prescris, tout d’abord du Zoloft qui provoque chez lui des troubles de l'attention puis du Luvox. Certains psychiatres, tel que Peter Breggin, ont fait valoir que les deux médicaments peuvent avoir contribué aux actions de Harris.
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la situation - cycles courts - des deux auteurs est neutre mais cela peut s'expliquer par le fait qu'il s'agit d'une opération planifiée et préparée à l'avance. ce sont donc plutôt les cycles longs qu'il faut voir :
20/04/1999 (11/09/1981)
Ve 16 E(15)
Sa 17 I(26)
Di 18 P(12)
Lu 19
Ma 20
Me 21
Je 22
Ve 23 E(22)
Sa 24 P(18)
Di 25 P(19) I(1)
20/04/1999 (9/04/1981)
Di 18 P(6) I(17)
Lu 19 P(7)
Ma 20
Me 21
Je 22 E(8)
qu'est-ce qui a pu jouer ?
- proximité de l'anniversaire pour Harris
- à cinq mois de son anniversaire pour Klebold (équivaut d'après moi à la proximité, mais selon théorie des cycles restant à vérifier)(l'anniversaire ou sa proximité est selon moi un épisode de pulsions : il est fréquemment présent lors d'un scénario dramatique)
cela aurait notamment pu expliquer le fait qu'ils étaient "sur la même longueur d'onde" puis qu'il étaient en situation de "compatibilité"... (aussi jours critiques émotionnels successifs : jeudi/vendredi)
de même que ces autres éléments :
- 17 ans et 7 mois pour Harris (année critique P18)
- 18 ans pour Klebold (années critiques P18/P19)
- Harris était un admirateur de Hitler (né 20/04/1889 même jour que le drame) Harris étant né à proximité.