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lundi 20 février 2023

meurtre

Lindsay Jo Rimer (17 February 1981 – ca. 7 November 1994) was a thirteen-year-old British girl from Hebden Bridge, West Yorkshire, who was murdered. She was last seen alive buying cornflakes at a SPAR shop on Crown Street in Hebden Bridge on 7 November 1994, and her body was found about a mile away in the Rochdale Canal which passes through the town on 12 April 1995.  (Wikipédia)
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c'était la veille de son jour critique émotionnel E1 en période critique septennale des 14 ans
7 novembre 1994 (17/02/1981)
Di 6
Lu 7
Ma 8 E(1)
Me 9
Je 10
P(1)

lundi 30 décembre 2019

Maura Murray

La disparition de Maura Murray, une étudiante infirmière de 21 ans née le 4 mai 1982 à Hanson (Massachusetts) (en), s'est produite durant la soirée du 9 février 2004 sur une route de Woodsville dans le New Hampshire. À ce jour sa présence sur cette route ainsi que sa disparition restent non résolus.
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je regarde parfois de plus près certains faits divers lorsque je tombe dessus, comme cette page Wikipédia...
une disparition qui donne sur une situation des rythmes psychiques courts correspondant assez à une disparition volontaire à l'entrée dans un épisode triple critique fort, en période critique septennale des 21 ans... :
9 février 2004 (4/05/1982)(épisode P17/P19, veille du jour critique émotionnel E1)
Je 5
Ve 6
Sa 7
Di 8
Lu 9 P(17)
Ma 10 P(18) E(1)
Me 11 P(19) I(1)
Je 12
Ve 13
Sa 14
Di 15

jeudi 21 décembre 2017

disparus

Disparus de Boutiers : le mystère reste entier 45 ans après  La famille Méchinaud a disparu il y a 45 ans. Le 24 décembre 1972, après un réveillon passé chez des amis à Cognac, Jacques, Pierrette et leurs deux enfants disparaissent dans la nuit. De nouvelles fouilles effectuées en 2012 n'ont rien donné. Aujourd'hui, le mystère reste entier.  Le soir du 24 décembre 1972, Jacques Méchinaud, ouvrier chez Saint-Gobain, sa femme Pierrette et leurs deux enfants réveillonnent chez un couple d'amis. La famille, qui réside à Boutiers, près de Cognac, en Charente, s'y rend en voiture, à bord de leur Simca 1100 couleur grenat. Ils repartent de chez leurs amis vers 1h du matin et disparaissent. Comme s'ils s'étaient volatilisés dans la nuit. (...)
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/disparus-de-boutiers-le-mystere-reste-entier-45-ans-apres-1513334984
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(pas trouvé de données pour regarder la situation du couple)(apparemment période critique septennale des 28 ans pour l'épouse)

samedi 18 novembre 2017

Frederick Valentich

Le cas Frederick Valentich est une affaire de disparition liée au phénomène ovni. Elle se déroula le 21 octobre 1978, le long des côtes australiennes Le 21 octobre 1978, à 18h19, Frederick Valentich, jeune pilote âgé de 20 ans, décolle de l'aéroport de Moorabbin près de Melbourne (Australie) à bord d'un Cessna 182. Il compte faire un simple aller-retour jusqu'à King Island situé à 240 km de là. À 19h06, alors qu'il commence à survoler la mer, il contacte la tour de contrôle de Melbourne afin de savoir si un autre appareil vole dans la même zone que lui. Le contrôleur lui répond que non, mais Valentich dit apercevoir un appareil qu'il n'identifie pas, volant près de lui et dont il évalue l'altitude à 1 500 mètres. Le jeune pilote indique au contrôleur que la chose « a une lumière verte et plutôt métallique »2,3. Valentich dit à la tour de contrôle qu'il ne peut évaluer la grandeur de l'objet en raison de sa vitesse4,3. À 19h12, il affirme au contrôleur « qu'il ne peut identifier l'avion »5,3. Un bruit de grincement métallique couvre la voix de Valentich et la communication est coupée. Dès 19h28, la Royal Australian Air Force envoie des avions de reconnaissance dans la zone. Les recherches continuent jusqu'au 25 octobre, mais on ne retrouva jamais le corps de Valentich, ni le moindre débris pouvant provenir de l'appareil. Plusieurs semaines après l'incident, un témoin affirma avoir aperçu un petit avion de tourisme « suivi » par une étrange lumière verte survolant la mer le 21 octobre 1978, alors qu'il se trouvait du côté de cap Otway, près du lieu du dernier contact radio de Valentich. Plusieurs années après la divulgation de cette « lumière verte en-dessous de l'avion de Valentich », il précisa que « la couleur des lumières était similaire à celle des feux de navigation d'un avion »6,3. À ce jour, aucune preuve matérielle de sa mort n'ayant pu être apportée, Frederick Valentich est toujours officiellement considéré comme « porté disparu ».
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cas_Valentich
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Frederick Valentich was born on 9 June 1958 in Melbourne
une situation intéressante : 
21 octobre 1978 (9/06/1958)
Me 18
Je 19
Ve 20
Sa 21
Di 22 P(12)
Lu 23 E(22) I(17)
Ma 24
Me 25
Je 26

(le soir il faut considérer également la journée du lendemain) entrée dans un épisode triple critique, à 5/7 mois de l'anniversaire et en période critique septennale des 21 ans.

jeudi 31 août 2017

Estelle Mouzin

Mouzin Prénom: Estelle Date de naissance : 29/06/1993
Le jeudi , Estelle Mouzin, fillette de neuf ans, disparaît sur le chemin du retour de l'école de Guermantes, alors qu'elle rejoignait le domicile de sa mère Suzanne qui est en instance de divorce avec son père Éric Mouzin qui vit à une soixantaine de kilomètres, au Vésinet, avec leur fils aîné, Arthur. Sa mère, de retour de son travail à 19 h 30, signale sa disparition au commissariat local de Lagny-sur-Marne à 19 h 30
(Wikipédia)
(jour critique intellectuel i17 à six mois de l'anniversaire)
9 janvier 2003 (29/06/1993)
Sa 4
Di 5
Lu 6 P(6)
Ma 7 P(7) E(8)
Me 8
Je 9 I(17)
Ve 10
Sa 11
Di 12 P(12)

mercredi 6 mai 2015

disparu

Teddy Vrignault est un humoriste et acteur français, né le 22 novembre 1928 à Paris, disparu le 1er novembre 1984. Déclaré décédé le1er novembre 2004.
Avec André Gaillard, il avait formé le duo d'humoristes Les Frères ennemis, en vogue dans les années 1960 et 1970 en France.
Le 1er novembre 1984, il disparait sans laisser la moindre trace, au volant d'une Peugeot 504. En dépit de longues recherches, cette disparition, qui mit fin au tandem « Les Frères ennemis », n'a jamais été expliquée. Son décès sera déclaré vingt ans plus tard.
(Wikipédia)
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disparition en jour critique émotionnel E22 à l'approche de son 56ème anniversaire (période critique septennale des 56 ans)
édit 11/04/2023 : je ne connaisais pas en 2015 les épisodes critiques semestriels, très fréquemment présents en cas de drame : c'est ici la proximité de l'anniversaire...

vendredi 13 mars 2015

Ettore Majorana

Ettore Majorana (CataneSicile5 août 1906 – présumé mort après 1959) est un physicien italien. Il est surtout connu pour ses travaux en physique des particules, avec des applications particulières de la théorie des neutrinos. Sa disparition soudaine et mystérieuse, au printemps de 1938, a suscité de nombreuses spéculations sur un possible suicide en mer Tyrrhénienne, ou sur une disparition volontaire.(...)

Mystérieuse disparition

Le 26 mars 1938, il prend le paquebot-poste pour Palerme après avoir envoyé une lettre à Carrelli et en avoir laissé une autre « à sa famille » où son intention de suicide est clairement énoncée. En fait, il ne se suicide pas, débarque à Palerme, envoie un télégramme et une autre lettre à Carrelli où il lui annonce qu’il revient à Naples et qu’il renonce à l’enseignement. Il semble qu’il ait repris le bateau vers Naples selon le professeur V. Strazzeri de l’université de Palerme. La compagnie maritime Tirrenia aurait retrouvé son billet.
Mais il n’a plus jamais donné signe de vie. (...)
Le mystère s’épaissit quand on constate qu’il a vidé son compte en banque et pris son passeport. Par ailleurs plusieurs témoins dirent l’avoir vu après le 28 mars et parmi eux, son infirmière, le curé de l’église du Gésu Nuovo et le prieur du couvent San Pasquale di Portici (le 12 avril 1938), ce qui alimente toutes sortes d’hypothèses plus ou moins réalistes. De façon générale, ses collègues (Fermi, Amaldi, Segrè) penchent pour la thèse du suicide, sa famille (et plus tard Sciascia), pour celle du retrait dans un couvent ; mais on suggère aussi un enlèvement par des services secrets ou une fuite en Argentine (Recami).
(Wikipédia)

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je penche aussi pour la thèse du suicide, de ce natif du dimanche, probablement lors du voyage de retour, vu la situation de ses cycles à ce moment-là : (épisode triplement critique fort avec le jour critique émotionnel E22 et le jour critique intellectuel i9 les 27 et 28 mars)

mars 1938 (5/08/1906)
Ma 22 P(7)
Me 23
Je 24
Ve 25
Sa 26
Di 27 P(12) E(22)
Lu 28 I(9)
Ma 29
Me 30
Je 31

(le fait que des personnes l'aient vu par la suite n'est pas évident car nous avons tous un certain nombre de sosies)

Dernières lettres de Majorana (Wikipédia)

  • Naples, 25 mars 1938 à son ami le physicien Antonio Carrelli :
« Cher Carrelli, j'ai pris une décision qui était désormais inévitable. Il n’y a pas en elle la moindre trace d’égoïsme, mais je me rends compte des ennuis que ma disparition soudaine pourra causer, à toi et aux étudiants. C'est pourquoi je te prie de me pardonner, et surtout pour avoir déçu toute la confiance, la sincère amitié et la sympathie que tu m'as montrées au long de ces mois. Je te prie aussi de me rappeler au bon souvenir de ceux que j'ai appris à connaître et à apprécier dans ton Institut, en particulier à Sciuti ; d'eux tous je conserverai un affectueux souvenir, au moins jusqu'à onze heures ce soir, et, si cela est possible, même après.
E. Majorana »
  • On découvrira un peu plus tard dans sa chambre d'hôtel une enveloppe portant la mention « À ma famille » :
« Naples, 25 mars 1938
Je n'ai qu'un seul désir : que vous ne vous vêtiez pas de noir. Si vous voulez vous plier à l'usage, portez, mais pas plus de trois jours durant, quelque signe de deuil. Ensuite, si vous le pouvez, gardez-moi dans votre cœur et pardonnez-moi.
Affectueusement. Ettore »
Le lendemain de sa lettre à Carrelli, le 26 mars, Majorana lui envoie un télégramme : « Ne t’inquiète pas. Lettre suit. Majorana »
  • Sa dernière lettre :
« Palerme, 26 mars 1938
Cher Carrelli,
J'espère que mon télégramme et ma lettre te seront parvenus ensemble. La mer m'a refusé [il mare mi ha rifiutato] et je reviendrai demain à l'hôtel Bologna, en voyageant peut-être sur le même bateau que ce mot. J'ai cependant l'intention de renoncer à l'enseignement. Ne me prends pas pour une jeune fille d'Ibsen, car mon cas est différent. Je suis à ta disposition pour des détails ultérieurs.
Ton dévoué E. Majorana »

 Majorana n'est jamais revenu.

Trois années plus tôt, Majorana utilisait des termes similaires quand il écrivait à son oncle Quirino :
« Je partirai aujourd’hui pour une destination légèrement incertaine. Je te ferai connaître ma nouvelle adresse sitôt que j’aurai acquis une relative stabilité.
Affectueusement. Ettore »
(trois années plus tôt était la période critique septennale des 28 ans)