James Urban Ruppert (born March 29, 1934), is an American murderer, who was responsible for the deadliest shooting inside a private residence in American history. On March 30, 1975, Easter Sunday, Ruppert murdered 11 family members in his mother's house at 635 Minor Avenue in Hamilton, Ohio in what is referred to as the Easter Sunday Massacre. (Wikipédia)
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30 mars 1975 (29/03/1934)
Di 23
Lu 24
Ma 25
Me 26
Je 27 P(1) E(22)
Ve 28 I(26)
Sa 29
Di 30
Lu 31
drame en jour neutre mais le lendemain de l'anniversaire des 41 ans, et l'arrivée de la période critique septennale des 42 ans...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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mardi 2 décembre 2014
mardi 11 février 2014
affaire Dupont De Ligonnès
http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Dupont_de_Ligonn%C3%A8s
L’affaire Dupont de Ligonnès, aussi appelée la « tuerie de Nantes », est un quintuple meurtre survenu à Nantes, en Loire-Atlantique. Cinq membres d'une même famille, les Dupont de Ligonnès, sont assassinés début avril 2011 ; leurs corps sont retrouvés le 21 avril 2011, dans leur maison nantaise. Le père de famille, Xavier Dupont de Ligonnès, reste introuvable et devient de fait le suspect no 1. Il fait l'objet d'un mandat d'arrêt international. (...)
Xavier Pierre Marie Dupont, comte de Ligonnès, né le
Son épouse, Agnès Hodanger, née le
Sa 12
Di 13 P(18)
Lu 14 P(19) E(15)
Ma 15
Me 16
Je 17
Ve 18
Sa 19 P(1) I(17)
Di 20
Lu 21 E(22)
Ma 22
Me 23
Je 24 P(6)
Ve 25 P(7)
Sa 26
Di 27
Lu 28 E(1) I(26)
Ma 29
Me 30 P(12)
Je 31
Avril 2011
Ve 1
Sa 2
Di 3
Lu 4 E(8)
Ma 5 P(18) I(1)
Me 6 P(19)
Je 7
Ve 8
Sa 9
Di 10
Lu 11 P(1) E(15)
Ma 12
Me 13 I(9)
Je 14
Ve 15
Sa 16 P(6)
Di 17 P(7)
Lu 18 E(22)
Xavier de Ligonnès a 50 ans et trois mois. il vient de passer par sa période critique septennale des 49 ans (de 48 ans et demi à 50 ans environ) son jour critique émotionnel est le lundi.
Agnès de Ligonnès a 48 ans et 5 mois et se trouve précisément au moment de l'entrée dans la période critique septennale des 49 ans, au moment du drame. son jour critique émotionnel est le vendredi.
les jours du 4-5 et 6 avril sont un épisode critique fort pour Xavier D.L. car triplement critique, et comportant des jours fortement critiques comme le jour critique émotionnel, les jours critiques physiques P18/P19 et le jour crique intellectuel i1.
il se peut cependant que cet épisode soit une coïncidence, si par exemple le drame était "programmé" à l'avance, ce qui semble avoir été le cas. la survenance de cet épisode (de pulsions/désinhibition) a cependant pu "aider" et "faciliter" un passage aux actes, voire faciliter une prise de décision...
on peut noter encore un élément important :
L’affaire Dupont de Ligonnès, aussi appelée la « tuerie de Nantes », est un quintuple meurtre survenu à Nantes, en Loire-Atlantique. Cinq membres d'une même famille, les Dupont de Ligonnès, sont assassinés début avril 2011 ; leurs corps sont retrouvés le 21 avril 2011, dans leur maison nantaise. Le père de famille, Xavier Dupont de Ligonnès, reste introuvable et devient de fait le suspect no 1. Il fait l'objet d'un mandat d'arrêt international. (...)
Xavier Pierre Marie Dupont, comte de Ligonnès, né le
Son épouse, Agnès Hodanger, née le
Les faits
Mars 2011
- Achat de balles de carabine le 12 mars.
Avril 2011
1er avril
- Le fils ainé Arthur quitte la Vendée où il est étudiant et ne rejoint pas le soir même la pizzeria où il travaille et où il devait recevoir son salaire. Ce qui intrigue l'employeur du jeune homme qui affirme qu'il venait pourtant toujours chercher sa paye du mois31;
- Xavier Dupont de Ligonnès achète du ciment ainsi qu'une bêche et une houe.
2 avril
- Puis le 2 avril, 4 sacs de chaux de 10 kg chacun,
3 avril
- Un voisin, Fabrice, voit pour la dernière fois Agnès puis, peu après, Xavier « mettant des gros sacs dans sa voiture », une Citroën C5
- Le couple et trois des enfants dînent dans un restaurant nantais Puis ils vont au cinéma
4 avril
- Anne et Benoît sont absents du collège La Perverie-Sacré Cœur "pour cause de maladie". Les élèves proches d'Anne et de Benoît s'inquiètent de ne pouvoir les joindre. Ils évoquent la rumeur d'un départ en Australie où le père aurait été muté et trouvent suspect qu'ils n'aient pas été prévenus par leurs camarades de ce « départ ». Ils ont tenté de contacter Benoît et Anne sur Internet et par SMS.
- La sœur de Xavier, Christine de Ligonnès, passe entre 20 et 30 minutes au téléphone avec lui. Selon elle, tout avait l'air normal.
- Xavier dîne en tête-à-tête avec son fils Thomas dans un restaurant gastronomique de la périphérie d'Angers, "Le Cavier / la Croix Cadeau" à Avrillé. Les deux serveurs se souviennent que le jeune homme de 18 ans ne se sentait pas très bien vers la fin du repas et que le dîner était des plus silencieux
5 avril
- Un huissier de justice, chargé de recouvrer une dette de 20 000 euros, se rend à la maison familiale, mais trouve porte close.
- Des témoins du voisinage sèment le doute sur la date supposée du décès d'Agnès de Ligonnès. Elle aurait été aperçue devant son domicile le 5 avril vers midi 15 - midi 30, puis le 7 avril Le procureur de Nantes a du reste reconnu que la date exacte des décès ne pouvait être déterminée "au jour près par les légistes". Ainsi une salariée du salon de coiffure voisin du domicile familial affirme sur RTL avoir vu Agnès Dupont de Ligonnès le mardi 5 avril. « Je venais chercher mon salaire. C'était un mardi, c'était le 5 avril. J'en avais besoin. Je l'ai vue sur le trottoir avec son téléphone vers midi 15, midi trente », déclare cette femme.
- Un ami de Thomas, étudiant en musicologie comme lui, affirme que Thomas a passé l'après-midi du mardi en sa compagnie dans son domicile d'Angers où ils ont fait de la musique et regardé la télévision. Il s'apprêtait à passer la nuit chez son ami quand Xavier aurait appelé son fils pour qu'il rentre à Nantes au chevet d'Agnès, sa mère, qui aurait eu « un accident de vélo ». Thomas a dîné rapidement chez son ami puis a pris le train vers 22 h 00. Le lendemain, son ami cherche à avoir des nouvelles mais se voit répondre de courts SMS comme « Je rentre pas chez toi. Je suis malade », ou encore « Malade à crever, je ne vais pas en cours ». Deux jours après le départ de Thomas, son ami reçoit un SMS : « Je n'ai plus de batteries, mon père va me chercher un nouveau chargeur ». Puis l'ami de Thomas n'a plus de nouvelles de la famille. Pauline, une ex-petite amie et camarade de classe de Thomas, se souvient d'un « garçon blagueur, souriant, joyeux ». La jeune femme déclare qu'ils sont sortis tous les deux « pas longtemps » et décrit son ex-compagnon comme « quelqu'un de très très gentil, toujours à l'écoute (…) très proche de ses frères, de sa sœur, de sa mère et de son père (…) passionné de musique et de cinéma ». De plus, elle déclare qu'elle lui a parlé sur Facebook le mardi 5 avril lorsqu'il se trouvait chez son ami, et qu'il lui a paru « bizarre sur la manière d'écrire » lorsqu'il lui a confié que sa mère avait eu un accident de vélo selon son père et qu'il devait rentrer chez lui le soir-même. De même, la veille de cette journée, le lundi 4 avril, elle avait aperçu Thomas « seul », tout comme le mardi 5, où l'adolescent lui a dit qu'il « allait sécher les cours du mercredi pour venir faire une répétition », répétition où il n'était pas venu, ce qui « ne lui ressemblait pas ».
- Cette même semaine, des voisins entendent les chiens de la famille hurler deux nuits durant, puis plus rien
6 avril
- La petite amie d'Arthur, inquiète de ne pas avoir eu de nouvelles de son compagnon est venue frapper à la porte de la maison familiale des Dupont de Ligonnès, où « une lumière éclairait encore le premier étage » mais les deux labradors de la famille n'aboyaient pas à ce moment-là.
7 avril: des témoignages concordants affirment avoir vu Agnès en vie
- Xavier de Ligonnès aurait été vu faisant plusieurs allers-retours et transportant des gros sacs et cabas à sa voiture Citroën C5. Une voisine affirme avoir également parlé avec Agnès ce jour-là : « Le 7 avril, j’ai vu Agnès promener son chien. On a parlé un peu. Puis j’ai écourté car j’avais un rendez-vous impératif.»
- « Les journaux disent qu'elle est morte d'après les autopsies le 4 (avril) et moi j'étais quasiment persuadée de l'avoir vue le jeudi 7 au soir parce que je sais que je n'avais pas beaucoup de temps pour parler avec elle parce que le jeudi soir je récupère mon fils chez la nourrice », avait déclaré sur RTL cette voisine proche qui a souhaité conserver l'anonymat
- Le reportage d'Anne-Sophie Martin, diffusé sur France 2 dans l'émission Envoyé Spécial le 24 octobre 2013, montre que plus de deux ans plus tard, cette voisine est toujours persuadée d'avoir vu Agnès. Le reportage révèle un autre témoignage concordant, une commerçante et amie d'Agnès qui affirme l'avoir vue dans son commerce le jeudi 7 ou le vendredi 8 avril.
- Des témoignages similaires sont cités sur une page du blog de la partie civile
8 avril
- Xavier communique sur le forum catholique cite-catholique.org. D'après le procureur de la République, il "s'est connecté pour la dernière fois le 8 avril, à partir de l'adresse IP du domicile nantais de la famille"
- Il envoie un courrier électronique à son beau-frère, époux de Christine : « Tout va bien, Bertram, tu auras bientôt des nouvelles plus longues par Christine. À plus. Amicalement. Xavier »
- Un message destiné à la mère et à la sœur de Xavier est adressé depuis l'adresse IP de la maison. À la suite de la révélation de cette information par RTL et Le Figaro le 7 mai, l'avocat de la famille Me Goldenstein déclare : Elle est partie de son adresse IP, mais n'a-t-elle pas été écrite sous la contrainte ? Soit Xavier s'est tué, soit il a été assassiné…
Courriers aux proches et disparition de la famille
11 avril
- Le collège de la Perverie reçoit un courrier signé de la main de Xavier, indiquant qu'Anne et Benoît quittent l'établissement et partent en Australie du fait d'une "mutation professionnelle urgente". L'établissement catholique « Blanche de Castille » reçoit une lettre de démission signée de la main d'Agnès, évoquant également cette mutation. Le directeur ne parvient pas à la joindre par téléphone.
- Une lettre dactylographiée non signée, datée du 11 avril et destinée à ses proches, est révélée par la presse le 5 mai. La date peut avoir été ajoutée. Rien ne prouve que cette lettre a été rédigée par Xavier de Ligonnès. Aucune analyse ADN de cette lettre n'est connue à ce jour (Lettre d'adieu à la famille de 4 pages qui aurait été envoyée par le père
- Xavier passe la nuit du 11 au 12 avril à l'hôtel Première Classe de Blagnac, près de Toulouse. Règle par carte bancaire. Puis repart avec sa Citroën C5.
12 avril
- Il passe la nuit du 12 au 13 avril à l'Auberge de Cassagne sur la commune du Pontet (Vaucluse), sous la fausse identité de M. Laurent Xavier. Paye 214,59 € par carte bancaire.
13 avril
- Les voisins inquiets appellent la police, la maison ayant les volets clos depuis plus d'une semaine et la voiture d'Agnès étant garée dans la rue
14 avril
- Il retire 30 € à un distributeur automatique de billets à Roquebrune-sur-Argens (Var)
- Le soir, il dort au Formule 1 de cette commune, où il est filmé par une caméra de vidéosurveillance.
15 avril
- Xavier quitte l'hôtel mais abandonne son véhicule.
- À une trentaine de kilomètres de Roquebrune-sur-Argens, Colette Deromme disparaît de sa villa de Lorgues (Var) de façon mystérieuse, sans prendre son véhicule ni ses clefs ; son corps sera retrouvé un mois après. Les époux Dupont de Ligonnès ont habité Lorgues dans les années 1990, où sont nés deux de leurs enfants. Un rapprochement a été proposé entre ces deux faits divers mais la justice n'évoque qu'une coïncidence57.
Xavier Dupont de Ligonnès disparaît depuis cette date.
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j'ai récupéré certaines données sur la page Wikipédia, afin de tenter de les mettre en rapport avec la situation cyclique de Xavier de Ligonnès et pour certaines, de son épouse :
mars 2011 (9/01/1961)
Ve 11 I(9)Sa 12
Di 13 P(18)
Lu 14 P(19) E(15)
Ma 15
Me 16
Je 17
Ve 18
Sa 19 P(1) I(17)
Di 20
Lu 21 E(22)
Ma 22
Me 23
Je 24 P(6)
Ve 25 P(7)
Sa 26
Di 27
Lu 28 E(1) I(26)
Ma 29
Me 30 P(12)
Je 31
Avril 2011
Ve 1
Sa 2
Di 3
Lu 4 E(8)
Ma 5 P(18) I(1)
Me 6 P(19)
Je 7
Ve 8
Sa 9
Di 10
Lu 11 P(1) E(15)
Ma 12
Me 13 I(9)
Je 14
Ve 15
Sa 16 P(6)
Di 17 P(7)
Lu 18 E(22)
Xavier de Ligonnès a 50 ans et trois mois. il vient de passer par sa période critique septennale des 49 ans (de 48 ans et demi à 50 ans environ) son jour critique émotionnel est le lundi.
Agnès de Ligonnès a 48 ans et 5 mois et se trouve précisément au moment de l'entrée dans la période critique septennale des 49 ans, au moment du drame. son jour critique émotionnel est le vendredi.
les jours du 4-5 et 6 avril sont un épisode critique fort pour Xavier D.L. car triplement critique, et comportant des jours fortement critiques comme le jour critique émotionnel, les jours critiques physiques P18/P19 et le jour crique intellectuel i1.
il se peut cependant que cet épisode soit une coïncidence, si par exemple le drame était "programmé" à l'avance, ce qui semble avoir été le cas. la survenance de cet épisode (de pulsions/désinhibition) a cependant pu "aider" et "faciliter" un passage aux actes, voire faciliter une prise de décision...
on peut noter encore un élément important :
Agnès Hogander avait 48 ans lors de sa mort, assassinée par deux balles dans la tête.
En 2004, soit sept ans avant le drame, elle s'était confiée longuement sur le forum Doctissimo témoignant des difficultés que connaissaient le couple et la famille, expliquant, entre autres déclarations, que son mari lui aurait dit qu'une mort collective ne serait pas une catastrophe.
en 2004 Agnès Hodanger avait 41/42 ans, et se trouvait donc en pleine période critique septennale, alors que Xavier de Ligonnès avait 43 ans et sortait tout juste de la même période critique septennale.
il est donc possible que les mêmes difficultés du couple étaient également présente lors du drame, la situation étant précisément la même qu'en 2004, il s'agirait alors, en quelque sorte, d'une récidive septennale des difficultés éventuelles du couple - les deux partenaires se trouvant ensemble dans leurs périodes critiques suivantes - donc possible "récidive" aussi des idées et risques afférents à cette situation se reproduisant sept années après. avec un risque de crescendo.
le drame Dupont de Ligonnès semble bien être un drame de la période critique septennale des 49 ans...
affaire Godard :
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/2013/11/spectre.htmlmercredi 20 février 2013
Amityville
Ronald Joseph DeFeo Jr., né le 26 septembre 1951, est un assassin américain.
Il a été jugé et condamné pour le meurtre de son père, sa mère, ses deux frères et deux sœurs.
Il est célèbre pour être l'un des protagonistes de l'affaire d'Amityville ayant inspiré un livre et des films d'horreur.
Dans la nuit du 13 novembre 1974, à 3h15, Ronald Defeo assassine son père, Ronald Defeo Sr., 43 ans, sa mère Louise Defeo, 42 ans, et ses quatre frères et sœurs : Dawn, 18 ans ; Allison, 13 ans ; Marc, 12 ans ; et John Matthew, 9 ans. Il se serait servi d'une carabine Marlin de calibre .35.
Ronald DeFeo Jr. était l'ainé de la famille. Il ne s'accusa pas immédiatement des meurtres, mais sa version des faits comportait de telles incohérences qu'il avoua dès le lendemain. Il dit aux inspecteurs : "Once I started, I just couldn’t stop. It went so fast." (Une fois que j'avais commencé, il m'était simplement impossible de m'arrêter. Cela allait trop vite.), et il affirma aussi avoir été comme manipulé par une entité qu'il appela "Le Diable". Le 21 novembre 1975, Ronald Defeo Jr a été déclaré coupable des 6 meurtres. Le 4 décembre 1975, le juge Thomas Stark le condamna à six peines consécutives d'emprisonnement allant de 25 ans à la perpétuité. L'hypothèse de la folie plaidée par la défense ne fut pas retenue. DeFeo est actuellement détenu dans la prison de Green Haven (Beekman, New York), et aucun de ses appels n'a abouti.
(Wikipédia)
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cette affaire - j'avais entendu parler du film sans connaître l'histoire, et je découvre... - s'explique aussi par la situation des cycles psychiques de l'auteur du drame : (drame du jour critique émotionnel)
13 novembre 1974 (26/09/1951)
Je 7
Ve 8
Sa 9
Di 10 P(6)
Lu 11 P(7)
Ma 12 I(1)
Me 13 E(22)
Je 14
Ve 15
- Ronald DeFeo a 23 ans et un mois (il vient de passer par son 23ème anniversaire et est entrée dans son année critique physique P1 qu'est la 24ème année de vie)
- le drame est arrivé lors d'un épisode triplement critique (P6/P7-i1-E22)
- il venait de passer dans le jour le plus fort du cycle intellectuel avec le jour critique intellectuel i1 le mardi 12
- et il est entré mardi soir dans son jour critique émotionnel E22 (natif du mercredi = drame mercredi)
en outre il est à craindre qu'il y ait eu des tensions avec ses parents, et/ou entre les deux parents :
il y a effectivement une compatibilité septennale entre les deux et les deux se trouvaient à côté ou dans leur période critique septennale des 42 ans mais aussi tous deux à côté de leur anniversaire.
en outre la mère se trouvait elle aussi dans un épisode triplement critique : jour critique physique P7 et jour critique émotionnel E8 le mardi puis jour critique intellectuel i9 mercredi.
Allison a le même jour critique émotionnel que Ronald.
Marc a le même jour critique émotionnel que la mère et se trouvait dans un jour "fort" (E1) mardi.
Ronald Joseph DeFeo, Sr. (born: November 16, 1930) (situation neutre)
Louise Marie Brigante (born: November 3, 1931)
Lu 11 P(6)
Ma 12 P(7) E(8)
Me 13 I(9)
Je 14
Dawn Theresa, July 29, 1956; (jour critique physique P12 mercredi)
Allison Louise, August 16, 1961; (P7 mardi E22 mercredi)
Marc Gregory, September 4, 1962; (E1 mardi)
John Matthew, October 24, 1965. (P18/P19 mardi/mercredi)
http://www.infobarrel.com/Real_Amityville_Horror_of_Mass_Murderer_Ronald_DeFeo_Jr#xkfrjVM8ZSZKTlCW.99
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édit : les acheteurs de la maison - à l'origine de la "légende" de la maison hantée :
Kathy Lutz was born in the United States on October 13th 1946. She was married to George Lutz. She worked as a screenwriter. She lived in Amityville, New York and New York City. She died in Scottsdale in August 2004 aged 57 years and 10 months old. Her death was caused by emphysema
George Lutz died in Las Vegas, Nevada on May 8th 2006 from cardiovascular disease. He was 59 years, 2 months and 11 days old when he died.
George Lutz Born on the Sunday 27 February 1947. et son épouse en 1946 : ils (George surtout) se trouvaient donc tous deux dans leur période critique septennale des 28 ans au moment de leur achat de la maison d'Amityville, ce qui peut éventuellement expliquer toute l'histoire qui a été écrite ensuite... et le fait que George n'ait pas "tenu le coup"...: la période critique septennale est une période propice aux délires et hallucinations si les circonstances s'y prêtent, comme ce fut le cas ici avec les antécédents connus de la maison.
Jay Anson, l'écrivain de "The Amityville Horror" se trouvait dans sa période critique septennale des 56 ans lorsqu'il a écrit le livre... ce qui peut expliquer une forme de "bonne entente" avec George Lutz... :-)
Jay Anson, l'écrivain de "The Amityville Horror" se trouvait dans sa période critique septennale des 56 ans lorsqu'il a écrit le livre... ce qui peut expliquer une forme de "bonne entente" avec George Lutz... :-)
dimanche 2 décembre 2012
quintuple meurtre de Coransez
Quintuple meurtre de Corez : le père à nié jusqu'à la mort
Condamné aux travaux forcés à perpétuité pour le meurtre de ses cinq enfants, dans la nuit du 21 au 22 avril 1901, à Corancez, Édouard Brierre n’a cessé de clamer son innocence.
«J’avais à peine dépassé les grandes portes qu’un individu se jeta sur moi et me porta des coups d’un instrument tranchant. Un autre individu, que je n’ai pas vu, m’a frappé la tête. J’ai perdu connaissance et je ne me rappelle plus rien. Plus tard, je me suis traîné comme j’ai pu sur la route où j’ai crié : “Au secours?!”»Blessures superficielles Il est 3 heures du matin, le 22 avril 1901. Réveillé par les cris, le dénommé Bouvet se précipite chez son voisin, Édouard Brierre, à Corancez. Il le trouve étendu dans sa cuisine, blessé. D’autres voisins, les frères Baron, arrivent à leur tour. Ils vont découvrir un spectacle insoutenable. Dans une première chambre, Laurent, huit ans, le seul fils de Brierre, gît la tête défoncée, les mains jointes. Flora, quinze ans et demi, Béatrix, onze ans, Laure, sept ans et Célina, quatre ans, ses quatre sœurs, sont retrouvées étendues dans une autre pièce, assassinées de la même façon. Germaine, quatorze ans, a échappé au massacre car elle vit chez sa tante, à Paris, où elle travaille dans une confiserie. Au matin, les gendarmes à La Bourdinière procèdent aux premières investigations dans la ferme et investissent le village en émoi.
Édouard Brierre, dont les blessures sont superficielles, à l’exception d’une plaie à deux centimètres du cœur, est jugé en état d’être interrogé. Et tout de suite, ses déclarations paraissent suspectes. Né le 26 novembre 1859 à Montainville, veuf depuis trois ans, il dirige une entreprise d’abattage et élève seul ses six enfants.(.....)
http://www.lechorepublicain.fr/eure-et-loir/actualite/2012/12/02/quintuple-meurtre-de-corez-le-pere-a-nie-jusqu-a-la-mort-1356811.html
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Le crime de Corancez – Brierre est
décédé au bagne et jusqu'à sa mort n'a
cessé, on le sait, de protester de son innocence. Or, un véritable coup de théâ-
tre vient de se produire : un chemineau
s'est présenté jeudi à la gendarmerie de
Tours pour s'accuser d'être l'auteur du
crime pour lequel Brierre est mort au
bagne. Dit-il bien la vérité ? c'est ce
que la justice ne saurait tarder à éclaircir mais toujours est-il que le chemineau a donné de tels détails du crime
dont il s'accuse que l'on se demande
avec angoisse s'il n'a pas dit vrai, d'autant plus que quatre jours après le
crime, le juge d'instruction, chargé de
l'affaire de Corancez, avait reçu une
lettre d'un chemineau s'accusant du
quintuple crime.
7 AOÛT 1910
http://lesamisdebonneval.free.fr/Gazette%2028.pdf
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voici la situation cyclique de Brierre, puisque nous avons sa date de naissance, si elle est juste :
22 avril 1901 (26/11/1859)
Me 17 P(7)
Je 18
Ve 19
Sa 20 E(1)
Di 21
Lu 22 P(12) I(9)
Ma 23
Me 24
Je 25
Ve 26
Sa 27 E(8)
l'indice le plus intéressant est probablement la situation précise à l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans (Brierre a 41 ans et 5 mois)
le jour du crime est moins clair puisque l'on s'attend en général à un jour critique émotionnel (E1 le plus fort des quatre, se trouve toutefois samedi quasiment un jour avant, le massacre ayant été commis dans la nuit de dimanche à lundi) mais P12 et i9 sont également des jours "pulsions". (1)
le jour critique émotionnel est cependant surtout présent s'il s'agit d'un accès de rage, colère ou folie soudaine. il l'est moins s'il s'agit d'un plan prémédité et ruminé à l'avance.
on a du mal à croire que deux individus (d'après le récit de Brierre ils étaient deux) qui auraient attaqué tout le monde cette nuit là, auraient épargné le père tout en tuant de façon certaine les enfants...
pas de nouvelles apparemment du chemineau qui s'est accusé des meurtres... juste quelques jours après, ni de celui qui aurait écrit une lettre en 1910 pour s'en accuser...
le fait de nier définitivement le drame est plausible également surtout dans la mesure où la période critique septennale est une période trouble, notre période Hyde : c'est donc lui qui a commis le crime, et non pas Jeckyll qui lui succède après le passage dans la période critique, Jeckyll qui se considère comme étranger à l'affaire...
(1) édit 2/03/2015 : on retrouve finalement le jour critique intellectuel i9 que j'ai entre-temps, et après plus d'exemples et expérience... appelé le "jour des tueurs"...
lundi 17 septembre 2012
Judith Barsi
Judith Barsi était une actrice américaine née le 6 juin 1978 à San Fernando Valley, Los Angeles (États-Unis), et morte assassinée le 25 juillet 1988 à Canoga Park (Californie).
Démarrant une carrière de jeune actrice dans plusieurs téléfilms des années 80, Judith se fit remarquer dans Les Dents de la mer 4 sorti en 1987.
Son père, Jozsef, plombier au chômage et alcoolique, devenait de plus en plus jaloux et abusif envers Judith. A plusieurs reprises, il devint agressif avec des couteaux de cuisine qu'il mettait directement au cou de sa petite fille. Sa mère Maria la laissait rarement seule avec Jozsef, très dangereux à la fois physiquement et mentalement. Quand elle était seule à la maison avec son père, Judith essayait de passer son temps à l'extérieur à faire du vélo avec ses amis ou à jouer avec ses poupées.
Dans ses derniers mois, l'abus de Jozsef commençait à se faire ressentir : Judith s'arrachait les cils dans des accès de stress terribles. Elle gagna également beaucoup de poids. Le 25 Juillet, 1988, Jozsef se faufila dans la chambre de la pauvre Judith, 10 ans, et lui tira dans la tête avec une arme de poing. Maria entendit le coup de feu et fut également tuée à bout portant. Le 27 à environ 8h30 du matin, ce père de famille devenu assassin trempa les cadavres de sa fille et de sa femme dans l'essence et mis le feu à la maison. Il se rendit ensuite dans le garage et se tira une balle dans la tempe.
==============
le père Jozsef étant né en 1933 (pas trouvé date précise) il s'agit d'un coup de folie septennal à l'entrée dans la période critique septennale des 56 ans... (1933-1988)
édit 17/01/2015 :
József Istvan "Arizona Joe" Barsi (November 26, 1932 - July 27, 1988)
http://real-life-villains.wikia.com/wiki/J%C3%B3zsef_Barsi
et sa situation au moment du drame et de son suicide deux jours après :
juillet 1988 (26/11/1932)
Je 21 P(18)
Ve 22 P(19)
Sa 23 E(1) I(1)
Di 24
Lu 25
Ma 26
Me 27 P(1)
Je 28
Ve 29
Sa 30 E(8)
à 55 ans et 8 mois soit l'entrée dans la période critique septennale des 56 ans : curieusement pas de jour critique le 25 mais un épisode critique fort du 21 au 23 juillet.
samedi 16 octobre 2010
tuerie de Louveciennes
Wikipédia :
Alexi Polevoi a été reconnu coupable par la justice française dans l'affaire dite « tuerie de Louveciennes ».
Né le 1er avril 1978, Alexi est le fils d'Eugène Polevoi (1953-1995), un riche homme d'affaires russe installé en France.
Le 26 février 1995, alors qu'il n'a pas encore dix-sept ans, il tue son père, l'épouse de ce dernier, deux autres membres de la famille et un couple d'amis, tous russes, dans le pavillon familial de Louveciennes (chemin des Gressets), dans les Yvelines. Seule sa demi-sœur, âgée de trois ans au moment des faits, est épargnée.
À l'époque, le procureur adjoint au parquet de Versailles explique que le garçon s'est servi des armes à feu que collectionne son père. Les relations difficiles qu'il entretient avec ce dernier peuvent expliquer son geste.
La nuit de la tuerie, Alexi prend la voiture de son père, se rend dans un bar à Paris et se paie une prostituée. Plus tard, il téléphone à la police pour rendre compte du décès de sa famille, qu'il affirme découvrir à son retour. Il procède cependant à des aveux le jour même lors de sa garde à vue.
Condamné le 14 mars 1998 à huit années de prison, Alexi Polevoi est libéré le 8 juillet 2000 après cinq ans et cinq mois de détention, par le jeu des remises de peine. Entretemps, d'autres événements sont survenus comme la mort de son oncle (frère de son père), Dimitri, tué lui-même par balle en Biélorussie le 8 décembre 1996, soit moins de deux ans après avoir pris la succession de son frère, et relançant l'hypothèse d'un crime de la mafia russe. Entretemps, Alexi était revenu sur ses aveux, désignant un tueur russe qui lui aurait demandé de s'accuser, sous peine d'abattre encore cinq de ses proches.
==============
la situation de l'adolescent au moment du crime : (le drame a eu lieu dans la nuit du 26 au 27)
février 1995 (1/04/1978)
Je 23
Ve 24
Sa 25 E(15)
Di 26 P(12)
Lu 27
Ma 28
c'est un épisode doublement critique avec samedi le jour critique émotionnel E15 et dès samedi soir l'entrée dans le jour critique physique P12 de dimanche.
en principe c'est le jour critique émotionnel que je m'attends à trouver dans ce genre de drame, le jour même surtout, et sinon le jour à côté, ce qui est le cas ici : il est jour de pulsions et notamment de colère et son effet peut s'accumuler et persister.
nous sommes à un mois de l'anniversaire, autre épisode pulsions fréquemment présent dans ce type de drame.
le père de Alexi (pas trouvé date de naissance précise pour voir le jour critique émotionnel) se trouve en pleine période critique septennale des 42 ans : cela peut signifier qu'il y avait de fortes tensions voire de l'insupportabilité et plus, entre les deux personnes.
l'année de vie 17 est une année critique intellectuelle i17 - année critique du cerveau.
"Le 25 novembre 1995, Alexi revient sur ses aveux et déclare qu'il a agi sous l'emprise d'un homme en noir, s'exprimant en russe « venu tout spécialement » lui ordonner ce massacre."
http://www.affaires-criminelles.com/dossier_12-1.php
le 25 novembre est un jour critique émotionnel E8 ce qui peut participer à l'explication de cette rétractation.
Alexi Polevoi a été reconnu coupable par la justice française dans l'affaire dite « tuerie de Louveciennes ».
Né le 1er avril 1978, Alexi est le fils d'Eugène Polevoi (1953-1995), un riche homme d'affaires russe installé en France.
Le 26 février 1995, alors qu'il n'a pas encore dix-sept ans, il tue son père, l'épouse de ce dernier, deux autres membres de la famille et un couple d'amis, tous russes, dans le pavillon familial de Louveciennes (chemin des Gressets), dans les Yvelines. Seule sa demi-sœur, âgée de trois ans au moment des faits, est épargnée.
À l'époque, le procureur adjoint au parquet de Versailles explique que le garçon s'est servi des armes à feu que collectionne son père. Les relations difficiles qu'il entretient avec ce dernier peuvent expliquer son geste.
La nuit de la tuerie, Alexi prend la voiture de son père, se rend dans un bar à Paris et se paie une prostituée. Plus tard, il téléphone à la police pour rendre compte du décès de sa famille, qu'il affirme découvrir à son retour. Il procède cependant à des aveux le jour même lors de sa garde à vue.
Condamné le 14 mars 1998 à huit années de prison, Alexi Polevoi est libéré le 8 juillet 2000 après cinq ans et cinq mois de détention, par le jeu des remises de peine. Entretemps, d'autres événements sont survenus comme la mort de son oncle (frère de son père), Dimitri, tué lui-même par balle en Biélorussie le 8 décembre 1996, soit moins de deux ans après avoir pris la succession de son frère, et relançant l'hypothèse d'un crime de la mafia russe. Entretemps, Alexi était revenu sur ses aveux, désignant un tueur russe qui lui aurait demandé de s'accuser, sous peine d'abattre encore cinq de ses proches.
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la situation de l'adolescent au moment du crime : (le drame a eu lieu dans la nuit du 26 au 27)
février 1995 (1/04/1978)
Je 23
Ve 24
Sa 25 E(15)
Di 26 P(12)
Lu 27
Ma 28
c'est un épisode doublement critique avec samedi le jour critique émotionnel E15 et dès samedi soir l'entrée dans le jour critique physique P12 de dimanche.
en principe c'est le jour critique émotionnel que je m'attends à trouver dans ce genre de drame, le jour même surtout, et sinon le jour à côté, ce qui est le cas ici : il est jour de pulsions et notamment de colère et son effet peut s'accumuler et persister.
nous sommes à un mois de l'anniversaire, autre épisode pulsions fréquemment présent dans ce type de drame.
le père de Alexi (pas trouvé date de naissance précise pour voir le jour critique émotionnel) se trouve en pleine période critique septennale des 42 ans : cela peut signifier qu'il y avait de fortes tensions voire de l'insupportabilité et plus, entre les deux personnes.
l'année de vie 17 est une année critique intellectuelle i17 - année critique du cerveau.
"Le 25 novembre 1995, Alexi revient sur ses aveux et déclare qu'il a agi sous l'emprise d'un homme en noir, s'exprimant en russe « venu tout spécialement » lui ordonner ce massacre."
http://www.affaires-criminelles.com/dossier_12-1.php
le 25 novembre est un jour critique émotionnel E8 ce qui peut participer à l'explication de cette rétractation.
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