Dan Kiley, 54, Dies; Wrote 'Peter Pan Syndrome' feb. 27, 1996 Dan Kiley, the psychologist whose 1983 book, "The Peter Pan Syndrome," became an international best seller and led to a wave of copycat pop-psychology books, died on Saturday in Tucson, Ariz. He was 54.
His wife, JoAnne, said he had suffered a heart attack after playing handball.
https://www.nytimes.com/1996/02/27/us/dan-kiley-54-dies-wrote-peter-pan-syndrome.html
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c'est un article du 27 février 1996 qui précise que Dan Kiley est décédé à l'âge de 54 ans. (né 1942 - décédé 24/02/1996 ? pas trouvé de données précises) je note car il est à l'origine de l'idée du Syndrome de Peter Pan (1983) donc une idée de la période critique septennale des 42 ans.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_de_Peter_Pan
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
Affichage des articles dont le libellé est pédophilie septennale. Afficher tous les articles
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jeudi 7 mars 2019
dimanche 30 septembre 2018
récidiviste septennal
Sarah Evelyn Isobel Payne (13 October 1991 – c. 1 July 2000), an 8-year-old school girl, was the victim of a high-profile abduction and murder in England in July 2000. The subsequent investigation became a prominent case in the United Kingdom. Her murderer, Roy Whiting, was convicted in December 2001 and sentenced to life imprisonment.
First conviction On 4 March 1995, an eight-year-old girl was abducted and sexually assaulted in the Langley Green area of Crawley. Whiting was arrested (...)
Sarah Payne's disappearance Sarah Payne, who lived in Hersham, Surrey, disappeared on the evening of 1 July 2000 from a cornfield near the home of her paternal grandparents (...)
(Wikipédia)
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Roy William Whiting
(*26 January 1959)
4 mars 1995 (26/01/1959)(lendemain du jour critique physique P7 en épisode critique semestriel et en période critique septennale des 35 ans)
First conviction On 4 March 1995, an eight-year-old girl was abducted and sexually assaulted in the Langley Green area of Crawley. Whiting was arrested (...)
Sarah Payne's disappearance Sarah Payne, who lived in Hersham, Surrey, disappeared on the evening of 1 July 2000 from a cornfield near the home of her paternal grandparents (...)
(Wikipédia)
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Roy William Whiting
(*26 January 1959)
4 mars 1995 (26/01/1959)(lendemain du jour critique physique P7 en épisode critique semestriel et en période critique septennale des 35 ans)
Me 1 I(17)
Je 2 P(6)
Ve 3 P(7)
Sa 4
Di 5
Lu 6 E(1)
1er juillet 2000 (26/01/1959) est jour neutre mais comme en 1995 en épisode critique semestriel et - surtout - en période critique septennale suivante des 42 ans...
(victime en épisode triple critique le 1er juillet 2000)
hélas triste exemple de récidive de pédophilie septennale...
samedi 9 septembre 2017
peine de mort
Peine de mort: Il y a 40 ans, la dernière exécution d'un prisonnier
en France Le 10 septembre 1977, Hamida Djandoubi, 27 ans, est
guillotiné à Marseille - la dernière exécution d'un condamné à mort en
France...
"Djandoubi retrouve Élisabeth, presque par hasard. Il l'invite chez lui, où elle se rend le 3 juillet 1974. Élisabeth y subit une longue séance de torture, en présence d'Anna et Amaria, au cours de laquelle elle est frappée à coups de bâton et de ceinture et brûlée sur certaines parties du corps. Élisabeth est ensuite transportée, nue et sans connaissance, dans la campagne, près de Salon-de-Provence, à une quarantaine de kilomètres de Marseille. Djandoubi l'entraine dans un cabanon de pierres, où il l'achève en l'étranglant. Le corps non identifiable est retrouvé par des enfants quelques jours plus tard. Le 28 juillet 1974, il recueille une adolescente en fugue âgée de 15 ans, Houria, la séquestre et la viole. (...)(Wikipédia)
http://www.20minutes.fr/societe/2129327-20170909-peine-mort-40-ans-derniere-execution-prisonnier-france
===============
j'ai regardé la situation des trois personnes guillotinées citées dans l'article :
Hamida Djandoubi
3 juillet 1974 (22/09/1949)(jour critique intellectuel i9 veille du jour critique émotionnel E8)
28 juillet 1974 (22/09/1949)(jour critique intellectuel i1)
"Djandoubi retrouve Élisabeth, presque par hasard. Il l'invite chez lui, où elle se rend le 3 juillet 1974. Élisabeth y subit une longue séance de torture, en présence d'Anna et Amaria, au cours de laquelle elle est frappée à coups de bâton et de ceinture et brûlée sur certaines parties du corps. Élisabeth est ensuite transportée, nue et sans connaissance, dans la campagne, près de Salon-de-Provence, à une quarantaine de kilomètres de Marseille. Djandoubi l'entraine dans un cabanon de pierres, où il l'achève en l'étranglant. Le corps non identifiable est retrouvé par des enfants quelques jours plus tard. Le 28 juillet 1974, il recueille une adolescente en fugue âgée de 15 ans, Houria, la séquestre et la viole. (...)(Wikipédia)
http://www.20minutes.fr/societe/2129327-20170909-peine-mort-40-ans-derniere-execution-prisonnier-france
===============
j'ai regardé la situation des trois personnes guillotinées citées dans l'article :
Hamida Djandoubi
3 juillet 1974 (22/09/1949)(jour critique intellectuel i9 veille du jour critique émotionnel E8)
Lu 1
Ma 2
Me 3 P(12) I(9)
Je 4 E(8)
Ve 5
Sa 6
28 juillet 1974 (22/09/1949)(jour critique intellectuel i1)
Je 25 E(1)
Ve 26 P(12)
Sa 27
Di 28 I(1)
Lu 29
Ma 30
Me 31
Christian Ranucci
Marie-Dolorès Rambla, huit ans, est enlevée devant chez elle à Marseille le ,(...)(Wikipédia)
3 juin 1974 (6/04/1954)(veille du jour critique émotionnel E1 - période critique septennale des 21 ans)
Sa 1
Di 2
Lu 3
Ma 4 E(1)
Me 5 P(6)
Je 6 P(7)
Ve 7 I(9)
Sa 8
Di 9
Jérôme Carein
Le à Arleux, pris d'une pulsion sexuelle,
il avise la jeune Cathy Petit, âgée de huit ans,(...)(Wikipédia)
27 octobre 1975 (2/07/1941)(jour critique physique P1 - période critique septennale des 35 ans)
Ve 24 I(26)
Sa 25
Di 26
Lu 27 P(1)
Ma 28
Me 29 E(22)
samedi 12 août 2017
Christian Ranucci
L’affaire Christian Ranucci est le procès médiatisé de Christian Ranucci — né le 6 avril 1954 à Avignon et mort le 28 juillet 1976 (à 22 ans) à Marseille — qui s'est conclu par la condamnation à mort et l'exécution par décapitation de celui-ci aux Baumettes pour l'enlèvement et le meurtre, le 3 juin 1974, de la petite Marie-Dolorès Rambla, âgée de huit ans.
(...)
Marie-Dolorès Rambla, huit ans, est enlevée devant chez elle à Marseille le 3 juin 1974, entre 11 h 5 (heure à laquelle Maria Rambla, la mère, voit encore ses enfants jouer) et 11 h 20 (heure approximative à laquelle Pierre Rambla, ouvrier boulanger et père de quatre enfants, rentre chez lui). Alors qu'elle joue avec son petit frère Jean-Baptiste, âgé de six ans et demi, dans la cité Sainte-Agnès qu'ils habitent (quartier des Chartreux), une voiture grise se gare devant l'un des garages jouxtant le lieu où les enfants s'amusent, un homme en descend et aborde les deux enfants. Il leur explique qu'il a perdu son chien noir et demande au petit Jean-Baptiste de partir à sa recherche. Il demande à Marie-Dolorès de rester près de lui pour chercher également le chien de leur côté. Le petit garçon fait le tour de l'immeuble à la recherche du chien perdu mais à son retour il ne voit plus ni homme, ni voiture et surtout, sa sœur a disparu. (Wikipédia)
257
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(veille du jour critique émotionnel E1 dans un épisode triple critique (deux mois après l'anniversaire), en période critique septennale des 21 ans)
3 juin 1974 (6/04/1954-18h45)
Sa 1
Di 2
Lu 3
Ma 4 E(1)
Me 5 P(6)
Je 6 P(7)
Ve 7 I(9)
Sa 8
Di 9
jeudi 17 septembre 2015
Niki
Née d'une mère américaine, Jeanne-Jacqueline Harper, et d'un père français, André Marie Fal de Saint Phalle, elle est le deuxième enfant d'une famille de cinq (John, Marie-Agnès, Claire, Elizabeth, Richard). Confiée pendant trois ans à ses grand-parents qui vivent à la campagne, dans la Nièvre, elle grandit ensuite àNew York et se marie à l'âge de dix-huit ans avec le poète Harry Mathews, un ami d'enfance qui fait alors son service militaire. C'est d'abord un mariage civil, puis sur l'instance des parents de Niki, les jeunes gens procèdent à un mariage religieux à l'église française de New York.
Pendant longtemps, elle cache un lourd secret, le viol par son père à l'âge de onze ans, qu'elle révèlera en 1994, à l'âge de soixante-quatre ans, dans son livre Mon secret.
(Wikipédia)
André-Marie Fal de Saint Phalle * 04.11.1906
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à l'âge de 11 ans (1941) le père de Niki de Saint Phalle, natif de novembre, se trouvait dans sa période critique septennale des 35 ans. un viol qu'elle révélera en période critique septennale des 63 ans. elle en a cependant déjà fait état dans "Dady 1973" (période critique septennale des 42 ans)
mardi 7 juillet 2015
Boy A
Le tueur en série d’enfant de Kobe écrit un livre ambigu
Le tueur avait placé la tête coupée de sa victime de 11 ans devant le portail d’un collège de Kobe et avait ressenti l’extase. "Laissez-moi vous avouer quelque chose : j’ai pensé que ce spectacle était de toute beauté", écrit Seito Sakakibara, le pseudonyme d’un tueur en série, mineur au moment des faits et emprisonné pour 2 meurtres d’enfants. "Je me sentais comme si j’étais né simplement pour voir la beauté éthérée de ce qui était en face de mes yeux. Je pensais que je pouvais à présent mourir." Les souvenirs de Sakakibara ont été publiés dans une autobiographie controversée au début du mois de juin. Il y exprime ses regrets pour les meurtres qu’il a commis à Kobe en 1997, mais les décrits avec tant de détails que les lecteurs peuvent s’interroger sur ses véritables sentiments. Seito Sakakibara, qui a maintenant 32 ans et dont le véritable nom n’a jamais été révélé, a assassiné 2 enfants et en a blessé 3 autres, dans des agressions qui ont terrifiées le Japon, au point que l’opinion publique avait demandé des peines plus lourdes pour les criminels mineurs. En réaction, les lois sur la délinquance juvénile s’étaient durcit, baissant l’âge de responsabilité légale à 14 ans au lieu de 16. Dans son livre, le tueur explique que, lorsqu’il était adolescent, il était « un déviant sexuel incorrigible » qui avait obtenu une satisfaction sinistre en disséquant des animaux et, finalement, en tuant des êtres humains. "Lorsque je suis arrivé au collège, je m’étais déjà lassé de tuer des chats, et j’ai commencé à fantasmer sur ce que je ressentirais en assassinant des êtres humains comme moi". Jun Hase En février 1997, alors âgé de 14 ans, Sakakibara a agressé trois petites filles. Le 16 mars, il a assassiné une écolière de 10 ans, Ayaka Yamashita, en lui fracassant le crâne avec un tube d’acier. Le 24 mai 1997, il a étranglé et décapité un garçon de 11 ans qu’il connaissait, Jun Hase, sur les pentes d’une montagne voisine. Il a ensuite porté la tête du garçon jusqu’à la salle de bain de ses parents, où il s’est enfermé et a commis "un acte beaucoup plus odieux que le meurtre." Il a ensuite laissé la tête du jeune garçon devant son collège, accompagnée d’une lettre qui se moquait de la police… Sakakibara a été emprisonné dans une maison de correction médicalisée pour mineurs et, depuis sa libération en 2004, à 21 ans, il gagne sa vie comme ouvrier journalier. Dans l’épilogue de son livre, l’auteur parle de la culpabilité qui l’afflige aujourd’hui et propose des excuses aux parents de ses victimes, affirmant qu’il reconnaît désormais la gravité de ses actes. "Je ne pouvais plus me taire sur mon passé. Je devais écrire. Sinon, je serais devenu fou". Mamoru Hase, le père de Jun Hase, a demandé publiquement que le livre soit interdit. "Le livre complètement piétiné nos sentiments. Il est clair qu’il n’est pas du tout désolé pour ce qu’il a fait". Source : Tueurs en série
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22323&hl=
=====================
Seito Sakakibara (Sakakibara Seito?, - ) est le surnom d'un tueur japonais, mineur au moment des faits..(...)
Comme un mineur délinquant, il a été poursuivi et condamné comme "Boy A". Son vrai nom n'a pas été communiqué à la presse parce que la loi japonaise interdit la publication de l'identification.
Le tueur avait placé la tête coupée de sa victime de 11 ans devant le portail d’un collège de Kobe et avait ressenti l’extase. "Laissez-moi vous avouer quelque chose : j’ai pensé que ce spectacle était de toute beauté", écrit Seito Sakakibara, le pseudonyme d’un tueur en série, mineur au moment des faits et emprisonné pour 2 meurtres d’enfants. "Je me sentais comme si j’étais né simplement pour voir la beauté éthérée de ce qui était en face de mes yeux. Je pensais que je pouvais à présent mourir." Les souvenirs de Sakakibara ont été publiés dans une autobiographie controversée au début du mois de juin. Il y exprime ses regrets pour les meurtres qu’il a commis à Kobe en 1997, mais les décrits avec tant de détails que les lecteurs peuvent s’interroger sur ses véritables sentiments. Seito Sakakibara, qui a maintenant 32 ans et dont le véritable nom n’a jamais été révélé, a assassiné 2 enfants et en a blessé 3 autres, dans des agressions qui ont terrifiées le Japon, au point que l’opinion publique avait demandé des peines plus lourdes pour les criminels mineurs. En réaction, les lois sur la délinquance juvénile s’étaient durcit, baissant l’âge de responsabilité légale à 14 ans au lieu de 16. Dans son livre, le tueur explique que, lorsqu’il était adolescent, il était « un déviant sexuel incorrigible » qui avait obtenu une satisfaction sinistre en disséquant des animaux et, finalement, en tuant des êtres humains. "Lorsque je suis arrivé au collège, je m’étais déjà lassé de tuer des chats, et j’ai commencé à fantasmer sur ce que je ressentirais en assassinant des êtres humains comme moi". Jun Hase En février 1997, alors âgé de 14 ans, Sakakibara a agressé trois petites filles. Le 16 mars, il a assassiné une écolière de 10 ans, Ayaka Yamashita, en lui fracassant le crâne avec un tube d’acier. Le 24 mai 1997, il a étranglé et décapité un garçon de 11 ans qu’il connaissait, Jun Hase, sur les pentes d’une montagne voisine. Il a ensuite porté la tête du garçon jusqu’à la salle de bain de ses parents, où il s’est enfermé et a commis "un acte beaucoup plus odieux que le meurtre." Il a ensuite laissé la tête du jeune garçon devant son collège, accompagnée d’une lettre qui se moquait de la police… Sakakibara a été emprisonné dans une maison de correction médicalisée pour mineurs et, depuis sa libération en 2004, à 21 ans, il gagne sa vie comme ouvrier journalier. Dans l’épilogue de son livre, l’auteur parle de la culpabilité qui l’afflige aujourd’hui et propose des excuses aux parents de ses victimes, affirmant qu’il reconnaît désormais la gravité de ses actes. "Je ne pouvais plus me taire sur mon passé. Je devais écrire. Sinon, je serais devenu fou". Mamoru Hase, le père de Jun Hase, a demandé publiquement que le livre soit interdit. "Le livre complètement piétiné nos sentiments. Il est clair qu’il n’est pas du tout désolé pour ce qu’il a fait". Source : Tueurs en série
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22323&hl=
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Seito Sakakibara (Sakakibara Seito?, - ) est le surnom d'un tueur japonais, mineur au moment des faits..(...)
Comme un mineur délinquant, il a été poursuivi et condamné comme "Boy A". Son vrai nom n'a pas été communiqué à la presse parce que la loi japonaise interdit la publication de l'identification.
Les agressions
Le , Sakakibara attaque deux enfants avec un marteau, dont un reçut une blessure nécessitant deux semaines d'arrêt. Le père de la victime demanda au directeur du collège de Sakakibara de consulter les photos des élèves, sa fille ayant reconnu l'uniforme scolaire que portait celui-ci, mais le directeur refusa.
Le 16 mars, peu après midi, Sakakibara attaque deux nouvelles personnes. La première victime, Ayaka Yamashita (10 ans), est frappée à la tête avec un marteau, la seconde victime (9 ans) est poignardée au ventre avec un couteau. Yamashita est transportée à l'hôpital, et meurt une semaine après en raison d'un traumatisme crânien, l'autre victime fut placée au repos deux semaines.
Le meurtre de Jun Hase
Le 24 mai, Sakakibara tue Jun Hase (11 ans), et cache son cadavre. Hase, qui était un ami du petit frère de Sakakibara, avait un retard mental et était considéré comme un souffre-douleurs, notamment pour Sakakibara.
Le 27 mai à une heure du matin, Sakakibara met la tête coupée de Hase devant le portail du collège Tomogaoka qu'il avait fréquenté, avec une lettre dans la bouche.
Le 4 juin, Sakakibara envoie une deuxième lettre au journal Kobe Shimbun
(Wikipédia)
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agressions et meurtres ont été commis en jours neutres, mais période critique septennale des 14 ans et si l'on y regarde de plus près il y a d'autres choses à noter :
- ils ont été commis le lendemain d'un jour critique physique (d'où éventuellement heure de naissance à vérifier : elle peut décaler les rythmes d'un jour)
10 février 1997 = lendemain de P19 à cinq mois de l'anniversaire 15
16 mars est lendemain de P7 à quatre mois de l'anniversaire 15
24 mai est lendemain de P7 (donc comme le meurtre précédent) à un mois et demi de l'anniversaire 15
27 mai est lendemain de jour critique intellectuel i26 (exhibition et lettre)
4 juin est P19-E15 (lendemain de P18 - i1)(seconde lettre aussi lendemain d'un jour critique intellectuel)
à 33 ans aujourd'hui l'auteur de sa biographie macabre entre dans son année critique intellectuelle i1.
mercredi 15 octobre 2014
Patrick Tissier
Patrick Tissier, né le 24 août 1952 à Bourges, est un violeur récidiviste et meurtrier français
(18 ans et 8 mois - à 4 mois de l'anniversaire 19)
6 août 1993 : jour critique intellectuel i9 (mon "jour des tueurs")
à trois semaines du 41ème anniversaire.
13 septembre 1993 : lendemain du jour critique émotionnel E15
deux semaines après le 41ème anniversaire, approche de la période critique septennale des 42 ans.
"envie » de Karine Volkaert et pulsions ressenties le week-end précédant = jour critique émotionnel E15 du dimanche 12 septembre)
Je 9 P(19)
Patrick Tissier a violé et tué sa petite amie Marie-France le 1er mai 1971, près de Bourges. Pour ce meurtre, il a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle mais, dès 1982, il bénéficie de cinq libertés conditionnelles durant lesquelles tout se passera bien puis, à la sixième, il viole une secrétaire dans sa voiture à Toulouse et tente de violer une deuxième jeune femme par la suite. Patrick Tissier est condamné à 20 ans de réclusion criminelle pour ces faits (dont vols avec violence) mais il est libéré en janvier 1992 où il se rend à Perpignan pour mener une nouvelle vie.
Le 6 août 1993, à Perpignan, Patrick Tissier tue sa voisine de palier Concheta Lemma, qu'il a probablement violée puis étranglée. Le corps de cette dernière n'est retrouvé qu'en septembre 1996 près de Perpignan ligoté et enveloppé dans un rideau de douche dans un tunnel souterrain.
Le 10 septembre 1993, à Perpignan, il agresse une amie, Marie-Josée Gauze en tentant de l'étrangler avec un foulard ; elle lui résiste et il fracasse violemment sa tête contre le sol à plusieurs reprises. Elle s'évanouit et lorsqu'elle se réveille Patrick Tissier l'a ligotée, déshabillée et très certainement violée. Il s'apprête à la tuer mais Marie-Josée Gauze essaie de le raisonner, y parvient et Patrick Tissier s'en va.
Trois jours plus tard le 13 septembre 1993, Patrick Tissier enlève Karine Volkaert, la fille d'une amie, âgée de 8 ans, à 18h sur le parking de l'école primaire. Il lui promet de la ramener chez elle, mais il décide de faire un détour. Il se gare près d'un entrepôt à l'abri des regards, menotte Karine, la bâillonne et lui met une cagoule mais Karine ne se doute de rien : elle pense que c'est un jeu. Il se rend près de Fitou, à 30 km au nord de Perpignan, dans une maison abandonnée, installe Karine à l'arrière de la voiture et abuse d'elle en maintenant de force ses poignets. Elle essaie de se débattre et Tissier la frappe plusieurs fois. Une fois le viol terminé, réalisant ce qu'il vient de faire Patrick Tissier l'étrangle et la tue. Une fois morte, il la viole de nouveau et jette le corps de Karine dans le puits d'une maison abandonnée. Le corps de Karine Volkaert est découvert 10 jours plus tard.
En janvier 1998 s'ouvre le procès de Patrick Tissier. Son enfance est évoquée où il déclare avoir tenté de violer sa propre sœur à 13 ans, cette dernière l'a raisonné et Patrick Tissier a renoncé. Puis à l'âge de 16 ans, il agresse à plusieurs reprises sa belle-mère pour la violer mais cela échoue. Patrick Tissier est suivi par plusieurs psychiatres et ce dernier ne commet plus de violences jusqu'en 1971 où il tue sa petite amie Marie-France, apprentie coiffeuse le soir du bal du 1er mai 1971. Patrick Tissier raconte que Marie-France le repoussait, que cela l'a agacé et qu'il l'a étranglée. Après la mort de sa petite amie, Patrick Tissier l'a violée.
Les experts psychiatres concluent que Patrick Tissier ne souffre pas de pathologie mentale et qu'il associe violence et sexualité : pour lui ces deux termes sont indissociables. Il fait ainsi subir à ses victimes des tortures multiples afin de satisfaire ses besoins sexuels. Patrick Tissier est interrogé sur les meurtres commis à Perpignan et déclare entre autres avoir « eu envie » de Karine Volkaert et qu'il avait ressenti des pulsions le week-end précédant la mort de la fillette. Il raconte qu'entre l'agression de Marie-Josée Gauze et l'enlèvement de Karine Volkaert qui a duré un week-end entier, il redoutait que la police ne le retrouve et qu'il s'était caché dans Perpignan. À la fin du procès, Patrick Tissier s'excuse pour toutes les atrocités commises et déclare ne pas souhaiter que la ville de Perpignan connaisse un autre « Patrick Tissier ».
Patrick Tissier est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une période de sûreté de 30 ans. Depuis Pierre Méhaignerie, ancien ministre de la Justice, a créé une loi en 1994 dite de « perpétuité incompressible » qui permet en principe à des criminels du type de Patrick Tissier de ne pas sortir de prison..
Il ne peut être libéré avant l'année 2024.
Wikipédia)
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(né 24 août 1952)(natif du dimanche)
1er mai 1971 (soir, donc 2 mai) : jour critique physique P18 - jour critique émotionnel E22(18 ans et 8 mois - à 4 mois de l'anniversaire 19)
(date des viols suivants pas trouvée)(22 ou 27/12/1982 ?)
à trois semaines du 41ème anniversaire.
10 septembre 1993 : jour neutre, mais lendemain de l'épisode critique P18/P19 dans lequel figure à nouveau aussi le jour critique intellectuel i9.
deux semaines après le 41ème anniversaire, approche de la période critique septennale des 42 ans.
deux semaines après le 41ème anniversaire, approche de la période critique septennale des 42 ans.
deux semaines après le 41ème anniversaire, approche de la période critique septennale des 42 ans.
"envie » de Karine Volkaert et pulsions ressenties le week-end précédant = jour critique émotionnel E15 du dimanche 12 septembre)
septembre 1993 (24/08/1952)
Di 5 E(8)
Lu 6
Ma 7
Me 8 P(18) I(9)Je 9 P(19)
Ve 10
Sa 11
Di 12 E(15)
Lu 13
Ma 14 P(1)
Me 15
Je 16 I(17)
mardi 23 mars 2010
Ian Huntley
SKCenter 2003 :
Ian Huntley condamné à la prison à vie pour les meurtres de Holly et Jessica
Ian Huntley (29 ans) a été condamné mercredi à la prison à vie pour les meurtres en août 2002 de Holly Wells et Jessica Chapman, deux fillettes de 10 ans dont la mort à Soham (centre de l'Angleterre) a bouleversé la Grande-Bretagne et même au-delà.
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=28&hl=
======================
Ian Kevin Huntley
Born 31 January 1974 (1974-01-31)
....
.....the murders on 4 August 2002 at around 18:15, Holly Wells and Jessica Chapman.....
======================
situation le jour des meurtres :
28 ans et 6 mois. pleine période critique septennale.
veille du jour critique physique P18.(le meurtre étant arrivé le soir c'est le jour critique physique P18 qui est à prendre en compte : jour de pulsions physiques et émotionnelles - équivalent au jour critique émotionnel - avec un pic le 4 à 18 heures moment du démarrage de ce jour chronobiologique).
Août 2002
Je 1 E(22)
Ve 2
Sa 3 I(17)
Di 4
Lu 5 P(18)
Ma 6 P(19)
(édit : Jessica est en P12 E15 le 4 août 2002 à un mois de son anniversaire)
Ian Huntley condamné à la prison à vie pour les meurtres de Holly et Jessica
Ian Huntley (29 ans) a été condamné mercredi à la prison à vie pour les meurtres en août 2002 de Holly Wells et Jessica Chapman, deux fillettes de 10 ans dont la mort à Soham (centre de l'Angleterre) a bouleversé la Grande-Bretagne et même au-delà.
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=28&hl=
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Ian Kevin Huntley
Born 31 January 1974 (1974-01-31)
....
.....the murders on 4 August 2002 at around 18:15, Holly Wells and Jessica Chapman.....
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situation le jour des meurtres :
28 ans et 6 mois. pleine période critique septennale.
veille du jour critique physique P18.(le meurtre étant arrivé le soir c'est le jour critique physique P18 qui est à prendre en compte : jour de pulsions physiques et émotionnelles - équivalent au jour critique émotionnel - avec un pic le 4 à 18 heures moment du démarrage de ce jour chronobiologique).
Août 2002
Je 1 E(22)
Ve 2
Sa 3 I(17)
Di 4
Lu 5 P(18)
Ma 6 P(19)
(édit : Jessica est en P12 E15 le 4 août 2002 à un mois de son anniversaire)
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