Issei Sagawa (né le ) est un Japonais qui s'est rendu célèbre pour avoir tué et en partie mangé une étudiante néerlandaise à Paris en juin 1981, ce qui lui valut le surnom de « Japonais cannibale ».
Le 11 juin 1981, Sagawa attire Renée Hartevelt, une jeune Néerlandaise de vingt-quatre ans, étudiant tout comme lui la littérature comparée à l'Université Paris-III, dans son studio du n° 10 rue Erlanger, sous le prétexte qu'un de ses professeurs lui a demandé d'enregistrer des poèmes expressionnistes allemands
(Wikipédia)
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l'intéressé a probablement fêté de cette façon son 32ème anniversaire, soit l'entrée dans l'année critique intellectuelle i1 - 33ème année de vie et année critique du cerveau.
11 juin 1981 (11/06/1949)
Di 7 P(1)
Lu 8
Ma 9
Me 10
Je 11
Ve 12 P(6)
Sa 13 P(7) E(15) I(9)
Di 14
Lu 15
Ma 16
Me 17
Je 18 P(12)
la situation du jour est aussi intéressante : entrée dans l'épisode critique physique P6/P7 le soir du jeudi 11 alors qu'arrive vendredi soir un épisode triplement critique P7 - E15 - i9.
je note la présence du jour critique intellectuel i9 - toutefois le samedi 13... mais c'est le fameux "jour des tueurs"... comme je l'ai appelé car fréquemment présent dans ce genre de circonstances...
indices intéressants par ailleurs, dans cette interview :
http://www.vice.com/fr/vice-meets/issei-sagawa-part-1
"En allant étudier à Paris, je n’ai pas fait disparaître mes pulsions cannibalesques. Presque toutes les nuits je ramenais des putes chez moi, et je tentais de leur tirer dessus, par-derrière, pendant qu’elles se rinçaient le vagin dans le bidet. J’ai essayé des centaines de fois, mais pour des raisons obscures mes doigts se bloquaient et je ne pouvais pas appuyer sur la gâchette.
(...)
Oui. Le lendemain, donc, je l’ai braquée dans son dos, et je n’ai pas pu. Ça m’a d’autant plus excité, et j’ai su qu’il fallait simplement que je la tue. Je l’ai invitée à la maison deux jours plus tard, et comme d’habitude je me suis lentement faufilé par-derrière, j’ai pris une grande inspiration, je l’ai retenue quand mes poumons ont été à moitié pleins, et j’ai pressé la gâchette. Cette fois-ci, j’ai pu tirer. La fille a été tuée sur le coup, sans la moindre douleur. L’autopsie a montré que le flingue n’était pas suffisamment puissant pour que la balle traverse son squelette, donc elle a ricoché dans sa tête, encore et encore. Un instant, j’ai pensé appeler une ambulance, puis je me suis dit : « Attends, ne sois pas stupide. Tu en as rêvé pendant 32 ans et ça arrive maintenant ! »
(...)
Ce désir de manger des gens devient tellement intense aux alentours de juin, lorsque les femmes se mettent à porter moins de vêtements et montrent plus de peau... (...)
Mais pourquoi donc a-t-il fallu que j’appuie ce jour-là sur la détente ? Ça a eu un tel impact sur ma vie. Au moment où je l’ai tuée, d’instinct je me suis dit : «Je ne suis plus un être humain. » (...)
Pendant l’été 1989, un tueur en série nommé Tsutomu Miyazaki a assassiné quelques jeunes filles, et les mass media se sont attroupés chez moi, pour connaître mon opinion sur lui. Ce genre d’exposition médiatique m’a finalement conduit à publier mes essais dans divers magazines. Depuis, je sors un ou deux bouquins par an. J’ai publié dernièrement mon vingtième ouvrage.
alors... des questionnements... comme qu'est ce qui a fait que ses doigts se bloquaient des centaines de fois, et que le 11 juin 1981 il ait pu appuyer sur la gachette ? je pense qu'il donne la réponse dans la phrase suivante lorsqu'il dit : "Ce désir de manger des gens devient tellement intense aux alentours de juin" - il aurait pu dire "aux alentours de mon anniversaire" (en raison des pulsions survenant à ce moment-là - ndlr)
son collègue Tsutomu Miyazaki, qu'il cite, a démarré ses assassinats le 22 août 1988, alors qu'il est né le 21 août 1962... même "désir", donc... en période d'anniversaire...
idem pour Kaoru Kobayashi (né 30/11/1968 - meurtre 17/11/2004) et il doit y en avoir d'autres... si on a le temps d'y regarder de plus près... j'y reviendrai.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
lundi 28 avril 2014
Issei Sagawa
lundi 4 juillet 2011
Issei Sagawa
Wikipédia :
Issei Sagawa (11 juin 1949) est un Japonais qui s'est rendu célèbre en France et dans le monde sous le nom de « Japonais cannibale » à l'époque où il était un étudiant en littérature comparée en France. Fils d'un industriel japonais, il est d'une constitution frêle (1,52 m et 35 kg en 1981), probablement due à une encéphalite japonaise contractée dans son enfance.
Crime et cannibalisme
Il tue à la carabine (22 long rifle) une Néerlandaise alors âgée de 24 ans, Renée Hartevelt, en juin 1981, à Paris, rue Erlanger, prélève de son corps plus de sept kilogrammes de chair, puis commet un acte de cannibalisme. Il consomme sa chair trois jours, en la conservant dans un réfrigérateur avant de se débarrasser de sa dépouille, cachée dans deux valises, dans le bois de Boulogne, où il sera découvert par un couple devant lequel une des valises se renverse car Issei Sagawa avait perdu le contrôle du chariot avec lequel il transportait son chargement dans une descente. Il prit 39 photographies au fur et à mesure qu'il prélevait les chairs de sa victime et les consommait, ainsi qu'un enregistrement audio sur lequel on peut entendre la jeune fille réciter des vers en allemand sur la mort, puis le coup de feu étouffé par le silencieux de la carabine suivi par le son de la chute de son corps sur le sol.
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c'est le jour même apparemment pour fêter son anniversaire, qu'il l'avait invitée et qu'il a tué l'étudiante...
(jour neutre - 32 ans)