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mercredi 6 mai 2015

Gérard Lebourg

(article du 18 mai 1992)
En août 1988 une fille de dix ans disparaît d'un camp de scouts du Calvados
avant d'être retrouvée morte dans des conditions horribles
Gérard Lebourg répond de cet assassinat aujourd'hui devant la cour d'assises de Caen
(...)Lebourg comparaîtra devant les jurés de la Cour, non seulement pour le viol, l'enlèvement et l'assassinat de Delphine mais il devra également répondre de viols et attentats à la pudeur commis sur sa nièce mineure, en 1984, 1988 et 1989.
 Août 1988, le temps des vacances. En compagnie de son frère Nicolas et d'une vingtaine d'enfants originaires de la région parisienne, Delphine, la «jeannette», participe à un camp de scouts à Villerville (Calvados). Elle partage la tente de Marlène, son amie. Ce sont d'ailleurs les deux seules fillettes du camp. Le 27 août au matin, Delphine a disparu, probablement dans la nuit. (...) Au cours d'une enquête minutieuse les gendarmes de la section des recherches de Caen, repartent à zéro depuis Villerville, abandonnent des pistes puis les reprennent, auditionnent trois mille cinq cent personnes dans toute la France, contrôlent des milliers de voitures et placent une dizaine de suspects en garde à vue. Jusqu'à ce coup de téléphone reçu le 12 septembre 1990 de Rémy Boivent, un ancien adjudant de l'armée reconverti dans la restauration. Celui-ci s'étonne d'avoir découvert dans un placard de l'appartement mis à la disposition d'un de ses employés un dossier composé de coupures de journaux et des lettres en rapport avec le drame. Pourquoi pense-t-il aussitôt que son plongeur, Gérard Lebourg, est le meurtrier? Lebourg qui traîne sa misère et rougit quand il croise les filles dans la rue. Décrit comme un «gentil garçon» au regard sombre, il est un solitaire, un aide-cuisinier dévoué depuis trois ans. Il relisait discrètement ses documents et peut-être en tirait-il une certaine jouissance. Alertés, les gendarmes interpellent Lebourg et le placent en garde à vue, avant qu'il ne fasse des aveux complets. Il a bien rôdé plusieurs fois autour du camp bordant la route. Il a vu Delphine et Marlène, les deux fillettes. Il a éprouvé le désir de s'en approcher. Il les a longtemps épiées. Dans la nuit du 26 au 27 aôut, il est revenu au volant d'une voiture. Il a attendu. Delphine est sortie de sa tente. Il l'a bâillonnée, ligotée, transportée dans son véhicule. Puis il l'a violée, lui a frappé la tête contre le sol, car elle se débattait, avant de brûler son corps. L'autopsie devait déterminer que Delphine était morte des coups reçus. C'est derrière la château de la Pommeraye que le corps de la petite fille a été retrouvée. Au bout d'un chemin en lisière du bois des Houx.
http://www.humanite.fr/node/33204

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Gerard Lebourg born on 24 July 1961

(j'ai trouvé deux dates, pour la disparition de Delphine Boulay : la nuit du 26 au 27 et la nuit du 27 au 28)

août 1988 (24/07/1961)(27 ans et 1 mois = proximité anniversaire et période critique septennale des 28 ans - épisode critique physique P6/P7)
Ma 23 I(26)
Me 24
Je 25
Ve 26 P(6)
Sa 27 P(7)
Di 28
Lu 29 E(15)

l'année 1984 - apparemment premiers faits - citée dans l'article est l'année critique physique P1 (23 ans) alors que 1988/1989 est l'épisode critique suivant, la période critique septennale des 28 ans. (l'enlèvement de Delphine Boulay est un drame de la période critique septennale des 28 ans)

vendredi 30 janvier 2015

Ron et Dan Lafferty

On July 24, 1984 (a Utah State holiday) Ron Lafferty and his brother Dan Lafferty, killed their brother Allen’s wife and infant daughter, Brenda and Erica Lafferty, motivated by religious fanaticism and a violent upbringing. Their throats were slit, and the brothers later said that God told them to do it (Ron had a ‘revelation’). Dan was sentenced to life in prison without parole, but Ron was sentenced to death. His conviction was overturned once, but he was convicted again and resentenced to death.
INMATE INFORMATION
Offender Number: 32282
Offender Name: RONALD WATSON LAFFERTY
DOB: Tue, 4 Nov 1941
Height: 5 Feet 11 Inches
Weight: 155
Sex: M
Aliases: RONALD WATSON LAFFERTY

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apparemment un drame des périodes critiques septennales et de la compatibilité de ces périodes critiques : période critique septennale des 35 ans (Dan) et 42 ans (Ron) de leurs protagonistes Dan et Ron Lafferty et du jour critique émotionnel... pour Ron (pas trouvé la date de naissance de Dan 1948)

24 juillet 1984 (4/11/1941)
Sa 21 P(7)
Di 22 I(26)
Lu 23
Ma 24 E(8)
Me 25
Je 26 P(12)


On the afternoon of July 24, 1984, Ron, 42, and Dan, 36, set out to fulfill the revelation

lundi 1 décembre 2014

Mary Bell

Mary Flora Bell (née le 26 mai 1957 à Newcastle upon TyneAngleterre) a été jugée coupable en décembre 1968 du meurtre de deux garçons : Martin Brown (4 ans), et Brian Howe (3 ans). Bell avait onze ans au moment des faits.(...)
Mary Bell étrangle Martin Brown, un garçon de 4 ans, le 25 mai 1968, un jour avant son onzième anniversaire. On pense qu'elle a commis ce crime seule. Entre ce jour et le second meurtre, Mary et son amie Norma Bell (pas de lien de parenté) cambriolent et vandalisent une garderie à Scotswood, y laissant des notes revendiquant la responsabilité du meurtre de Brown. La police de Newcastle écarte cet incident comme étant une simple farce. Le 1er juillet 1968, les deux fillettes tuent Brian Howe, âgé de trois ans, encore par étranglement. La police conclut que Mary est retournée après coup sur le lieu du crime pour tailler un m en lettre minuscule sur l'abdomen du cadavre avec une lame de rasoir. Plus tard, la lettre sera changée en M majuscule avec la même lame, mais par une autre main. Elle a aussi utilisé des ciseaux pour couper des mèches de cheveux de Howe. Les filles auraient également mutilé sexuellement le corps avec les mêmes ciseaux.
Puisque les deux fillettes étaient très jeunes et que leurs témoignages se contredisaient, ce qui s'est passé ce jour-là n'a jamais été clair. La mort de Martin Brown est alors initialement déclarée accidentelle, la police n'y voyant pas d'action criminelle. Ce n'est que plus tard que sa mort sera reliée à celle de Brian Howe. Les fillettes sont arrêtées en août 1968 et accusées de meurtre.
(Wikipédia)
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la situation de Mary Bell est fort intéressante, lors de chacun des meurtres : 
25 mai 1968 (26/05/1957)
Me 22
Je 23
Ve 24
Sa 25
Di 26 E(15) I(26) 
Lu 27 P(18)
Ma 28 P(19)
Me 29
Je 30
Ve 31

il s'agit de la veille de l'anniversaire, veille du jour critique émotionnel E15 et du jour critique intellectuel i26 dans un épisode triplement critique fort avec l'épisode critique physique P18/P19.

"Am Sonntag nach dem Mord, an ihrem elften Geburtstag, versuchte Mary Bell die kleine Schwester ihrer Freundin Norma Bell zu erwürgen. Allerdings konnte der Vater des Opfers, der die Tragweite nicht erkannte, dies verhindern."
le dimanche 26, jour de son anniversaire et lendemain du premier meurtre et donc son jour critique émotionnel E15 et intellectuel i26, Mary Bell (native du dimanche) aurait tenté d'étrangler la petite soeur de son amie Norma Bell mais le père intervenu aurait évité le drame.


31 juillet 1968 (26/05/1957)(wiki français semble se tromper en disant meurtre de Brian Howe le 1er juillet)
Di 28 E(22)
Lu 29 P(12)
Ma 30
Me 31 I(26)

jour critique intellectuel i26 (même jour que lors du meurtre et de la tentative précédente du jour de l'anniversaire)


(pas trouvé la date de naissance de son amie née en 1955 donc probablement en période critique septennale des 14 ans)

dimanche 9 mars 2014

récidives

Troisième récidive. On a appris ces derniers jours, en marge de l'enquête, plusieurs «détails» non divulgués. Ainsi, contrairement à ce qu'on en pensait jusque-là, ce n'est pas deux fois (1994 et 2001) qu'Ait Oud a été arrêté pour faits de moeurs, avant les développements actuels, mais trois. Nous avons en effet appris que, déjà avant son arrestation d'avril 1994 pour les viols longuement commis sur sa nièce, il avait été poursuivi pour un attentat à la pudeur.
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=1518&st=30

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Abdallah Ait Oud (né le 23 juillet 1967 à La Hestre, en Belgique), est un criminel belge d'origine marocaine et libanaise, reconnu coupable d'avoir enlevé, violé et tué les petites Stacy Lemmens et Nathalie Mahy à Liège.(...)
Le 9 juin 2006 lors d'une braderie du quartier Saint-Léonard à Liège, il se rendit coupable d’enlèvement, de viol et de meurtre sur les petites Stacy Lemmens (7 ans) et Nathalie Mahy (10 ans) .
Le 10 Mars 2001 il a traîné dans Liège une fille de 14 ans dans sa voiture. Il lui a fait le tour pendant un certain temps et l'a violée dans un parking (trad.Nederlands p.cette phrase)
(Wikipédia)

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1994 et 2001 correspondent aux périodes critiques septennales des 28 et 35 ans. (à chaque fois apparemment l'arrivée de ces périodes)

situation du 10 mars 2001 : (jour critique intellectuel i 9 - veille de jour critique émotionnel E22 - 33 ans et 7 mois)
Je 8 P(1)
Ve 9
Sa 10 I(9)
Di 11 E(22)
Lu 12
Ma 13 P(6)
Me 14 P(7)

situation du 9 juin 2006 : (veille de jour critique physique P12 - 38 ans et 10 mois - à 6 semaines du 39ème anniversaire)
Ma 6 I(9)
Me 7
Je 8
Ve 9
Sa 10 P(12)
Di 11 E(8)
Lu 12
Ma 13

dimanche 2 décembre 2012

quintuple meurtre de Coransez


Quintuple meurtre de Corez : le père à nié jusqu'à la mort
Condamné aux travaux forcés à perpétuité pour le meurtre de ses cinq enfants, dans la nuit du 21 au 22 avril 1901, à Corancez, Édouard Brierre n’a cessé de clamer son innocence.
«J’avais à peine dépassé les grandes portes qu’un individu se jeta sur moi et me porta des coups d’un instrument tranchant. Un autre individu, que je n’ai pas vu, m’a frappé la tête. J’ai perdu connaissance et je ne me rappelle plus rien. Plus tard, je me suis traîné comme j’ai pu sur la route où j’ai crié : “Au secours?!”»Blessures superficielles Il est 3 heures du matin, le 22 avril 1901. Réveillé par les cris, le dénommé Bouvet se précipite chez son voisin, Édouard Brierre, à Corancez. Il le trouve étendu dans sa cuisine, blessé. D’autres voisins, les frères Baron, arrivent à leur tour. Ils vont découvrir un spectacle insoutenable. Dans une première chambre, Laurent, huit ans, le seul fils de Brierre, gît la tête défoncée, les mains jointes. Flora, quinze ans et demi, Béatrix, onze ans, Laure, sept ans et Célina, quatre ans, ses quatre sœurs, sont retrouvées étendues dans une autre pièce, assassinées de la même façon. Germaine, quatorze ans, a échappé au massacre car elle vit chez sa tante, à Paris, où elle travaille dans une confiserie. Au matin, les gendarmes à La Bourdinière procèdent aux premières investigations dans la ferme et investissent le village en émoi.
Édouard Brierre, dont les blessures sont superficielles, à l’exception d’une plaie à deux centimètres du cœur, est jugé en état d’être interrogé. Et tout de suite, ses déclarations paraissent suspectes. Né le 26 novembre 1859 à Montainville, veuf depuis trois ans, il dirige une entreprise d’abattage et élève seul ses six enfants.(.....)
http://www.lechorepublicain.fr/eure-et-loir/actualite/2012/12/02/quintuple-meurtre-de-corez-le-pere-a-nie-jusqu-a-la-mort-1356811.html

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Le crime de Corancez – Brierre est
décédé au bagne et jusqu'à sa mort n'a
cessé, on le sait, de protester de son innocence. Or, un véritable coup de théâ-
tre vient de se produire : un chemineau
s'est présenté jeudi à la gendarmerie de
Tours pour s'accuser d'être l'auteur du
crime pour lequel Brierre est mort au
bagne. Dit-il bien la vérité ? c'est ce
que la justice ne saurait tarder à éclaircir mais toujours est-il que le chemineau a donné de tels détails du crime
dont il s'accuse que l'on se demande
avec angoisse s'il n'a pas dit vrai, d'autant plus que quatre jours après le
crime, le juge d'instruction, chargé de
l'affaire de Corancez, avait reçu une
lettre d'un chemineau s'accusant du
quintuple crime.
7 AOÛT 1910
http://lesamisdebonneval.free.fr/Gazette%2028.pdf

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voici la situation cyclique de Brierre, puisque nous avons sa date de naissance, si elle est juste :

22 avril 1901 (26/11/1859)
Me 17 P(7)
Je 18
Ve 19
Sa 20 E(1)
Di 21
Lu 22 P(12) I(9)
Ma 23
Me 24
Je 25
Ve 26
Sa 27 E(8)

l'indice le plus intéressant est probablement la situation précise à l'entrée dans la  période critique septennale des 42 ans (Brierre a 41 ans et 5 mois)
le jour du crime est moins clair puisque l'on s'attend en général à un jour critique émotionnel (E1 le plus fort des quatre, se trouve toutefois samedi quasiment un jour avant, le massacre ayant été commis dans la nuit de dimanche à lundi) mais P12 et i9 sont également des jours "pulsions". (1)

le jour critique émotionnel est cependant surtout présent s'il s'agit d'un accès de rage, colère ou folie soudaine. il l'est moins s'il s'agit d'un plan prémédité et ruminé à l'avance. 

on a du mal à croire que deux individus (d'après le récit de Brierre ils étaient deux) qui auraient attaqué tout le monde cette nuit là, auraient épargné le père tout en tuant de façon certaine les enfants... 
pas de nouvelles apparemment du chemineau qui s'est accusé des meurtres... juste quelques jours après, ni de celui qui aurait écrit une lettre en 1910 pour s'en accuser... 

le fait de nier définitivement le drame est plausible également surtout dans la mesure où la période critique septennale est une période trouble, notre période Hyde : c'est donc lui qui a commis le crime, et non pas Jeckyll qui lui succède après le passage dans la période critique, Jeckyll qui se considère comme étranger à l'affaire...


(1) édit 2/03/2015 : on retrouve finalement le jour critique intellectuel i9 que j'ai entre-temps, et après plus d'exemples et expérience... appelé le "jour des tueurs"...

vendredi 26 octobre 2012

Gilles de Rais

Gilles de Montmorency-Laval, plus connu sous le nom de Gilles de Rais, né au château de Champtocé-sur-Loire, à une date inconnue, possiblement vers la fin de l'année 1404 ou plus vraisemblablement vers le 1er septembre 1405, mort le 26 octobre 1440 à Nantes, ............. (wikipédia)

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il semblerait que ce soit à partir de fin 1432 que Gilles de Rais démarra ses meurtres d'enfants : cela correspond à l'arrivée de la période critique septennale des 28 ans, et le massacre aura duré pratiquement un septennat jusqu'à la période critique suivante - celle des 35 ans - où eut lieu alors, son procès et son exécution.

mardi 19 avril 2011

Montlevon

Affaire criminelle / Un livre évoque l’histoire du monstre de Montlevon


http://www.lunion.presse.fr/article/a-la-une/affaire-criminelle-un-livre-evoque-l%E2%80%99histoire-du-monstre-de-montlevon
 
Wikipédia :
Le 17 juin 1967, il est aux champs au volant de son tracteur lorsqu'il y aperçoit deux enfants qui s'amusent, Pierrette Demarle, 12 ans, et son frère Lucien, 10 ans. Olivier les accoste, mais le frère et la sœur ne se méfient pas, ils connaissent Jean-Laurent. Sans qu'on ne sache jamais pourquoi, ce dernier perd la tête pendant quelques minutes. Le lendemain matin, un fermier trouve les corps des enfants Demarle, ils ont été étranglés, Pierrette ayant été auparavant violée.


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pas trouvé la date de naissance de Jean-Laurent OLIVIER qui a tué deux enfants le 17 juin 1967.
né en 1944 il a 23 ans ce qui est déjà une période critique. resterait à vérifier la situation du jour du drame...

samedi 16 octobre 2010

l'affaire du Curé d'Uruffe

Le curé d’Uruffe est mort
En 1956, Guy Desnoyers a assassiné sa maîtresse de 19 ans, lui a ouvert le ventre pour tuer l’enfant qu’elle portait. Il avait échappé à la peine de mort et avait été condamné aux travaux forcés à perpétuité. L’information est passée inaperçue, Guy Desnoyers, le curé d’Uruffe, acteur du plus incroyable fait divers du siècle passé, est mort le 21 avril dernier, à l’âge de 90 ans.
http://www.estrepublicain.fr/fr/france/info/3968761-Folie-meurtriere-le-cure-d-Uruffe-est-mort

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Wikipédia :
Guy Desnoyers
Il est né le 24 février 1920 à Haplemont, un hameau du Saintois en Meurthe-et-Moselle.
.................
Le drame
En 1956, il a une relation avec Régine Fays, jeune fille d'Uruffe, âgée de 19 ans, qui travaille comme ouvrière à la verrerie de Vannes-le-Châtel. Elle est séduite au cours d'une activité théâtrale qu'il avait créée, et se trouve enceinte des oeuvres du prêtre comme Michèle en 1953. Desnoyers persuade le père de Régine que l'amant de sa fille est un jeune homme du cru, parti pour la Guerre d'Algérie. Peu de monde croit en son histoire et il proteste publiquement devant ses paroissiens en dénonçant une calomnie. Régine promet de garder le secret de la paternité de l'enfant mais refuse d'accoucher clandestinement, d'abandonner son enfant ou d'avorter.
Le 3 décembre 1956, peu avant la date prévue pour l'accouchement, Guy Desnoyers prend peur et entraîne Régine sur la petite route déserte qui mène à Pagny-la-Blanche-Côte. il arrête sa voiture près d'un bosquet et à deux reprises propose à la jeune fille de lui donner l'absolution. Etonnée, celle-ci refuse et s'éloigne à pied. Guy Desnoyers la suit tenant son revolver 6,35 à la main. Il tire alors à trois reprises sur sa maîtresse dans la nuit noire. Après l'avoir tuée, il l'éventre pour sortir l'enfant, (une petite fille), qu’elle portait. Après avoir baptisé le bébé, il le tue puis lui taillade le visage afin de se prémunir contre une éventuelle ressemblance. Il pousse ensuite la mère et son enfant dans un fossé.
Dès le lendemain, il organise lui-même les recherches pour retrouver Régine, tout en prétendant qu'il connaît le meurtrier mais qu'il lui est impossible de le dénoncer à cause du secret de la confession à laquelle il est soumis. Cependant, une amie de Régine confie à la police que la jeune femme lui avait dit que le curé était le père. Guy Desnoyers nie avec véhémence. Il est rapidement acculé à révéler la vérité par la rumeur, d'autant plus qu'une douille de calibre 6.35 a été retrouvée à l'endroit du crime et qu'il a justement un permis de port d'arme pour ce calibre. Le 5 décembre 1956, quarante huit heures après l'assassinat, il finit par avouer son crime.

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la situation du curé au moment du drame :
décembre 1956 (24/02/1920)
Sa 1
Di 2 I(1)
Lu 3 P(1)
Ma 4 E(22)
Me 5
Je 6
Ve 7

36 ans et 9 mois, donc pas de période critique, mais celle des 35 ans est à côté et sa relation date peut-être de ce moment-là. (en 1953 date d'une autre relation Desnoyers avait 33 ans).


par contre c'est un ensemble triplement critique : lendemain de critique intellectuel i1, un jour critique physiuque P1 le jour même, et le soir au moment du crime, l'entrée du jour critique émotionnel E22.

Guy Desnoyers décède la veille de son jour critique physique P18. (21/04/2010)
90 ans et deux mois, pas loin de la période critique septennale des 91 ans qui démarre à 90 ans et demi.

jeudi 22 octobre 2009

Grégory

un peu en vrac et en gras les données intéressantes (en regroupant les différents renseignements que j'ai pu trouver)

- 1000 appels téléphoniques anonymes par le Corbeau (dont 800 appels aux grands parents) de août 1981 à avril 1983

- dimanche 24 avril 1983 dernier coup de fil conversation de 30mn à Jean-Marie Villemin... puis apparemment plus rien.

- Grégory disparaît mardi 16 octobre 1984 à 17H15 et est retrouvé mort dans la Vologne à 21H15

- Jean-Marie Villemin est né mardi 30 septembre 1958 (26 ans au moment des faits)

- Christine Villemin est née le mercredi 13 juillet 1960 (24 ans au moment des faits)

- Bernard Laroche, cousin de J.M. Villemin est né mercredi 23 mars 1955
(29 ans au moment des faits)
est tué par Jean-Marie Villemin le vendredi 29 mars 1985
Marié à Marie-Ange Laroche

- Murielle Bolle, belle soeur de Bernard Laroche, 15 ans à l'époque qui "craque" et "avoue" le vendredi 2 novembre 1984
réitère devant le Juge le lundi 5 novembre 1984
mais se rétracte définitivement ensuite.

Alors les indices sont maigres, mais si l'on disculpe les parents il reste un Bernard Laroche sorti toutefois d'une année du cycle septennal.
(période critique septennale des 28 ans de octobre 1982 à mars 1984).
sa situation le jour du drame :
octobre 1984 (23/03/1955)

Di 14 P(12)
Lu 15 I(9)
Ma 16
Me 17 E(22)

Je 18

c'est la veille de son jour critique émotionnel E22, dans lequel il entre aux alentours de 18 heures.

samedi 11 juillet 2009

Grégory

je reprends des données auxquelles je m'étais déjà intéressé :

Grégory est né le dimanche 24 août 1980 et a été tué le mardi 16 octobre 1984. Il a disparu vers 17H.

sa mère, Christine Villemin est née le mercredi 13 juillet 1960
et avait au moment du drame 24 ans et 3 mois.
le 16 octobre 1984 elle est en P7 et la veille de E15.(jour critique émotionnel)

(c'est la même situation que Bernard Laroche, pour ce qui est de l'entrée dans le jour critique émotionnel le soir du crime à 18H)


son père Jean-Marie Villemin est né le mardi 30 septembre 1958
et avait au moment du drame 26 ans et quinze jours.
il est dans son jour critique émotionnel E22 le jour du meurtre. mais ce jour critique émotionnel s'arrête à 18h.
il y a une proximité de la date anniversaire mais la période sensible se situe plutôt les quatre semaines précédant l'anniversaire.

Bernard Laroche est né mercredi le 23 mars 1955
et avait au moment du drame 29 ans et 6 mois.

(la 30ème année de vie - dans laquelle il se trouve - est une année critique physique.(période critique d'un cycle physique sextennal)
pas de période critique septennale (sauf l'année et demie qui vient de s'écouler, puisqu'il est sorti de sa période critique des 28 ans avec son 29ème anniversaire)
mais
le soir du meurtre était pour lui veille de son jour critique émotionnel E22.
(il y entre à 18H ce soir là - c'est la même situation que Christine Villemin)
(Bernard Laroche, cousin germain de Jean-Marie Villemin, est dénoncé par Muriel, sa belle-sœur de quinze ans, mais elle se rétracte ensuite).


le vendredi 29 mars 1985 il est abattu par Jean-Marie Villemin. (qui est en P18 et i9 ce jour là)

Muriel Bolle est née le dimanche 15 juin 1969 et avait alors
15 ans et 4 mois. (i26 le jour du crime)
(Murielle Bolle, belle soeur de Bernard Laroche, 15 ans à l'époque qui "craque" et "avoue" le vendredi 2 novembre 1984
réitère devant le Juge le lundi 5 novembre 1984
mais se rétracte définitivement le lendemain 6 novembre)
le problème des natifs du dimanche c'est qu'ils sont rarement devant la justice ou interrogés leur "jour de vérité" qu'est le jour critique émotionnel... puisque c'est un dimanche et que ce jour là ... est férié...

une lettre anonyme arrive chez les parents Villemin le lendemain du crime, le mercredi 17 octobre 1984... sait-on quand elle a été écrite ?

alors sont en situation "à risque" d'après leur situation biorythmique :

- Christine Villemin qui se trouve à la veille de son jour critique émotionnel au moment du drame.
native du mercredi son jour critique émotionnel est le mercredi mais il démarre mardi soir aux alentours de 18 heures. (une journée biorythmique court toujours de 18H la veille à 18H le lendemain)


- Jean-Pierre Villemin qui se trouve dans son jour critique émotionnel le jour même du drame, étant né un mardi.
natif du mardi son jour critique émotionnel est le mardi... mais il se termine le mardi soir vers 18 heures. (son jour critique va de lundi 18H à mardi 18H).


- Bernard Laroche qui se trouve dans la même situation que Christine Villemin, la veille de son jour critique émotionnel le soir du drame.
natif du mercredi il se trouve tout comme Christine Villemin à la veille de son jour critique émotionnel : il y entre le mardi soir aux alentours de 18 heures.
il se trouve en outre dans une année critique physique sextennale.


Il n'y a pas vraiment d'autre période critique : Christine Villemin est sortie de sa période critique sextennale avec son 24ème anniversaire et Bernard Laroche est sorti de sa période critique septennale avec son 29ème anniversaire. Pour Jean-Pierre Villemin c'est neutre.

les moments clés à risque maximum de "passage à l'acte" en raison des pulsions survenant à ce moment là, et liés à nos cycles psychiques et émotionnels se situent à l'entrée dans la période critique septennale (donc rien ici)
et à l'entrée dans son jour critique émotionnel. ce qui est ici le cas pour la mère Christine Villemin et pour Bernard Laroche.
Le crime a en effet eu lieu pratiquement à ce moment là.
la situation de Bernard Laroche en période critique sextenale est un autre indice à retenir : chez certaines peronnes ces périodes peuvent donner lieu à de graves problèmes et elles sont alors équivalentes aux conséquences d'une période critique septennale. d'après mon expérience - pas encore consistante pour ce qui est de ce cycle physique - ce sont des personnes plus primaires qui sont influencées et influençables à ce moment là. (pulsions)

il s'agit ici d'indices ou indications et on est "susceptible d'avoir pu faire quelque chose ou avoir un certain comportement" ; reste ensuite à regarder de près avec tous les autres moyens et données éventuels ce que çà donne, car nous entrons tous dans notre jour critique émotionnel personnel chaque semaine au même moment. mais si c'est le cas, c'est à ce moment là qu'il est plus probable que nous passions à l'acte pour faire quelque chose que nous mijotons depuis longtemps ou encore pour un coup de tête ou coup de folie : c'est en effet un moment où les pulsions sont renforcées et les inhibitions faiblies. Pour Bernard Laroche s'ajoute la période de dépression sextennale.

autres indices que l'on pourrait regarder dans cette affaire :

- très nombreux coups de téléphone du "corbeau" : on pourrait voir quel jour de la semaine ont eu lieu le plus grand nombre d'appels, et si possible même à quelle heure ; on a tendance à parler, téléphoner, écrire, passer à l'acte, son jour critique émotionnel, plus précisément au moment de l'entrée dans ce jour donc la veille aux alentours de 18 heures environ. cela peut éventuellement permettre de faire le rapport avec le jour de naissance d'une personne.

- lettres : idem...