Patrice Alègre (né le 20 juin 1968 à Toulouse)
- La mort de Valérie Tariotte, 21 ans, violée elle aussi, le 21 février 1989,
(20 ans et 4 mois - entrée période critique septennale des 21 ans)(20 février est P7 et lendemain de i26 mais jour du meurtre incertain car diverses données trouvées)
- meurtre et le viol de Laure Martinet, 19 ans, en janvier 1990 à Bonrepos (Haute-Garonne)
(période critique septennale des 21 ans)(25 janvier 1990 est jour critique physique P1 et jour critique émotionnel E22)
une apparente parenthèse entre 1990 et 1997. (apparemment la pause depuis la période critique septennale des 21 ans jusqu'à la suivante, celle des 28 ans : cela arrive parfois chez les tueurs en série en raison de pulsions qui sont septennales...)
"Le 16 février 1995, après une nouvelle dispute conjugale, Patrice a « tout cassé dans la chambre » et « jeté la petite contre le mur » (jour critique émotionnel E22)
- Martine Matias, 29 ans, retrouvée elle aussi carbonisée dans son appartement toulousain le 11 février 1997, (période critique septennale des 28 ans) (10 février 1997 est lendemain de jour critique intellectuel i1)
- Dix jours plus tard, Patrice Alègre avait laissé la vie à Emilie E., après l'avoir battue et violée
(21 février 1997 est un lendemain du jour critique émotionnel E1)(période critique septennale des 28 ans)
- et de Mireille Normand, 35 ans, à Verdun (Ariège) en juin 1997
(période anniversaire 29 ans - période critique septennale des 28 ans) (19 juin 1997 est jour critique physique P12 et jour critique émotionnel E8)
- 5 septembre 1997, jour de son arrestation à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) au lendemain du meurtre de sa dernière victime, Isabelle Chichérie, 29 ans. (4 septembre 1997 = jour critique émotionnel E1 et lendemain du jour critique intellectuel i9 - fin période critique septennale des 28 ans)
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