Nicolas de Stael

RETRO. Fou d’amour, le peintre Nicolas de Staël se suicide le 16 mars 1955 à Antibes Près du port d’Antibes se trouve une petite rue appelée Révély. En ce 16 mars 1955, une femme qui passe par là aperçoit la silhouette d’un homme gisant sur le trottoir. Elle s’approche. Il est vêtu d’une chemise, d’une veste et d’un pantalon bleu, porte des espadrilles. «Au secours! Un homme est mort!» Des gens s’attroupent. «C’est le peintre qui vit là haut!», dit un voisin. On lève la tête. «Il a dû tomber de la terrasse!»
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 Nicolas de Staël, baron Nicolaï Vladimirovitch Staël von Holstein, né le 5 janvier 1914 à Saint-Pétersbourg, mort le 14 mars 1955 à Antibes, est un peintre français originaire de Russie, issu d'une branche cadette de la famille de Staël-Holstein. (Wikipédia)

 (mort non pas le 14 mais le 16 mars apparemment)
16 mars 1955 est un jour neutre, deux jours après le jour critique émotionnel E8 (qui est lundi 14 puisque natif du lundi) par contre nous sommes en période critique septennale des 42 ans.

 Le 28 septembre 1953, il écrit à Jacques Dubourg : « Je crois que quelque chose de passe en moi de nouveau, et parfois, cela se greffe à mon inévitable besoin de tout casser. Que faire. »
(jour critique émotionnel E8)
Le 12 octobre 1953, Nicolas de Staël écrit à Pierre Lecuire : « Je peins dix fois trop, comme on écrase du raisin et non comme on boit du vin.(...). »
(jour critique émotionnel E22)