les soeurs Papin

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Christine Papin (1905-1937) et Léa Papin (1911-2001), plus connues sous le nom des sœurs Papin, sont deux employées de maison, auteurs d'un double meurtre sur leurs patronnes le 2 février 1933 au Mans.
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Le crime insensé des sœurs Papin.
Le 2 février 1933, deux cadavres de femmes énucléées, frappées à coups de marteau et de couteau, et ciselées comme des lapins prêts à cuire ; voilà ce que découvrit la police municipale du Mans, peu de temps avant que les deux sœurs, collées l’une à l’autre au fond du même lit un étage plus haut, n'avouent sans la moindre hésitation avoir commis le double meurtre de leurs patronnes, sans motif ni préméditation.

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8 mars 1905 : Naissance de Christine Papin
15 septembre 1911 : Naissance de Léa Papin
http://membres.lycos.fr/alicehameau/

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examinons la situation des soeurs Papin le jour du crime :

février 1933 (8/03/1905)
Me 1 E(1)
Je 2
Ve 3

Christine a 27 ans et onze mois (un mois avant son 28ème anniversaire) et par conséquent en pleine période critique septennale des 28 ans. le lendemain de son jour critique émotionnel E1. (E1 est le jour critique le plus "fort" des quatre jours critiques du cycle émotionnel de 28 jours).
Toutefois un lendemain de jour critique émotionnel a une incidence bien moindre qu'une veille de jour critique émotionnel, la veille étant un moment charnière crucial pour ce qui est de l'effet "pulsions/désinhibition". (voir ci-après, car c'est la situation pour Léa Papin)


février 1933 (15/09/1911)
Me 1
Je 2
Ve 3 E(1)

pour Léa Papin c'est veille de jour critisque émotionnel E1 : ce jour critique avec ses pulsions démarre la veille au soir aux alentours de 18 heures moment pic de pulsions.
Léa à 21 ans et 4 mois se trouve en pleine période critique septennale des 21 ans.

les éléments qui sont le plus souvent présents en tant qu'éléments déclencheurs sont ici aussi présents :
- période critique septennale (compatibilité entre les deux soeurs qui sont séparées de 7 ans et ont leurs périodes critiques toujours en même temps)
- jour critique émotionnel.

la situation en période critique septennale est souvent suffisante en elle même pour déclencher des scénarios dramatiques. le jour critique émotionnel va jouer le rôle du déclencheur.

je n'ai pas trouvé l'état civil des patrones pour voir s'il y a pu y avoir là aussi une "compatibilité à risque" : ce serait le cas par exemple si le jour critique émotionnel de Mme Lancelin était le jeudi, ou si elle se trouvait elle aussi dans une période critique septennale. (j'ai trouvé 53 et 27 ans pour les victimes : la fille se trouverait donc en "période sensible" à l'entrée de sa période critique septennale des 28 ans.