samedi 11 juillet 2009

Grégory

je reprends des données auxquelles je m'étais déjà intéressé :

Grégory est né le dimanche 24 août 1980 et a été tué le mardi 16 octobre 1984. Il a disparu vers 17H.

sa mère, Christine Villemin est née le mercredi 13 juillet 1960
et avait au moment du drame 24 ans et 3 mois.
le 16 octobre 1984 elle est en P7 et la veille de E15.(jour critique émotionnel)

(c'est la même situation que Bernard Laroche, pour ce qui est de l'entrée dans le jour critique émotionnel le soir du crime à 18H)


son père Jean-Marie Villemin est né le mardi 30 septembre 1958
et avait au moment du drame 26 ans et quinze jours.
il est dans son jour critique émotionnel E22 le jour du meurtre. mais ce jour critique émotionnel s'arrête à 18h.
il y a une proximité de la date anniversaire mais la période sensible se situe plutôt les quatre semaines précédant l'anniversaire.

Bernard Laroche est né mercredi le 23 mars 1955
et avait au moment du drame 29 ans et 6 mois.

(la 30ème année de vie - dans laquelle il se trouve - est une année critique physique.(période critique d'un cycle physique sextennal)
pas de période critique septennale (sauf l'année et demie qui vient de s'écouler, puisqu'il est sorti de sa période critique des 28 ans avec son 29ème anniversaire)
mais
le soir du meurtre était pour lui veille de son jour critique émotionnel E22.
(il y entre à 18H ce soir là - c'est la même situation que Christine Villemin)
(Bernard Laroche, cousin germain de Jean-Marie Villemin, est dénoncé par Muriel, sa belle-sœur de quinze ans, mais elle se rétracte ensuite).


le vendredi 29 mars 1985 il est abattu par Jean-Marie Villemin. (qui est en P18 et i9 ce jour là)

Muriel Bolle est née le dimanche 15 juin 1969 et avait alors
15 ans et 4 mois. (i26 le jour du crime)
(Murielle Bolle, belle soeur de Bernard Laroche, 15 ans à l'époque qui "craque" et "avoue" le vendredi 2 novembre 1984
réitère devant le Juge le lundi 5 novembre 1984
mais se rétracte définitivement le lendemain 6 novembre)
le problème des natifs du dimanche c'est qu'ils sont rarement devant la justice ou interrogés leur "jour de vérité" qu'est le jour critique émotionnel... puisque c'est un dimanche et que ce jour là ... est férié...

une lettre anonyme arrive chez les parents Villemin le lendemain du crime, le mercredi 17 octobre 1984... sait-on quand elle a été écrite ?

alors sont en situation "à risque" d'après leur situation biorythmique :

- Christine Villemin qui se trouve à la veille de son jour critique émotionnel au moment du drame.
native du mercredi son jour critique émotionnel est le mercredi mais il démarre mardi soir aux alentours de 18 heures. (une journée biorythmique court toujours de 18H la veille à 18H le lendemain)


- Jean-Pierre Villemin qui se trouve dans son jour critique émotionnel le jour même du drame, étant né un mardi.
natif du mardi son jour critique émotionnel est le mardi... mais il se termine le mardi soir vers 18 heures. (son jour critique va de lundi 18H à mardi 18H).


- Bernard Laroche qui se trouve dans la même situation que Christine Villemin, la veille de son jour critique émotionnel le soir du drame.
natif du mercredi il se trouve tout comme Christine Villemin à la veille de son jour critique émotionnel : il y entre le mardi soir aux alentours de 18 heures.
il se trouve en outre dans une année critique physique sextennale.


Il n'y a pas vraiment d'autre période critique : Christine Villemin est sortie de sa période critique sextennale avec son 24ème anniversaire et Bernard Laroche est sorti de sa période critique septennale avec son 29ème anniversaire. Pour Jean-Pierre Villemin c'est neutre.

les moments clés à risque maximum de "passage à l'acte" en raison des pulsions survenant à ce moment là, et liés à nos cycles psychiques et émotionnels se situent à l'entrée dans la période critique septennale (donc rien ici)
et à l'entrée dans son jour critique émotionnel. ce qui est ici le cas pour la mère Christine Villemin et pour Bernard Laroche.
Le crime a en effet eu lieu pratiquement à ce moment là.
la situation de Bernard Laroche en période critique sextenale est un autre indice à retenir : chez certaines peronnes ces périodes peuvent donner lieu à de graves problèmes et elles sont alors équivalentes aux conséquences d'une période critique septennale. d'après mon expérience - pas encore consistante pour ce qui est de ce cycle physique - ce sont des personnes plus primaires qui sont influencées et influençables à ce moment là. (pulsions)

il s'agit ici d'indices ou indications et on est "susceptible d'avoir pu faire quelque chose ou avoir un certain comportement" ; reste ensuite à regarder de près avec tous les autres moyens et données éventuels ce que çà donne, car nous entrons tous dans notre jour critique émotionnel personnel chaque semaine au même moment. mais si c'est le cas, c'est à ce moment là qu'il est plus probable que nous passions à l'acte pour faire quelque chose que nous mijotons depuis longtemps ou encore pour un coup de tête ou coup de folie : c'est en effet un moment où les pulsions sont renforcées et les inhibitions faiblies. Pour Bernard Laroche s'ajoute la période de dépression sextennale.

autres indices que l'on pourrait regarder dans cette affaire :

- très nombreux coups de téléphone du "corbeau" : on pourrait voir quel jour de la semaine ont eu lieu le plus grand nombre d'appels, et si possible même à quelle heure ; on a tendance à parler, téléphoner, écrire, passer à l'acte, son jour critique émotionnel, plus précisément au moment de l'entrée dans ce jour donc la veille aux alentours de 18 heures environ. cela peut éventuellement permettre de faire le rapport avec le jour de naissance d'une personne.

- lettres : idem...

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