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Albert Spaggiari (né le 14 décembre 1932 à Laragne-Montéglin dans les Hautes-Alpes, mort le 8 juin 1989 à Belluno en Italie) était un malfaiteur français d'origine italienne. Il est connu pour avoir été le cerveau du « casse du siècle » survenu à la Société générale de Nice, en 1976. Ancien soldat de la guerre d'Indochine, partisan de l'OAS, écrivain et photographe, il aura nargué la police française durant sa cavale qui durera jusqu’à sa mort, après une évasion spectaculaire.
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Deux ans avant le casse, pour évaluer la faisabilité de son projet, il loue un coffre à la Société générale dans lequel il place un réveil, qu'il règle pour sonner la nuit. Le but de la manœuvre vise à s'assurer de l'absence de systèmes de détection (sismique ou acoustique) à l'intérieur de la salle des coffres. Dans le même temps, il commence une exploration minutieuse des égouts en empruntant l'entrée amont de la partie couverte du fleuve Paillon, sous le palais des expositions de Nice, qui rejoint après deux kilomètres, les égouts de la ville.
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Il meurt le 8 juin 1989, à 56 ans, d'un cancer de la gorge alors qu'il se trouve en exil en Italie, après douze années passées à se grimer et à fuir.
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c'est probablement une idée septennale, le casse du siècle : c'est en 1974 que celle-ci aurait germé dans la tête de Spaggiari et qu'il a commencé par louer un coffre à la Société Générale... (Spaggiari a 42 ans)
et c'est en période critique septennale des 56 ans qu'il décède... entre son jour critique émotionnel E22 et son jour critique physique P1...
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